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Nike Ta Mere

Rapports de Stage : Nike Ta Mere. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Février 2013  •  5 472 Mots (22 Pages)  •  1 052 Vues

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L'Art Et l'Empreinte.

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Catégorie: Société

Soumis par: Elise 09 avril 2012

Mots: 6112 | Pages: 25

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autre de temps plus anciens ont laissé, c’est-à-dire en somme que tout œuvre étant modification de la matière dans un vu de pérenniser une idée et une empreinte.

Toujours en suivant cette idée on peut emmètre le commentaire suivant : l’empreinte est la conséquence de tout acte du moment où celui-ci entre en contact avec quelque chose d’autre que lui-même, que ce soit l’action de peindre, ou de crier lors d’une manifestation, ou bien encore de s’assoir tous les jours à la même places, râpant de son arrière train toujours et toujours la même chaise.

Ainsi dans les empreintes utilisées par l’artiste on pourra aussi classer celle qui repose sur une empreinte collective sur nos modes de vie nos corps et le monde

On s’intéressera au cours de cet exposé aux différents de l’empreinte

En débutant tout d’abord par l’empreinte en tant que procédé plastique simple, puis en tant que trace du passé, pour s’intéresser à l’empreinte de l’homme sur le monde, puis l’empreinte de l’homme sur son propre corps et donc son identité, afin de voir l’empreinte de l’homme sur l’homme

Pour répondre au questionnement suivant : L’art et l’empreinte sont-ils dissociable ? Peut-il exister un art, sans utilisation à quelque niveau que ce soit de l’empreinte ?

I) L’empreinte : procédé plastique de premier ordre.

A) L’empreinte préhistorique et ses déclinaisons plus moderne : l’anthropométrie

-L’art préhistorique, cette art est intéressant pour plusieurs raison :

* Ces images incorporent le principe primitif, et primaire de l’anthropométrie, c’est-à-dire de l’empreinte à la fois identitaire et esthétique.

* L’hommes qui a réalisés ces empreintes a peut-être voulus faire une signature ? Que le dessin sur les parois de la grotte soit désigné pour le groupe comme sienne ? Une marque de propriété et identitaire, c’est la main du chef ou du chaman par exemple

* Ainsi peut être que l’homme préhistorique qui posse son empreinte sur le mur de la grotte, dans un lieu sacré essaye d’y accéder, de passer au statut de divin ? on peut donc dire que l’empreinte est lié au rituel ex : rituel catholique le signe de croix a l’eau bénite, rituel de nombreuse tribut,

* On n’est pas loin avec cette idée de passer dans un statut semi divin ou divin, ou du moins religieux, au rituel quasi-canonique des stars hollywoodienne qui on leur étoile avec la trace de leur mains

* Mieux encore peut être que laisser une empreinte dans un lieu sacré, dans un lieu de passage entre vivant et mort, comme certains archéologue le pense, c’est s’assurer une survivance au moins en mémoire , c’est-à-dire accéder a l’immortalité via l’empreinte et la trace, on laisse un indice de son passage

* Plus loin encore grâce a la technologie moderner on sait non seulement que ces traces négative sont faite le plus souvent dans des grottes inhabité mais que non seulement elles suivent un schéma , avec une organisation basée sur le sexes des individus car il apparaitrait même que ces empreinte est était réalisé en groupes et serait donc a proprement parler des œuvres d’art.

Déjà au niveau préhistorique on retrouve les composantes de base du travail de l’empreinte

Mémoriel, rituel, sauvegarde, présence et histoire qui sont la base du travail de l’empreinte en art .

* Yves Klein et Jasper Johns

C) L’empreinte par destruction et modification du support

* Jaccard : Il brule les matériaux, afin d’obtenir un nouveaux motif qui sera l’empreinte de celui-ci les flammes laisse des trace de suies et la ligne de Zinc, ou de métal n’est plus qu’une éphémère trace de combustion. Il y’a alors une dialectique entre l’empreinte et l’acteur, car on dire que rien n’est plus éphémère qu’une flamme, vacillante et évanescente, l’artiste capture l’incandescence et la transcende en une image à la fois abstraite mais pleine de signification voir de figuration

* Il y’a une dimension rituel du feu, encore une fois on voit un liaison forte entre le sacré, le divin voir le chamanisme et l’empreinte, on peut dire que la trace qui reste après une combustion est à la fois un reste mais aussi une empreinte, à la fois de l’action mais aussi de l’entité ayant été, l’exemple type sont les cendre de la grand-mère qu’on garde dans l’urne .

D) Le moulage

* L’arbre au voyelle de Penone

E) Le geste

II) L’empreinte, la présence et le passage du temps

A) L’empreinte de l’individu, une empreinte historique individuelle

* Lors des recherche préliminaire sur l’empreinte, il nous est apparus que le terme est fortement lié à la notion d’évocation tout autant qu’à celle du temps d’où la présentation du travail très connus de Christian Boltanski qui nous montre des êtres passés, des individus qui on marquait un certain nombre d’objets et que Boltanski essaye de ressusciter.

* On peut dire tout de même que ces objets portent l’empreinte de leurs propriétaires

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