La pensée de Montaigne dans les essais « Des Cannibales » et « Des Coches » correspond-elle à l’état d’esprit en vogue au 16ème siècle?

Michel Eyquem de Montaigne est né le 28 février 1533 et il est mort le 13 septembre 1592 au château de Saint-Michel-De-Montagne. C’est un écrivain, philosophe et homme politique de la Renaissance. Montaigne était scolarisé au Collège de Guyenne à Bordeaux, où il brille rapidement par son aisance à pratiquer l’art de la parole et de la rhétorique. C’est un auteur du 16ème siècle, siècle de l’humanisme, qui est un courant littéraire français mettant l’Homme au centre de ses recherches. L’humanisme est illustré par la Renaissance qui est un mouvement ou les artistes deviennent comme des scientifiques et ou l’antiquité est mise en valeur. Leurs écrits traitent de tous les sujets possibles comme la médecine, les livres ou encore les indigènes. La principale œuvre de Montaigne est avant tout « Les Essais ». Aujourd’hui, nous allons d’avantage nous intéresser à deux essais de Montaigne « Des Cannibales » qui est une œuvre relatant l’arrivé des conquistadors en Amérique de sud et ou l’auteur s’appuie sur tes témoignages réels et « Des Coches » qui est un œuvre ou Montaigne nous donne son avis et sur sa vision qu’il a des indigènes et des occidentaux.

Tout au long de ce devoir nous nous demanderons si la pensée de Montaigne dans les essais « Des Cannibales » et « Des Coches » correspond-elle à l’état d’esprit en vogue au 16ème siècle.

Dans une première partie nous nous intéresserons à la pensée de Montaigne si elle correspond à celle en vogue au 16ème siècle, puis dans une deuxième partie nous nous préoccuperons que sur certains points il se détache de la pensée en vogue du 16ème siècle, et dans une troisième partie nous nous attacherons à si ça pensée est encore actuelle de nos jours.

Dans cette première partie nous verrons la pensée de Montaigne et celle en vogue au 16ème siècle.

Montaigne et la pensée populaire ont une même vision du monde avec la théorie du macrocosme et microcosme.

Tout au long de ces deux essais, et particulièrement dans « Des Coches », Montaigne prend une civilisation entière pour un être vivant correspond aux croyances de l’époques, héritée de l’antiquité comme quoi le macrocosme et microcosme suivent la même évolution. Cette théorie encore pensée par quelque personne de nos jours, et que tous se qui compose l’Homme compose aussi l’Univers. Le rythme des saisons, le macrocosme correspond au rythme de vie d’un Homme (enfance, adolescence, adulte et vieillesse), le microcosme. Que ces deux rythmes obéis à un cycle de vie et que ce cycle se renouvelle à chaque fois. Pour exemple dans « Des Coches » tous au long de cette essais Montaigne place la civilisation des Indigènes à leur enfance dans le cycle de la vie à contrario sa civilisation elle est dans la vieillesse. Et selon la théorie et sa pensée la civilisation des Indigènes va remplacer celle des Européens. Cette découverte, pensée fait peur à Montaigne.

La pensée du peuple et celle de Montaigne sont enthousiasme de ces découvertes.

Montaigne comme beaucoup de personnes à cette époque n’a jamais les pieds dans ces terres découvertes, au début de cette découverte on pensait que l’Amérique d’aujourd’hui était l’Inde. Ce qui bien entendue les émerveilla car il pensait avoir trouver une nouvelle route de la soie. Montaigne décrit ce peuple qu’un œil ébahi dans ces essais par l’intermédiaire d’autre récits écrit par d’autre personne. Comme par exemples ou dans « Des Cannibales » Montaigne les expose en se fiant entre autres aux écrits de Jean de Léry. Mais Montaigne ne pense aussi pas comme tout le monde.

Dans cette deuxième partie nous regarderons que Montaigne se détache de la pensée en vogue au 16ème siècle sur certains points.

Le cannibalisme est un objet de discutions qui fait débat entre Montaigne et la pensée populaire.

La civilisation Européen du 16ème siècle a une idée du cannibalisme comme signe d’inhumanité, d’animalité de la part de cette population,

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