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Ce corpus comporte quatres extraits relatant d’une scène de crime

Commentaire d'oeuvre : Ce corpus comporte quatres extraits relatant d’une scène de crime. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Mai 2019  •  Commentaire d'oeuvre  •  616 Mots (3 Pages)  •  453 Vues

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Ce corpus comporte quatres extraits relatant d’une scène de crime ; le livre de la genèse extrait de la Bible, La bête humaine écrit en 1890 qui dans cette extrait le soir prévu pour le crime de Roubaud, dans la fièvre de l’attente auprès de Séverine dévêtue, Jacques est repris de sa folie meurtrière et égorge sa maîtresse, écrite par Émile Zola écrivain et journaliste français du XIXème siècle, La condition humaine écrit en 1933 par André Malraux écrivain et homme politique du XXème siècle, ainsi que l'étranger qui dans cette extrait L'Étranger retrace une partie de la vie de cet employé de bureau qui tient une sorte de journal de bord dans lequel le lecteur plonge dans le quotidien de cet individu. Un jeu de circonstance l'amène à tuer un Arabe, écrit en 1942 par Albert Camus écrivain, dramaturge, essayiste, journaliste et philosophe français du XXème siècle. Nous nous demanderons alors en quoi ces 4 textes se relient par la mort.

Les textes B et C utilisent tous deux le point de vue interne et un statuts de narrateur dans ces deux texte le statut est narrateur non personnage, le narrateur à la 3ème personne du singulier et dit “il”. En effet on peut relever des verbes signalant ses sensation ou sa pensée “ Jacques s’étonna “ ligne 14 , il entendait ligne 14 une joie énorme le soulevait ligne 15 éprouvait ligne 18 aurait cru ligne 6, Le lecteur a ainsi accès à ce que ressent le personnage.

Dans le texte texte A, C et D nous retrouvons à plusieurs reprise des verbe d’action frapperait ligne 1, défendait, appellerait ligne 15, enfonçait ligne 21, lâcha ligne 23 tiré ligne 23 crispé ligne 14 débarrasserais tua ligne 11 tuera ligne 17, ainsi dans le texte c, on retrouve l’obscurité qui fait connotation à la mort et les événement sont vécu directement par le lecteur en même temps que le personnage Tchen et on a une description « la droite un rasoir la gauche un court poignard. Il le fit passer dans sa main droite la gauche retombant sur la laine de son chandail » ce qui ne laisse pas recours à l’imagination du lecteur.

Dans les texte de A.Malraux on relève l'antithèse, « cette nuit n’était que clarté » et la séquence métaphorique « les barreaux de la fenêtre dont l’un rayait le lit ».on relève un atmosphère oppressante de la chambre avec une évocation de la mort et de l'assassin qui nous font penser à nous lecteur au roman policier avec un champ lexical de la mort « mourir », « tuerait », « exécuté », « se défendait », « combattant », « assassiner », etc.

Nous retrouvons dans les les texte a et b le champ lexical de la mort : sang rouge saignait , dans les texte c et d nous retrouvons le champs lexical de l’arme : revolver ligne 14 un rasoir ligne 20 poignard ligne 21 .nous pouvons retrouver aussi dans le texte 4 l’immobilisation «l‘arabe n’a pas bougé », l’utilisation de l’arme pour tuer « la gâchette a cédé »

Dans le texte 2, l’utilisation du verbe saigner « elle saignait » on relève aussi la présence de la mort « dans la mort » de la terreur « terrifié ».

Pour conclure nous avons dans chaque scène une scène en ayant recours à une arme ou pas mais ces scènes

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