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La transition énergétique à l’échelle locale

Analyse sectorielle : La transition énergétique à l’échelle locale. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Avril 2021  •  Analyse sectorielle  •  617 Mots (3 Pages)  •  1 038 Vues

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Berthon Lucas

Chapitre 8 activité 2:

La transition énergétique à l’échelle locale

1) La nouvelle installation sur le site de la station d’épuration de Clermont-Ferrand permet d’économiser de l’énergie grâce à un digesteur qui lui-même permet de mieux valoriser les matières organiques contenues dans les boues d’épuration, et aussi grâce à un processus de fermentation qui va jusqu’à l’obtention d’un digestat pouvant être utilisé comme un fertilisant dans l’agriculture et du biogaz qui permettra d’alimenter la station d’épuration et d’assurer son fonctionnement.

2) 10⁵ MWh<=> 10⁵/ 365,25x24= 11,4 MW

La puissance moyenne de l’incinérateur = 11,4 MW. La puissance délivrée par l’incinérateur est donc supérieure à celle délivrée par une éolienne (3 MW).

3) Le principal intérêt du réseau de chaleur des quartiers Nord de l’agglomération est d’un point de vue environnemental car tous les habitants mettent en commun leur système de chauffage pour limiter les pertes d’eau chaude lors de son transport dans le réseau. De plus, ce système utilise une énergie renouvelable, le bois, qui est issu des forêts du département. Grâce au bois récolté à proximité, le trajet est plus court et l’empreinte carbone est donc plus faible, alors que si le bois ne se trouvait pas à proximité le trajet serait plus long et l’empreinte carbone augmenterait. Afin de limiter ces pertes de chaleur, il est donc nécessaire d’avoir du bois à disposition afin de limiter le temps de trajet et les pertes de chaleur.

4) Les 3 exemples dans les documents illustrent bien la méthode locale de traitement des déchets. En effet, que cela soit les sources d’énergies et les déchets, ils sont produits et utilisés à l’échelle locale. Clermont-Ferrand illustre cela à travers diversité naturelle présente dans et autour de l’agglomération.

5) Par l’évolution de ses infrastructures, l’agglomération clermontoise, utilise les déchets afin de créer de l’énergie, et elle utilise l’énergie locale, ce qui lui permet d’avoir une faible empreinte carbone et une mixité énergétique.

Chapitre 8 Activité 3:

Les piles microbiennes

1) Il est possible d’utiliser des bactéries dans un procédé d’obtention d’énergie électrique de type pile car elles libèrent des électrons, qui vont générer une différence de potentiel d’action et par conséquent du courant électrique.

2) La pile microbienne à combustible installée en station d’épuration permet de charger seulement une batterie de téléphone alors qu'elle est très volumineuse.

3) Les oscillations observées lors de l’essai en rizière, à travers une courbe, montrent qu’il y a un maximum pendant la journée et un minimum pendant la nuit. Cela est dû au fait que ces oscillations ont besoin de soleil pour produire de l’énergie. Or, la nuit il n’y a pas de soleil, donc la production d’énergie est nulle.

4) Les piles microbiennes et les piles à plantes reposent sur le même principe, c’est à dire capter et utiliser l’énergie que la plante produit naturellement. Ces énergies sont dites renouvelables car à l’échelle humaine, les plantes poussent très rapidement et les microbes se démultiplient très vite.

5) Dans les stations telles que les rizières, les sources d’énergies, c’est à dire les microbes et les plantes, sont déjà présentes au début, ce qui peut nous laisser penser qu’il semble naturel de mettre en place des électrodes pour capter leur électricité. Cependant, on remarque que ces piles sont très peu rentables. En effet, elles prennent beaucoup de place et nécessitent beaucoup de matériel alors qu’elles n’obtiennent que très peu d’électricité.

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