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Faut-il reprocher au langage d'être équivoque ?

Dissertation : Faut-il reprocher au langage d'être équivoque ?. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  26 Décembre 2015  •  Dissertation  •  342 Mots (2 Pages)  •  2 281 Vues

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Il est étonnant d'envisager le rapport de l'homme au langage par la peur. En effet nous utilisons quotidiennement les mots pour penser et dire aux autres nos pensées. Les mots, outils de la signification, semblent naturels, immédiats et spontanés. Or, le sentiment de peur provient d'une inquiétude, d'un danger devant quelque chose que l'on ne maîtrise pas, qui nous échappe.

Qu'est-ce qui dans le langage, peut faire peur à l'homme ? D’où vient cette peur ? Le langage ne remplirait-il sa fonction, ce pourquoi il fait c'est a dire construire la signification ? Le langage a t il le pouvoir de trahir notre pensée en disant autre chose ou plus que ce que l'on veut dire ?

Nous verrons tout d'abord ce en quoi peut consister la peur des mots, pour voir ensuite dans quelle mesure il est possible d'y répondre.

I- En quoi les mots peuvent-ils faire peur ?

les mots sont difficiles à maîtriser : les mots sont tout un art ( à développer )

trahir la pensée par une mal utilisation c'est a dire quand le rapport de l'expression produite et l'expression ressentie ne coïncide pas ( à développer )

l'équivocité des mots : source de mal entendu ( à développer )

parce que les mots peuvent dévoiler des vérités qu'on n'a pas envie d'entendre

Transition : Le langage présente d'infini possibilités, il peut faire semblant pour nous échapper. Maîtriser le langage relève de toute une technique d'utilisation. Cette technique nous permet-elle de plus avoir peur des mots ?

II – Est-il possible de ne plus avoir peur des mots ?

en maîtrisant les mots par le style ( à développer )

en pratiquant le dialogue ( à développer )

en faisant un effort d'interprétation ( à développer )

Conclusion : Il est possible d'avoir peur des mots ; quand ceux ci restent obscures, imprécis infidèles, manipulateurs ou menaçant. Pour ne plus avoir peur des mots, la précision, la rigueur et la maîtrise sont nécessaire, elles supposent tout un art. Cette peur est cependant ce qui fait la richesse et l'enjeu de la compréhension et de l'interprétation de la parole.

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