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L’artifice féminin

Étude de cas : L’artifice féminin. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Décembre 2018  •  Étude de cas  •  771 Mots (4 Pages)  •  465 Vues

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De tout ans et à travers l’Histoire et les sociétés la femme a du se soustraire à des critères de beautés. Ses critères on pu toucher les deux sexes à certaines époques bien lointaines, mais dans nos sociétés contemporaine la femme à malheureusement était placées au centre du « beau ». En effet dans les documents ci dessous. Nous sommes directement confrontés au normes ou artifices imposés à la gente féminine dans nos sociétés modernes. Oscar Wilde nous narre et met en scène une analyse masculine de la femme et du maquillage dans son roman. Nous avons aussi une photographie de Terry Gilliam issu de Brazil. Cette photographie tourne en dérision le culte de jouvence imposée aux femmes dans nos sociétés, en reprenant le roman 1984 d’Orwell. Dans le même thème du maquillage nous avons un extrait du chapitre éloge du maquillage tirée de l’œuvre le Peintre de la vie moderne de Baudelaire. Cette extrait critique de manière vive l’utilisation du maquillage mais insiste tout de même, sur l’utilisation de celui-ci à des fins rajeunissante.

Comme dernier document nous avons un extrait de la guerre du faux de Umberto Eco. Celui-ci aussi aborde et aborde tout comme la photographie l’aliénation societal subit par le femme et la fausse émancipation de celle-ci.

Dans quels mesures ses documents soulignent-il l’aliénation de la femme ? Quels en sont les causes et les origines ? Nous étudierons tout d’abord une illusion de libertés dictée par la société. Puis nous soulignerons les artifices et normes qui asservissent les femmes dans nos sociétés

« Elle à etait rendue esclave» c’est ainsi que Umberto Eco qualifie la femme. Comme l’auteur de la photographie T.Gilliam Eco il dénonce l’hypocrite société moderne qui sous couvert de libération du corps féminin et d’égalité avec l’homme, Hypersexualise celle-ci la reléguant au rang de vulgaire objet.

En effet ce texte a beaucoup en commun avec la photographie. Ellle met en scene un médecin tirant sur la peau dune jeune femme dans le but de la faire paraître plus jeune. On peut clairement apercevoir ici le critère de jouvences imposé à la société et surtout à la gente féminine. Tout comme l’apparence vestimentaire le critères de jouvence est l’une des nombreuses normes mise en place dans une société à forte pression sur la gente féminine. D’autre part l’auteur souligne que même quand « une libération » intervient celle-ci n’est qu’une illusion que cela soit pour la libération du corps féminin ou l’accès à la chirurgie esthétique

celle-ci n’a malheureusement était pour l’auteur que des normes et artifices supplémentaires pour la condition de la femmes qui est devenue plus sexualisé qu’elle n’était. Toutefois même si la société et l’industrie de la mode ont contribué à ceci, le libre arbitre acquéri par la femme n’a pas etait vain.

Les deux autres textes nous expose un avis masculin très trancher sur l’artifice du maquillage. Wilde décrit d’une manière ironique à travers deux personnages masculin la femme pour lui celle ci n’est « qu’un sexe décoratif » et celle-ci survie grâce à sont physique la ou l’homme lui d’abord se reflète par son intelligence. Cette qualification est plus que rabaissante dans ses 3 textes la femmes est objetisés mais ici Wilde stéréotype grandement

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