Analyse caricature Hervé Pinel

Analyse d’une image en emc

Caricature d’Hervé Pinel dans Les Écho (Humour, Actualité politique) le 22 novembre 2017

-extraite d’un article du journal « Les Échos » intitulé «Pourquoi l’addiction et les fake news sont l'ADN des réseaux sociaux »

-Elle a pour but de sensibiliser les lecteurs du journal aux « fakes news » (fausses informations) et addictions liées aux réseaux sociaux.

-micro bio d’Hervé

après l’axe: le mini plan

Description:

-représente la jeunesse (environ jusqu’à 21 ans)

- qui est piqué aux bras

-sourire béat

- la référence à pinocchio

Analyse:

ADDICTION//

-relié à des flacons de perfusion

-Le terme de « perfusion » est normalement l'injection lente et/ou continue d'un liquide dans le corps ; la comparaison faite avec la circulation d’informations est très intéressante. En effet, la perfusion est utilisée pour des raisons médicales (donc qui a un effet de guérison ; qui est essentiel). Or on l’utilise de manière ironique dans cette caricature parce que l’utilisation des réseaux est évidemment facultative..

-On pourrait d’ailleurs se poser la question lorsqu’on sait que le temps moyen sur les réseaux sociaux est de 3h pour les jeunes âgés de 15 à 19 ans. Chez certains, la durée de connexion à ces réseaux sociaux dépassent l’entendement alors que la moyenne est déjà assez élevée.

-De plus, Les nombreuses piqûres sur les bras sont une référence aux drogues et donc à l’addiction. Face à cette « drogue », le personnage maintient un sourire même si il a l’air étourdi (les spirales et étoiles au dessus de sa tête) .

-mylittlepony

FAKE NEWS//

Pinocchio : dessin animé avec le pantin qui a le nez qui s’allonge lorsqu’il ment.

Reflet de mensonges, de fake news.

la lecture de mensonges peut caractériser une personne de menteuse

53 % des français partagent des informations sans vérifier la source.

Les fakes news ↔ effet dévastateur sur la société

nous utilisons notre esprit critique pour juger la véracité d’une information.

utilisation masque est judicieux

effet néfaste MAIS AUSSI divulguer de vraies informations + être bénéfique pour certaines personnes.

Saroo Brierley à l'âge de cinq ans, est accidentellement séparé de sa famille, il est adopté par un couple australien. 25 ans plus tard, grâce à ses souvenirs et via les réseaux sociaux

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