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Analyse de situation aux urgences plus précisément à l’UHCD

Étude de cas : Analyse de situation aux urgences plus précisément à l’UHCD. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  8 Juin 2022  •  Étude de cas  •  895 Mots (4 Pages)  •  856 Vues

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  1. Choix de la situation

Lors de mon stage aux urgences j’ai pu observer plusieurs gazométries et également en effectuer. J’ai choisi cette situation car pour moi c’est un des soins que je voulais réaliser.

  1. Description de la situation

Ceci se passe aux urgences plus précisément à l’UHCD, ce sont ou il y a les patients covid +. Ceci se passe au milieu de mon stage. C’est un matin lors du premier tour de contrôle vers 7h15. Je suis accompagnée d’une ide, lors des 2 premiers patients covid l’ide a réalisé les 2 gazométries et j’ai plus bien observer. Je me suis donc proposé de réaliser la suivante.

Je prépare dans un haricot le matériel nécessaire pour réaliser une gazométrie. La seringue, de quoi faire un protocole Bétadine 4 temps, une paire de gants, une poche réfrigérante, des compresses avec de l’antiseptique et une petite bande.

Une fois le matériel prêt et vérifier par l’ide nous nous équipons et rentrons dans la chambre covid+. Nous prenons les constantes de Monsieur et je lui explique que on va devoir réaliser une gazométrie comme les jours précédents. Après son accord je prends une chaise abaisse la barrière me met en de meilleures conditions afin de réaliser ma gazométrie.

Je réalise un SHA, retire le patch de EMLA qui avait posé par l’ide, je réalise le test d’Allen, et je repère l’artère dans laquelle je vais piquer. Je réalise mon protocole Bétadine 4 temps à l’endroit de ponction et je mets de la Bétadine alcoolique sur mon index et majeur gauche. Je repère mon artère à l’aide de ma main gauche et je pique sous mes doigts. J’enfonce jusqu’à ce que j’ai un retour dans ma seringue à gazométrie. Je n’ai pas de sang tout de suite j’ai dû chercher un petit peu seul, une fois trouvé le sang artériel monte. Une fois fini je retire l’aguille met la protection. Je mets une compresse et un bandage au niveau du poignet.

Je désadapte ma seringue à gazométrie de mon robinet et je referme avec le capuchon, je mets une étiquette du patient sur la seringue. Je conditionne ma seringue à gazométrie dans une pochette réfrigérée. Je rempli le bon de bilan sanguin avec la T° de la patiente.

Une fois fini je demande le ressenti à monsieur, il dit qu’il a senti mais que c’était largement supportable.  

  1. Réflexion sur la pratique professionnelle

Lors de cette situation j’étais stressée du fait que ça allait être la première fois que je réalise une gazométrie, j’ai rencontré des difficultés a trouvait tout de suite l’artère. Minutieusement en cherchant j’ai réussi à la trouvé.

  1. Questionnement sur la situation

Dans cette situation je me pose les questions suivantes :

  • Qu’est-ce qu’une gazométrie ?
  • Pourquoi réaliser une gazométrie ?
  • Quels sont les interprétations des résultats et les normes ?
  • Qu’est-ce que le test de Allen
  1. Analyse de la situation

Grace à mes recherches, je peux retrouver qu’une gazométrie artérielle permet, associée à la spirométrie une approche de la physiologie respiratoire du patient. C’est un examen essentiel du diagnostic et de la surveillance de l’insuffisance respiratoire au stade chronique ou aigue.

Lorsqu’une gazométrie est réalisée il faut savoir lire les résultats on va notamment les retrouver ci-dessous :

  • PaO2 : la pression partielle d’oxygène, reflète la quantité d’oxygène délivrée aux organes

Norme : entre 80 et 100 mmHg

Hyperoxie : PaO2 supérieure à la normale

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