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Philosophe justice et droit

Commentaire de texte : Philosophe justice et droit. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Avril 2020  •  Commentaire de texte  •  773 Mots (4 Pages)  •  587 Vues

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La justice et le droit

Travail à rendre

Suffit-il de conformer à la loi pour être juste ?

  1. Pour faire une analyse complète du sujet, nous allons définir chaques termes les uns apres les autres. Pour commencer, il y a “suffit-il” qui est le verbe «suffire». Il  demande s'il est nécessaire et suffisant. D'une autre manière, se demander s'il suffit d'obéir aux lois pour être juste, c'est se demander si le juridique est la condition nécessaire et suffisante du juste. Ensuite “conformer” est le fait de respecter qulque chose, en l'occurence la loi. La loi , au sens juridique, est une règle qui pose la norme du droit à tous. En effet, nul n’est censé ignorer la loi. C’est à partir d’elle que les hommes vivant au sein d’une société savent ce qu’il leur est permis et défendu de faire, et ce qu’ils risquent s’ils ne respectent pas la loi. Puis le mot “pour” montre un but, une chose à atteindre. Enfin “être juste” fait appel à la justice. La justice est une institution chargée d’appliquer le droit, de faire respecter la loi et de réparer les torts subis par les victimes de l’injustice.
  2. Dans le mythes de Gygès, grâce à un anneau qui le rend invisble, Gygès parvient à prendre le pouvoir d'un pays en assasinant le roi puisqu'avec son invisibilité rien en peut lui resister. Cela ammène les frères de Platon a se demander si être un homme juste ce n’est pas en réalité être assez naïf pour respecter les lois et la morale même si cela peut être désavantageux. Ce la nous ammène donc à nous poser la question de ce sujet : Suffit-il de se conformer à la loi pour être juste ? Cette idée d'une loi idéale qui transcende les lois empiriques correspond à la réalité ? ou n'est ce pas une pure fiction, elle appartient à un idéalisme et ignore la vraie nature du droit ?

  1. a) À première vue, la justice et la force que tout semble opposer en théorie restent, selon Pascal, indissociables dans la pratique. La justice exige une compréhension à la fois de la norme du droit et de sa conformité, mais aussi de l'adéquation du mérite et de son remboursement. Par conséquent, la justice ne doit pas être comprise comme une institution qui applique les choix du public en la matière, et le pouvoir judiciaire est par définition une force qui applique la loi. La force de Pascal est moins précise et permet d'imposer une certaine ambiguïté. En effet, dans son texte c'est à son tour une force d'oppression, une force "tyrannique" qu'il faut condamner, puis une force de coercition, vertueuse, prônant la justice et incarnée par une institution, par exemple judiciaire. La justice et la force sont donc contradictoires. Selon Pascal, "il suffit de faire ce qui est bien", alors "qu'il faut faire ce qui est le plus fort". La justice serait donc soumise à l'obligation et à la force. L'obligation morale comprend la possibilité de l'éviter. La justice ne peut pas s'imposer car une personne est naturellement intéressée,  La justice est "impuissante". Grâce à cela, nous pouvons voir la nature oppressive de la force. Dans la pratique, cependant, ces concepts se complètent. L'idéal de justice est vain s'il ne peut pas compter sur la force pour s'appliquer et la force a besoin de justice pour être justifiée éxplique Pascal. Il existe donc une corrélation entre justice et force. Pour combler leurs lacunes, leur alliance devient nécessaire. Ainsi selon Pascal, cela peut se faire de deux manières: en donnant la force à la justice, ou en rendant la force juste.

b) Dans son texte, Saint Thomas d'Aquin parle de l'infinité des lois et selon  lui il n'éxiste pas de loi qui en puisse être prise à défault. Il dit que les lois sont crées par des législateurs qui considèrent les “conditions générales”, cependant, pour lui, il est possible que dans certaines situations une loi “contraires à la justice et au bien commun”. Cela montre alos que les lois peubent être prise à défault. De plus il en dit pas cela au hasard car il donne un exemple, il parle alors de la loi qui dit qu'il faut “rendre dépôt”. En effet la loi indique cela, mais dans certains cas : quand “un fou réclame l'épée qu'il a déposée” ou qu'un “individu demande son dépôt pour trahir sa patrie”. Saint Thomas d'Aquin dit que dans ces circonstances, obéir à la loi serait mal. Dans des cas comme ceux-ci la loi change pour “rester fidèle a l'esprit de justice” et ainsi irait dans le sens du bien commun.

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