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Marché de l'art de la table et de la cuisine

Analyse sectorielle : Marché de l'art de la table et de la cuisine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Juin 2017  •  Analyse sectorielle  •  2 095 Mots (9 Pages)  •  2 511 Vues

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Marché de l’art de la table et de la cuisine

Le marché de la cuisine en pleine ébullition,

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Le marché de la cuisine innove

D’apres une étude du groupe Xerfi, le nouveau mode de vie des français les poussent vers le faire soi meme. La pratique de la cuisine est devenue un nouvel engouement. Que ce soit dans le but de manger plus sainement ou pour le plaisir d'assurer une transmission de savoir-faire culinaire, cette nouvelle tendance est aussi accrue par le pouvoir d'achat en baisse. La désexualisation de la pratique de la cuisine joue également un rôle dans ce nouveau mode de vie des français. Concocter soi-même ses repas répond à un plaisir de cuisiner et de bien manger, malgré le facteur ‘temps'.

Tous les acteurs de ce marché de la cuisine doivent être prêts à relever plusieurs défis. Il est assez difficiles de suivre les paradoxes des consommateurs, ils veulent des produits frais mais achètent du surgelé. Il faut aussi savoir déjouer la concurrence et faire en sorte que ces nouvelles habitudes continuent d'évoluer et de progresser.

Les fabricants de petit électroménager culinaire prennent bien en compte les désirs des clients. Les produits dérivés du secteur culinaire répondent à une attente de facilité d'utilisation et leur but est de faire gagner du temps. L'étude faite par le groupe Xerfi fait ressortir qu'un tiers de l'offre du petit électroménager est renouvelée chaque année. L'innovation des fabricants se démontre aussi par le design moderne des appareils, leur faible encombrement et l'application des nouvelles technologies.

Marché parallèle,

- Les Livres.

En 2012, les ventes de livres culinaires ont progressées de 6 %. Les éditeurs jouent sur la créativité en matière de formats, de titres, de couleurs, etc. Les livres de recettes se divisent de plus en plus par catégorie : profils, produits, spécialités géographique Pour exemple, une collection petit prix et petit format, sur le produit Nutella, s'est classée 3ème dans les 20 meilleures ventes de livres en 2012 (étude Xerfi).

Par contre, les magazines culinaires n'ont pas tous réussi à s'approprier la fidélité d'une clientèle, exception faite pour ‘Cuisine et Vins de France'. En règle générale les magazines de cuisine s'appuient sur des marques fortes comme par exemple ‘Elle'.

- Les enseignes de distribution spécialisées.

Plusieurs enseignes sur le secteur de la cuisine rencontrent le succès et rassemblent dans un même lieu, tous les genres de produits destinés à la cuisine. On peut citer par exemple, Culinarion, Ambiance et Styles, TOC, Kitchen Bazaar, Alice Délice, Du Bruit dans la Cuisine,

La concurrence commence à s'installer chez les distributeurs généralistes qui aménagent des rayons spécialisés. Ils ont bien pris conscience du potentiel du marché et commercialisent de plus en plus des ustensiles, de l'épicerie fine, des livres spécialisés, etc. L'enseigne ‘l'Atelier des Chefs', réalise 10 % de son chiffre d'affaires par la vente d'ustensiles de cuisine.

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« Top Chef », « Master Chef », « Un dîner presque parfait »…  Grâce à ces émissions à succès, la cuisine redevient tendance. Et avec elle, les arts de la table.

 

Quelques chiffres sur le marché des arts de la table

 

En 2012, ce marché représentait, selon l’Institut I+C en collaboration avec le Comité Francéclat, 4,8 milliards d’euros, en baisse de 2,5% par rapport à 2010. Il y a trois ans, la baisse de consommation des particuliers n’avaient pas été compensée par l’augmentation des ventes aux professionnels.  En 2014, le marché s’est inscrit en baisse de près de 4 % par rapport à l’année 2013.

 

Malgré un regain de la demande observé  en décembre dernier, le début d’année a été plutôt difficile. Les professionnels des arts de la table restent néanmoins partagés. Il y a ceux, à l’instar des détaillants indépendants et groupements, ainsi que les chaînes et franchises, qui accusent une baisse sensible d’activité. Et les spécialistes des meubles, les hypermarchés et les grands magasins qui maintiennent leurs ventes.

 

Les avantages du secteur

Aujourd’hui, le marché semble répondre à une logique d’achat rationnel, de renouvellement et de nécessité, loin des achats coup de coeur et plaisir. « Le marché recèle sans doute là un réservoir de croissance », note le cabinet d’études Xerfi dans sa dernière étude dédiée au secteur. Le marché des arts de la table et de la cuisine pourrait donc entrer dans une nouvelle dynamique de croissance.

L'observatoire vous recommande :

  •                 Ambiance et Styles Equipement de la maison et art de la table [pic 2]  125 000 € Voir la fiche 
  •                 Culinarion Accessoire et ustensile cuisine haut de gamme [pic 3]  80 000 € Voir la fiche 
  •                 Mr Bricolage On peut compter sur lui [pic 4]  250 000 € Voir la fiche 
  •                 Bricomarché Réseaux de magasins indépendants du bricolage [pic 5]  100 000 € Voir la fiche 

Les enseignes spécialisées, et particulièrement les franchises, ont tout intérêt à se positionner sur le web. En effet, alors que les ventes en ligne aux particuliers affichent des taux de croissance à deux chiffres, les distributeurs d’arts de la table et de la cuisine semblent être en retard en matière d’e-commerce. Selon les estimations de Werfi, les ventes en ligne d’arts de la table et de la cuisine représentaient déjà 10% du marché en 2011 (soit environ 350 millions d’euros) dont 8% seulement assurés par les click & mortar.

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