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Philosophie : le déterminisme social

Commentaire de texte : Philosophie : le déterminisme social. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Février 2021  •  Commentaire de texte  •  404 Mots (2 Pages)  •  667 Vues

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l'auteur commencer le passage par une déclaration affirmative. <<c'est la société qui trace à l'individu le programme de son existence>>, par cela nous devons comprendre que la société s'impose a nous car l'auteur la présente ici comme un maître. A première vue il semblerait que l'individu ne peut pas exister en dehors de la société, car c'est bien elle qui définit qu'il est : elle le trace ,le façonne, le détermine. On entre ici dans la logique de ceux qui pensent que l'individu n'est rien d'autre que le reflet de la société dans laquelle il a évolué. Bergson à part la carte certes du déterminisme social mais il va plus loin.

« On ne peut vivre » dit-il sans obéir a des prescription et se plier à des obligations" ces derniers est en elle-même défini par la société, tel les normes et les conventions sociales, des lois au même les traditions. l'individu est alors à la société ce que l'esclave est au maître voire ce que la machine est a son concepteur.Les prescriptions mentionnées par Bergson peuvent être vues comme une sorte de guide d'utilisation, un guide d'utilisation, mais aussi et surtout les conditions d'existence nécessaires. L'individu est obligé de le suivre, il doit se «plier», et ce terme confirme ici que la société, qui en fait par le biais du contrôle social, exercera une certaine pression sur ses membres. En l'absence d'indications claires de la part de l'auteur, on peut très bien croire que le but de cette contrainte, toujours impliquée dans le terme flexion, est de laisser les hommes dans leur forme «normale» originelle. , Pour en faire des êtres sociaux. Sentiment d'appartenance à la même unité sociale. Puisque la prochaine étape pourrait être la création d'une liberté garantie par tous et surtout, il est naturel pour Rousseau de dire que quiconque refuse d'obéir à la volonté générale, en d'autres termes, l'entité de «société» doit être expulsé de tout le corps, "et cela ne veut rien dire d'autre que le fait qu'il sera forcé d'être libre".

"Le choix est impératif à tout moment; il est naturel que nous choisissions selon la règle." L'auteur procède de choix généralement appropriés pour manifester la volonté de l'individu, pour affirmer que même celle-ci émergera de la conscience de ce dernier, afin de satisfaire les attentes de la société, faisant ainsi du naturel ce qui est essentiel. Ce n'était pas: des normes sociales.

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