Pensez-vous que la princesse de Clèves soit maitresse de son destin ?

 Oui elle l’est

Non elle ne l’est pas

Le point 4 est aussi lié à son bon vouloir et à « son imagination » p186 qui reste une maitrise d’elle-même toutefois orientée par son éducation et sa passion envers le duc de Nemours qu’elle ne veut pas imaginer coupable de la mort de son mari

A la mort de sa mère, elle devient maitresse de ses décisions comme le fait de fuir et de faire un aveu décisif à son mari. Néanmoins, je reste persuadée que l’éducation qu’elle à reçu fait partie de ces choix

Son indépendance dans ses décisions s’accroit de plus en plus mais elle reste envahie par les peintures de l’amour faites par sa mère qui la guide et la limite dans ses actes qui la laisse ainsi dépendante et en incapacité de faire ses propres choix.

1. Ne choisit pas son mari : c’est sa mère qui l’a obligé ayant conscience de cet amour non réciproque (p31) + invitation de Mme de Dampierre : p22 choisi en fonction des attentes de la cour et du rang du futur époux.

Mariage à la cour très jeune

1. Education de sa mère qui l’oriente de manière subjective dans ses futures décisions : avec l’unique bonheur, les principes de bienséance et la vertu contraire à la passion qui la mènera au couvent.

1. Rencontre forcée avec monsieur de Nemours lors du bal p37, nombreuses tentatives d’éviter ce dernier mais la cour ou son Oncle, le vicomte de Vidame, l’oblige à rester et devoir affronter les rencontres avec le duc (p177)

1. Contrôlée par ses sentiments :sa passion envers M de Nemours qui a conduit à la mort de son mari et qui fait place à la culpabilité qui la mènera au couvent et au malheur éternel (explications p185)