Les pâques à New York - Blaise Cendrars (1912)
Commentaire de texte : Les pâques à New York - Blaise Cendrars (1912). Recherche parmi 303 000+ dissertationsPar Hugo Baudiniere • 24 Juin 2016 • Commentaire de texte • 310 Mots (2 Pages) • 7 837 Vues
Page 1 sur 2
																
								- Poème : Les paques a New à New York
- Œuvre : Du monde entier 1912
- Auteur : Blaise Cendrars 1887-1961 > Grand poète du XXeme siècle. Ces aventures sont la source de sa poésie.
 Principale œuvre : Du monde entier 1919 ; Dix-Neuf Poèmes Blastiques (1919).
- Mouvement littéraire :
- Genre littéraire : poésie
- Résumé du poème : Les Pâques à New York nous offre une vue de la ville à travers les déambulations du poète le jour de Pâques dans le quartier chinois, les quartiers mal famés, le quartier juif, une balade le long de l'océan.
 AXES : I : La promenade
 II : Une continuelle prière
 DEVELOPPEMENT :
- Régularité des distiques > permet de distinguer les deux quartiers de la ville, celui « mal famés » et celui des «  banques et spectacles ». 
 Nombreux indices temporels > Le poème est écrit au présent : nous suivons Cendrars dans sa déambulation « aujourd’hui » ; « le jour ».
 La promenade se passe le soir > l’obscurité envahie les rues : « l’aube a glissé froide comme un suaire ».
 Cendrars croise des figures contrastées de New-Yorkais qui rythment sa virée > les bas quartiers chaleureux avec les immigrants : « Italiens » ; « Grecs » ; « Espagnols ».
 Passage des quartiers pauvres aux quartiers riche (les banques) : « gratte ciel ».
 Contraste accentué par les anaphores > Acceleration du rytme : « les métropolitains […] »
 « les ponts […] ».
La modernité s’installe dans la tradition > présence de banque, chemin de fer.
- Poème en forme de prière > Apostrophe « Seigneur » en anaphore. 
 Distiques rappelant les versets de la bible.
 Valeur matérielle (banque) prend le dessus sur la valeur spirituelle (le temps) : « le paradis est bien lointain ».
...
Uniquement disponible sur LaDissertation.com
								
								
								
							