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Emmanuel Kant, Les obligation envers la nature sont des devoirs envers nous-mêmes

Commentaire de texte : Emmanuel Kant, Les obligation envers la nature sont des devoirs envers nous-mêmes. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  15 Septembre 2020  •  Commentaire de texte  •  924 Mots (4 Pages)  •  1 936 Vues

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Page 240 Texte 1  

Emmanuel Kant

Les obligations envers la nature sont de devoirs envers nous-mêmes

Problématique :  Quel est le devoir de l’Homme ?

Résumé :

Avoir un esprit de destruction envers la nature est contraire au devoir de l’homme. Sinon, il serait affaiblit moralement et émotionnellement alors il n’aurait plus la capacité d’observer ou d’aimer des choses au-delà de leur fonction. Quand la raison n’est plus, la violence devient sans pareil et cruelle dans la manière de s’occuper des animaux, ce qui détourne encore plus l’homme de son devoir envers lui-même. La relation entre les hommes et la mortalité devrait être loin puisque l’homme devrait avoir de la sympathie et de la considération envers les animaux et leurs souffrances. Néanmoins, l’homme peut tuer ou faire travailler sans en abuser les animaux même si toute forme de torture est impossible tant qu’il existe d’autre moyen simple et efficace. L’homme doit pouvoir avoir an face de lui des animaux qui lui ont toujours rendus services et qui sont reconnaissant envers lui. C’est en cela que consiste le travail de l’Homme envers lui-même.

Le devoir de l’homme envers lui-même c’est d’avoir la reconnaissance.

Page 246 Texte 1  

Karl Marx

L’aliénation de l’ouvrier

Problématique : Quel est le travail du salarié ?

Résumé :

Karl Marx commence par décrire ce que le travail inflige au quotidien au salarié. En effet, il parle d’un travail qui nous force à ne plus être nous-mêmes afin de répondre à ses exigences. Ainsi le travail serait responsable de notre mal être et qu’il n’y qu’en dehors du travail où l’on ne doit répondre à aucune exigence que nous pouvons être nous-mêmes. Le travail nous contraint, nous force à devenir quelqu’un d’autre.  Le travail ne nous permet donc pas de remplir un besoin de combler quelques choses, il nous permet uniquement de pouvoir répondre à nos besoins extérieurs au travail (dépense, contrainte sociale). On peut alors, en déduire que la nature aliénée du travail se trouvent dans ces contraintes extérieures. Alors si elles n’existaient pas nous ne penserions jamais à vouloir travailler. Alors le travail aliéné est vu comme un sacrifice, une souffrance que l’on s’inflige.

L’ouvrier voit son travail fait par lui mais appartenant à un autre et il donc l’impression d’appartenir à cette autre. Dans la religion, le fonctionnement du corps s’opère de manière indépendante de la volonté de l’être comme si une autre personne était aux commandes. Comme pour l’ouvrier son travail ne lui appartient pas, alors l’ouvrier est en quelques sortes en train de se perdre.

C’est en travaillant et en fabriquant que l’Homme façonne le monde et s’affirme parmi les espèces. Il pense que sa vie est générique créatrice grâce à ce qu’il a apporté au monde. Cette affirmation le pousse à penser qu’il est créateur de la nature. Cet homme qui est conscient pense que « l’objet du travail est donc la réalisation de la vie générique de l’homme ».

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