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Commentaire de texte de Platon

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Par   •  7 Janvier 2017  •  Commentaire de texte  •  397 Mots (2 Pages)  •  873 Vues

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Corrigé Commentaire du Texte De Platon.

Platon part d’un constat :

L’âme est unique conjointement au corps, l’âme a en elle le désir de vérité, tout problème est de savoir pourquoi le corps est un obstacle à la reflétions humaine qui nous pousse vers la vérité. Est-ce fatale que le corps vient toujours empêcher l’âme de viser la vérité ?

Platon affirme qu’ici-bas le corps est toujours associé à la raison ou à l’âme, comment définir ce lien associatif ?

Première partie :

L’âme n’est pas à côté du corps ou au-dessus du corps, il n’est pas de l’ordre spatial, il y a un lien d’appartenance intime entre le corps et l’âme, mon corps fait partie de moi-même. Par conséquent le corps n’est pas une chose ni un objet qu’on peut modeler à ma guise.

L’âme ou la raison sont l’organe intellectuel qui nous permettent de saisir la vérité, la vérité n’est pas une simple sensation, la vérité c’est l’adéquation entre un discours et une chose, la chose que je tiens dans ma main n’est ni vrai ni faux c’est réel ou imaginaire, mais ce que je dis de la chose peut être vrai ou faux. L’erreur peut être involontaire mais pas les mensonges, le mensonge c’est savoir la vérité et avoir la volonté de tromper.

L’homme aurait au fond de lui une envie d’atteindre la vérité spirituelle. Platon donne la thèse, il dit que tant que le corps est associé à la raison nous n’attendrons jamais la vérité. Le corps est considéré comme un mal, il contamine la nature humaine qui est de viser la vérité. Le corps étant naturel est contraire à la nature de l’homme.

Transition à partir de la ligne 4 : Platon va argumenter sa thèse et va montrer pourquoi le corps est une entrave à la recherche de la vérité.

Deuxième partie :

Platon va montrer que le désir corporel est strictement nécessaire et les désirs superflus d’ordre social, nous éloignent de la vérité et même du réel. Je ne peux pas ne pas me nourrir, c’est une nécessité implacable. Le corps est fragile, il est toujours expose au monde externe, au réel, c’est pour cela qu’il peut tomber malade même si on le protège.

Les désirs non nécessaires ils finissent par déformer le réel, mais il dit que ces désirs superflus sont cause de guerre.

Troisième partie :

Par conséquent, que ce soit volontaire ou involontaire, le corps est Phédon.

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