Sujet : rédigez-en 2 paragraphes argumentatifs sans laquelle vous montrerez que les artistes (écrivains, peintre) jugent les hommes au pouvoir.

Guillaume Lebargy                                                                                2B

Français

Vers la dissertation

Sujet : rédigez-en 2 paragraphes argumentatifs sans laquelle vous montrerez que les artistes (écrivains, peintre) jugent les hommes au pouvoir.

Les artistes critiquent négativement le roi Louis XIV. En effet passant par les artistes le roi paraît puissant et naïf, avec La Fontaine et la fable : « Les animaux malades de la peste », le lion est le roi Louis XIV, c’est un monarque de droit divin, il est capable d’interpréter les signes du ciel. Dans la gravure de Foujita, le lion qui est comme le roi prend la plus grande partie de la gravure : il est imposant. Dans la lettre de Mme de Sévigné, le roi dit : « qu’il m’est entouré que de flatteurs » et « qu’il m’est loin de connaître jamais la vérité ». Le roi paraît aussi assoiffé d’amour propre, de vanité. Il est ridicule or savoir écrire un poème n’est pas mis au service du pays. Puis dans ces différents textes le roi paraît cruel, il a le pouvoir de vie ou de mort sur ses sujets, il se moque de ses sujets dans Mme de Sévigné, « La plus cruelle petite chose indirectement qu’on puisse faire à un vieux courtisant ». Ces œuvres représentent la société de l’ancien régime et La Fontaine la critique que de façon violente et Mme de Sévigné, elle critique virulemment dans sa lettre le roi.

Les artistes jugent virulemment les courtisans du roi Louis XIV. Premièrement les courtisans sont naïfs et ils font des compliments au roi pour se faire bien voir et éviter la censure. Dans « les animaux malades de la peste » les gros animaux sont flatteurs envers le roi pour éviter de mourir : ce sont les courtisans. Dans la gravure les petits animaux malins réussissent à vivre. D’après Mme de Sévigné, les courtisans sont menteurs, flatteurs, hypocrites et lâches : ils veulent faire plaisir au roi, ils veulent être bien vu, ils essaient d’être opportuns et ils sont un peu naïfs. Et deuxièmement les courtisans sont vulgaires, irrespectueux et ignobles, La Bruyère critique les courtisans dans « Les caractères ». La perruque permet aux courtisans de se cacher, leur attitude à l’église est sacrilège car ils adorent un homme et non Dieu. Les courtisans apparaissent débauchés, ils ne sont pas francs. La Bruyère assimile la cour à une tribu sauvage. Montesquieu critique les courtisans notamment un grand seigneur qui représente le mieux le royaume dans « Les lettres Persanes », il est fier « il se moucha si impitoyablement », « il cracha avec tant de flegme », son attitude avec ses chiens montre le caractère associable de cet homme : dans sa façon de faire, il est impoli. Montesquieu juge violemment les nobles et surtout les courtisans.

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