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Faut-il refuser de partager sa maison ?

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Par   •  15 Novembre 2022  •  Dissertation  •  807 Mots (4 Pages)  •  420 Vues

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Faut-il selon vous refuser de partager sa maison ?

La maison, notre refuge l’endroit où nous y avons eu plus de souvenirs qu’ils soient heureux ou tristes, elle va même jusqu’à etre la vitrine de notre personnalité. Qu’est qu’il y a de plus intime plus représentatif de notre personnalité que notre maison, l’endroit ou nous y avons grandi, habitons ? malgré tout il est toujours possible de devoir partager ce lieu pour X raisons, mais alors faut-il pour autant refuser de partager sa maison ?
Pour répondre à cette question, nous verrons d’abord que l’idée de partage n’est pas universelle (I) et qu’il faudrait également prendre en compte l’actualité sans pour autant oublier la peur d’un tel changement (II).

La société d’aujourd’hui s’intensifie dans l’individualisation, plus encore avec la pandémie du COVID où tout le monde était bloqué jusqu’à même travailler depuis chez soi toute la semaine, le partage est de moins en moins dans les produit de consommation, on le voit déjà avec les consoles de salon qui avant mettais l’accent sur le collectif, le familial alors que maintenant il c’est plus penche vers le solo, l’individualisme.
Cet aspect est également remarque dans les voitures ou on peut voir plusieurs véhicule pour plusieurs personnes issue d’un même foyer etc… et ceci au niveau international.
Mais malgré cela, dans l’idée de partager sa maison n’est pas tabou pour autant, en effet on peut voir des exemples de maisons dites « participatif » crée spécialement pour accueillir plusieurs personnes au sein d’un même foyer, vivre ensemble. Ce type d’habitation est notamment perçu dans les pays comme la Norvège ou la Suède qui on opté pour un foyer commun entre les personnes âgées et les jeunes, un mélange des générations qui a pour but de partager connaissances et expériences entre eux contrairement aux « colocation » qui sont souvent faites en fonction des âges de chacun, un style d’habitat qui est souvent aperçu près des grandes écoles ou des université afin de minimiser le cout des loyers.
En Norvège là ou des habitations sont créé spécialement pour le partage,  au canada la méthode est différente, ils sont notamment réputés pour cette qualité, « accueillante » en effet on peut dore et déjà la remarquer par rapport à leurs jardin, là ou d’autres pays vont y implante des barrières, barricades les canadiens eux y n’y mettent rien, pareillement pour les portes rares sont fermer à double tours laissant ainsi au personnes égarées, étrangers et visiteurs d’y entrer comme bon leurs semble pour demander de l’aide. En revanche cet aspect de partage et d’entraide est difficilement perceptible dans les pays comme la France et les USA où ils vont se « protéger » garce à des barrières, clôture ajoutant de plus en plus de sécurité comme les serrures ou encore même des camera de sécurité.

Violences, pandémie, cambriolages, de nombreux prétextes sont bons pour faire de nos maisons de véritables forteresses. Comme évoqué précédemment, il n’est plus anormal aujourd’hui de trouver des barreaux aux fenêtres des rez-de-chaussée, des murs atteignant des hauteurs importantes et des villas bardées de caméras de sécurité. Pour éviter que des intrus ne pénètre chez nous, nous sommes prêts à vivre comme les personnes qui subissent l’enfermement imposé par la société comme punition judiciaire. C’est l’une des situations que l’on retrouve dans la saga American Nightmare où des personnes sont prêtres à vivre cloitré pour échapper aux assauts des personnes mal intentionné qui paraissait à la base demandeur d’aide.
De plus, lorsque l'on invite des personnes, par soucis d'hospitalité, on prend le risque que ces personnes s'incrustent, manquent de respect et dégradent le mobilier, une situation qui est arrivée plus d’une fois lorsque le maire d’une ville accorde un espace potable pour les gens du voyages ou le gitans, très peu de compliments leurs sont verser à leurs manière de traiter l’habitat qui leurs sont accordé. On parle alors ici du
 « paradoxe de l’hospitalité » qui consiste pour une personne à abuser de l’hospitalité qui lui est offerte, où nous accueilleront des inconnus dans le but de les aider qui viendraient s’installer dans l’unique but de profiter de la situation de n’avoir que très peu à faire pour s’assurer un confort de vie est une idée assez dérangeante.

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