Analyse de caricature, “Macron cherche la sortie de crise”

Chapitre 2

LA POLITIQUE BUDGÉTAIRE

Approche keynésienne : interventionnisme

Rejet de la loi des débouchés : offre crée la demande (production🡪salaire, profit🡪consso et pas d’épargne). Si ils épargnent 🡪 fuite ou « trappe à liquidité ».

Anticiper la demande « demande effectif » : demande des entreprises et des ménages.

Comment agir sur la demande effective ? politique monétaire (taux intérêt) ou budgétaire (investissement public)

Politique budgétaire pro cyclique et contra cycliques :

3 composants État :

• État central : ministères (déficit budgétaire).
• Collectivités locales : régions… (déficit)
• Administration de sécurité sociale

Politiques budgétaires actives (volontaire) :

• Pol conjoncturelle contra cyclique (relance en période de récession)
• Pol conjonc pro cyclique : relance pdt période de croissance pour baisser chômage.

Politiques passives ou stabilisateurs automatiques :

SA = capacité budget état à atténuer conséquences des even conjonc sur le PIB 🡪 contra cyclique passive avec prélèvements sociaux

Récession : politique passive :

• baisse act et revenus + chomage et pauvreté 🡪 prelev obligatoires diminuent (ménages payent moins TVA)  et dépenses publiques augmentent 🡪 accroissement déficit 🡪transfert revenus APU vers ménages et ets 🡪 relance éco

Surchauffe : passive

• aug activité éco+ baisse chomage 🡪 prelev obligatoires augmentent et baisse dépenses publiques 🡪 excédent public 🡪 transfert revenus ménages vers APU 🡪 baisse surchauffe.

Le multiplicateur keynésien :état donne impulsion avec investissement(ex : nouveau campus)

Invest public 🡪 augmentation production 🡪 aug revenus distribués 🡪 augmentation demande

Les limites :  épargne, importation, pression fiscale (impôts)

Contestation et limites outils budgétaires :

D’après Keynes : si baisse de la demande, il y a sous-emploi car baisse de la production donc l’état doit intervenir avec multiplicateur keynésien.

Les cdts pour que ca marche : éviter l’épargne, augmenter impôts et offre flexible.

Limites selon les libéraux : politique de relance est longue ; pol budgétaire coute cher (donc déficit donc augmentation impot donc baisse demande) ; le consso va voir à long terme et va anticiper, c’est le revenu permanent et pas le revenu courant.

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