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Ce progrès qu’est la vitesse ne nous fait-il pas régresser sur certains points ?

Synthèse : Ce progrès qu’est la vitesse ne nous fait-il pas régresser sur certains points ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Décembre 2020  •  Synthèse  •  384 Mots (2 Pages)  •  430 Vues

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Introduction.

La vitesse s’est développée au fil des années par des avancées majeures grâce aux découvertes et au progrès technologique. Ce qui entraine une envie d’aller toujours plus vite, ainsi qu’une sure-consommation dans chaque domaine et sur chaque produit, en faisant abstraction des mauvais côtés.

Ainsi ce progrès qu’est la vitesse ne nous fait-il pas régresser sur certain point ?

La vitesse a su devenir un élément essentiel du progrès et est devenu un élément dominant pour les avancées industrielle, technologique … reste partiellement abstraite pour l’homme moderne

La vitesse caractérise la société moderne. Les nouvelles technologies accélèrent sans cesse la circulation des personnes, des biens et des informations à travers le monde. Or, cette évolution vers une plus grande rapidité des échanges et de la communication ne va pas sans contrepoints négatifs. Il apparait des conséquences difficilement maitrisables et modifient notre manière d’appréhender le monde. Ainsi en quoi le sentiment d’accélération du temps affecte l’évolution de la société moderne ?

La vitesse est devenue un capital à part entière cependant le culte de l’état d’urgence a des limites, de plus les risques d’une domination de la temporalité imposée par la technologie restent entier.

Plan.

I/ La vitesse, un capital à part entière a/ Aller vite pour capitaliser du temps c/ La vitesse, un gain avantageux ?

Transition : Le rapport au temps a donc évolué vers une accélération de la vitesse dont les conséquences ne se mesurent pas seulement en termes de gain. Ce changement de rythme fait face à un état d’urgence permanent dont il s’agit d’analyser les limites.

II/ Les limites de l’état d’urgence a/ Les pièges de la vitesse

b/ Un rapport à l’espace et au temps modifié

Transition : L’urgence érigée en modèle montre ainsi ses conséquences pernicieuses dans une société moderne « malade du temps ». De fait, tout le monde ne bénéficie pas des acquis technologiques de la vitesse, qui semblent parfois dépasser voire dominer l’Homme.

II/ La domination d’une nouvelle temporalité technologique a/ Une société à deux vitesses

b/ La réflexion aux prises avec l’urgence

Conclusion.

Le processus d’accélération du temps modifie en profondeur la société moderne dans son rapport au monde, ce qui a un impact sur le mode de vie de chacun. L’être humain est pris au piège de la tyrannie d’un temps dont les nouvelles technologies, censées libérer, peuvent paradoxalement en accentuer les effets dommageables.

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