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La condition humaine - Malraux

Fiche : La condition humaine - Malraux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  17 Avril 2019  •  Fiche  •  409 Mots (2 Pages)  •  448 Vues

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Lecture analitique de « la condition humaine » de Malraux.

Introduction : Le contexte de la condition humaine paru en 1932 annonce un roman historique qui prend appui sur la Chine de 1927. Le roman de Malraux a opptenue un grand succé au près du public et c'est vu décerné le prix Goncourt. Le texte étudier s'ouvre sur une scène dramatique : Tchen est un jeune comuniste sur le point de tuer un trafiquent d'armes afin de récupéré l'ordre de vente et d'approvisinner son camp. En quoi peut on dire que cet incipit in medias res présente le drame interieur du protagoniste.

I Un incipit original.

A) Une action in medias res.

L'incipit plonge le lecteur directement dans l'action. Les verbe d'action, ne laisse pas au lecteur la possibilité de comprendre la situation. La future victime est designer deux fois elle est désigner par synecdoque ce qui donne un aspect particulier a la perseption du lecteur qui devine un corps immobile, inerte.

B)La dramatisation de la scène.

Le paratexte nous informe de l'heur mais l'acte luis même semble diféré. L'emploi de l'imparfait inscrit l'action dans le temps. Ce qui donne un aspect cinématographique a la scène. Le cadre de l'action n'est pas vraiment d'écrit on ne fait que deviner. Le jeu d'ombre et de lumière. Tchen s'apprete a commetre un meurtre qui ne peut être comis que dans la pénombre. Les barreau représente la prison marque la séparation avec le monde des vivant.

II L'introspection du personnage.

A) Le Monologue intérieur

Le lecteur accede au pensé les plus secret du narrateur. Les modalité interrogative et exclamative révèle lenguoise du héro. Tchen n'hésite pas sur la nécisité du crime. Son hésitation porte sur le moyen et révèle qu'il n'a jamais tué. « combattre des enemie qui se défend » : Tchen hésite a tué un endormie car il craint d'etre un lache. Tchen oscille la facination et la répultion. Il est obsédé par la mort. « Jusque a la nosé » : Tchen éprouve de la répuniance a l'idée d'auté la vie. « Assassiner n'est pas seulement tué » Tchen réalise que assassiner quelqu'un n'est pas seulement un acte physique mais un acte qui enguage le meurtrier lui même.

Conclusion :

Ainsi Cet incipit crée une atmosphère engoissante car elle présente un héro en proi a un dilèmme. Tchen hésite entre sa fasination pour la mort et sa répultion face a l'acte physique. Malraux présente alors un personnage investie dans son rôle de militant et qui risque son auto destruction.

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