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Bel-Ami, Maupassant

Dissertation : Bel-Ami, Maupassant. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  21 Novembre 2022  •  Dissertation  •  586 Mots (3 Pages)  •  291 Vues

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                                                        Bel-Ami

         

          L’accusé ici présent, George Du Roy, a commis de nombreuses fautes punissables par la loi depuis son arrivée à Paris pour y faire fortune. Il a réussi durant son existence à évoluer dans la société et à s’enrichir. Mais de manière fourbe et immorale.

          En effet, pour parvenir à ses fins, il n’a pas utilisé le long et sinueux chemin du mérite, mais le court et direct chemin de l’hypocrisie. Il a exploité la gentillesse, la sincérité mais surtout l’argent des autres et en particulier des femmes (même si au tout début, la première victime de son hypocrisie est Charles Forestier).

          Comme je viens de le dire, sa première victime était Charles Forestier : celui-ci, en tant qu’ami, invita Du Roy à diner le lendemain de leur rencontre chez lui afin de rencontrer M. Walter, le directeur de << La Vie Française>>  ou travaille M. Forestier, pour obtenir un poste dans le journal. En discutant un peu, Du Roy avoue à son ami ne pas avoir d’habit pour le repas. M. Forestier va donc donner deux louis a Du Roy pour qu’il puisse s’en procurer un. Mais sur les deux louis , seul un a servi à acheter l’habit, l’autre a servi le plaisir personnel de Du Roy : Il paya Rachel, une femme de plaisir. Elle lui fit découvrir son pouvoir de séduction sur les femmes, et l’accusé s’en servit durant toute son ascension sociale.

          Après M. Forestier et Rachel, Laurine de Marelle fut sa victime : il parvient à l’apprivoiser et à s’en rapprocher en tant qu’ami. La jeune enfant le surnomma <<Bel-Ami>>, cette marque d’amitié que Laurine donna à Du Roy, ce qui lui permit de séduire Mme de Marelle.

          En effet, après Laurine, se fut la mère de l’enfant. Celle-ci, folle amoureuse de Du Roy, lui loua un nouvel et meilleur appartement. Et lui prêta, sans compter l’argent qu’elle devait payer pour le loyer. Cet argent, que l’accusé ne rendra jamais à Mme de Marelle, ne servit pas que pour l’inviter. Il s’en servit aussi pour manger. Même si on ne peut pas punir l’accusé parce qu’il cherche à subsister, mais on peut remarquer que Du Roy parvenait déjà à manger sans l’argent de Mme de Marelle.

         Toujours en liaison cachée avec Mme de Marelle, l’accusé se servit de Mme Forestier, la femme de son ami : il s’en servit en premier lieu d’aide dans  le travail de journaliste car celle-ci permit la rédaction de son première article.

Puis, après la mort de M. Forestier, l’accusé pris la place journalistique et conjugale de son ami. Mme Forestier servit de <<source d’argent>> à Du Roy : c’est elle qui lui écrivait en partie les articles de presse, c’est elle qui enrichit considérablement l’accusé en lui donnant la moitié de l’héritage de Vaudrec, et c’est elle aussi qui lui fit gagner 40 000 francs seulement grâce au mariage. On voit bien ici que l’accusé ne se marie pas par amour mais pour de l’argent.  

             C’est pour cela que je demande 3 ans de prison ferme.  

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