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Équilibre financier d'une entreprise industrielle et commerciale

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Par   •  2 Février 2015  •  3 978 Mots (16 Pages)  •  955 Vues

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Pentium est une marque déposée par Intel en 1993 au moment du développement des ordinateurs individuels avec écran couleurs, capables de traiter rapidement photos, vidéos, fichiers sons et jeux vidéo pour PC. La marque a aussi vu Intel entrer sur le marché des processeurs pour serveurs Windows NT puis Linux, nouvelle stratégie qui a contribué à la très forte hausse des sociétés de technologie de la seconde partie des années 1990.

Le Pentium II est un microprocesseur de la famille x86 produit par Intel. Sorti en mai 1997, il est de la sixième génération (architecture P6), comme le Pentium Pro. Il adopte les instructions vectorielles MMX. Il était à l'origine destiné à l'ensemble de la gamme PC et stations de travail. Les premiers Pentiums II, de nom de code Klamath fonctionnaient à 233, 266, 300 Mhz avec un FSB à 66 MHz, et étaient gravés en 0,35 µm. Les suivants, dénommés Deschutes, gravés en 0,25 µm, se déclinaient de 266 à 450 MHz, sur un FSB à 66 MHz, puis à 100 MHz. C'est aussi la première génération à se présenter sous forme de carte enfichable, sur le Slot 1 notamment. La version serveur est le Pentium II Xeon, sur support Slot 2.

Le Pentium III est un microprocesseur de la gamme x86 d'Intel. Il est de la 6e génération, comme le Pentium II et le Pentium Pro.

Cinquième processeur vendu sous la marque Pentium (après le Pentium, le Pentium MMX le Pentium Pro et le Pentium II), il est développé sous le nom de code Katmai et sort à la fin février 1999. Il se distingue de son prédécesseur le Pentium II par l'ajout de 70 nouvelles instructions vectorielles SSE (SIMD), exécutées par des unités distinctes (entiers vectoriels), ou par les FPUs (flottants vectoriels). Une des différences en termes d'apparence physique des deux familles de processeurs est la taille. En règle générale, le progrès technologique, les pièces deviennent plus petits. C'est le cas avec le Pentium III et Pentium 4. Le Pentium 4 sont plus petites que le Pentium III. Il convient de noter, cependant, que les premières versions de chacun de ces types de processeurs ne sont pas configurées de la même façon que les derniers. Cela signifie qu'ils ont différentes broches et s'intègrent dans différents récipients sur la carte mère.

Une autre différence importante se présente sous la forme de cache. Lorsque vous faites référence à des processeurs, la mémoire cache est un type de mémoire qui se trouve à l'intérieur de la structure du processeur lui-même. Cette mémoire peut être consulté plus rapidement que la mémoire système peut. Le plus cache un processeur a, mieux c'est. Processeurs Pentium III avait (pour la plupart) à propos de 512 Ko de cache. Les processeurs Pentium 4, d'autre part, commencent à 512 Ko pour le bas de gamme et de travailler jusqu'à bien au-delà du niveau 1 GB. Le Pentium IV, produit par Intel, est un microprocesseur x86 de septième génération inaugurant l'architecture NetBurst. Il succède à la génération P6 inaugurée par le Pentium Pro. Cette nouvelle architecture a comme but avoué la montée (relativement) facile en fréquence. En effet, lors du lancement de ce processeur, la fréquence de fonctionnement du processeur faisait un excellent argument marketing. Intel décide donc de proposer un processeur possédant une haute fréquence de fonctionnement par rapport à ses prédécesseurs ou à son principal concurrent, l'Athlon XP d'AMD. Ce choix entraîne l'utilisation de pipelines d'une longueur très importante, sacrifiant le rapport performance/fréquence.

À l'instar du Pentium II et du Pentium III, la version professionnelle du Pentium 4 fut vendue sous la marque Xeon et la version à bas prix fut vendue sous la marque Celeron.

L'architecture NetBurst est progressivement abandonnée à partir de 2006 pour des raisons de consommation électrique et de dissipation thermique trop importante ; d'ailleurs, son utilisation dans les ordinateurs portables déclenchait trop souvent le ventilateur (c'est pourquoi Intel a conçu le Pentium M). La forte dissipation thermique est ce qui a empêché Intel d'atteindre la fréquence prévue à l'origine pour le Pentium 4 (entre 7 et 10 GHz).

Q/ A quoi peut mesurée la richesse d’une nation ?

Réponse : Du point de vue de l’économie classique, la richesse nationale consiste en l’ensemble des biens et services, dont la propriété ou l’usage, procure satisfaction à l’ensemble de la société. Elle inclut notamment et principalement le stock d’actifs économiques qui sont détenus par la nation. Son analyse diffère selon l’approche ; richesse détenue en stocks (patrimoine), flux de richesse créée (revenu), richesse financière (titres de propriété ou de créance), richesse réelle (biens et services), etc. Quoi qu’il en soit, il est de coutume de mesurer cette richesse nationale grâce à un outil appelé Produit intérieur brut (PIB), même si cet outil est de plus en plus critiqué, particulièrement en France.

La réponse parait simple si l'on se réfère au PIB (Produit intérieur brut) mais d'autres indicateurs de mesure sont possibles.

Le PIB est la référence mondiale pour mesurer le développement d'un pays. Il se focalise sur la croissance d'un pays en prenant en compte la production de biens et services sur une période donnée. Mais le PIB ne prend pas en compte la valeur du capital naturel utilisé pour produire la richesse. En fait, les ressources naturelles comme l'eau, l'air ou les forêts sont souvent considérées comme gratuites. Il y a quelques semaines, L'ONU a lancé l'IWI, l'Indice de richesse « inclusive » qui prend en compte le facteur environnemental et l'utilisation des ressources naturelles dans le développement de la richesse économique d'un pays.

La croissance Chinoise passe de 400% (PIB) à 45% (IWI) sur la période 1998 à 2008. Sur les vingt grands pays étudiés seul, le Japon a vu son capital naturel augmenter grâce à une politique de développement de ses forêts. Le capital naturel de la France est resté stable. Autre limite du PIB: il ne tient pas compte du bien être de la population, que l'on peut par exemple mesurer par l'évolution des cancers liés à la pollution (engendrée par le développement de certaines industries)...

L'IDH (Indice de développement humain), qui considère la croissance d'un pays en fonction de l'évolution de l'espérance de vie, du niveau d'éducation et du niveau de vie d'une population, permet de combler cette lacune

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