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Devoir2 Cned BTS Les enfants immigrés

Dissertation : Devoir2 Cned BTS Les enfants immigrés. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  27 Février 2019  •  Dissertation  •  2 111 Mots (9 Pages)  •  547 Vues

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Question 1-1:

Le premier document est une lettre argumentatif, paru dans le journal L'Humanité le 17 mars 2016 et signé par Françoise Dumont, présidente de la Ligue des droits de l'homme à Madame Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale. Cette lettre dénonce le manque de moyens mis en place pour permettre aux jeunes Roms d'accéder à l'éducation dans de meilleurs conditions.

Dans cette lettre, on trouve plusieurs idées principales. Tout d'abord, le droit à l'éducation pour les enfants résidant sur le territoire est stipulé par la Convention internationale des droits de l'enfant (Cide) cependant ce droit n'est pas profitable aux enfants Roms. Du fait des nombreuses expulsions, l'accès à l'éducation devient compliqué même si l’État a mis en place des salles de classe spécifiques. Le manque d'aide pour orienter les familles Roms dans les démarches administratives n'est pas pris en compte par l’État, ce sont des militants associatifs qui les aident. Malgré l'implication des militants les résultats tombent à l'eau à cause des expulsions constantes des bidonvilles, 60% des personnes résidant dans des bidonvilles ont été expulsé au cours de l'année 2015. Les propos de Madame Dumont ne sont pas les seuls qui dénonce cela , en effet le Commissaire aux droit de l'Homme du Conseil de l'Europe, lui aussi dénonce ses expulsions car elles viennent interrompre l'éducation et le suivi médical des plus jeunes. Quand à l'UNICEF, lui dénonce le non respect des droits fondamentaux à l'éducation.

Question 1-2 :

Le deuxième document est un article, paru dans le journal Libération le 16 septembre 2015 écrit par Marie Piquemal, il est composé d'une photographie de Martin Colombet.Hanslucas de type descriptif accompagné d'une légende qui donne des explications sur la photo, et d'un texte qui fait partie intégrante de l'article est de type narratif. L'ensemble du document vise a dénoncé la situation précaire des familles Roms dans le récit d'une famille en particulier.

On distingue, dans cette article, plusieurs idées principales. D'abord, les journalistes de Libération ont suivi une famille bulgare qui après l'expulsion du campement de la « Folie » se retrouve à dormir dans une tente sur le trottoir dans une zone industrielle de Bobigny, cela met en évidence le manque de moyen déployé par l’État pour reloger les 70 familles expulser de ce campement. Ensuite, Marie Piquemal raconte que les seules aides qu'ils reçoivent vienne d'associations pour scolariser les enfants a contrario la police n'ont seulement les virent des lieux où ils s'installent mais en plus les menaces de leur retirer les enfants pour les confié à la Ddass. Par cette histoire, l'auteur met en évidence l'exclusion sociale des Roms et montre la non-préoccupation de l’État français face à cette situation.

Question 1-3 :

Le troisième document est un article de type informatif paru le 23 février 2016 dans le magazine Télérama écrit par Juliette Bénabent. Cet article traite principalement des conditions de vie dans la « Jungle » de Calais et de l'implication des associations et de la défenseure des enfants Geneviève Avenard.

On peut relevé plusieurs idées principales dans ce document. Premièrement, l'article fait état de l'évacuation d'un bidonville surnommé la « jungle » de Calais le 25 février 2016. La défenseure des enfants Madame G. Avenard s'est déplacé jusqu'au campement pour faire la constatation des conditions de vie des mineurs et vérifié que l’État avait rempli correctement ses obligations envers les familles. Grâce à l'intervention de migrants et d'associations, la préfecture a promis que les forces de l'ordre n'interviendraient pas avant trois semaines. Deuxièmement , après un rapport sur les conditions de vie de ce camp envoyé au ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, des améliorations ont été faite. Maintenant les migrants reçoivent deux repas par jour au lieu d'un auparavant, ils ont doublé le nombre de place dans le centre réservé aux femmes et aux enfants et la possibilité d'ouvrir deux classes qui seront assurés par l'éducation nationale. De plus le CAP est une option pour les famille qui doivent quitter la « jungle » mais les conteneurs mis à leur disposition n'ont pas d'eau courante donc aucun moyen de se doucher où d'y préparer des repas. Enfin, une école est gérée par l'association solidaire laïque et permet aux enfants d'apprendre pour la plupart l'anglais et le français avec l'aide d'enseignants bénévoles. Après sa visite, Madame G. Avenard considère que la préparation à l'évacuation est loin d'être suffisamment en place et pense que les enfants risquent de se volatiliser et de devenir des proies faciles pour les réseaux criminels.

Question 1-4 :

Le quatrième document est un article de type argumentatif écrit par le Groupe d'information et de soutien des travailleurs immigrés (GISTI) et publié dans la revue Plein droit n°108 en mars 2016. Cet article dénonce le manque d'organisation des États européens pour le suivis des mineurs migrants et accuse ces États de dissimuler par des disparitions inquiétantes d'un grand nombre d'enfants leur manque de prise en charge et d'accompagnement.

Dans cet article, on distingue plusieurs idées principales. D'abord selon une seule source celle d'un responsable d'Europol, les journaux Libération , RFI, ou l'Obs avaient publiés des articles concernant 10000 enfants migrants disparus et la possibilité que ces enfants soient dans un réseaux criminels sans que cela ne soit prouvé ou même chiffré. Ensuite, dans une petite permanence de l'Adjie à Paris, on peut y retrouver des enfants dit « disparus » qui pour la plupart ont vécu des événements traumatisants pour arrivé jusqu'à Paris. D'une manière ou d'une autre ces migrants ont été au cours de leur trajet enregistrés par une ONG qui vraisemblablement a finis par les déclarer disparus. Malgré le chemin semé d’embûche qu'ont parcouru les migrants aucun ne relate d'avoir été victime d'esclavage, de trafic d'organes ou de prostitution. Leur plus grande préoccupation étant de trouver un logement , de quoi se nourrir et de pouvoir se scolariser, malheureusement la plupart ne reçoivent aucune

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