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Empêcher la contamination - exemple du tatouage -activité

Cours : Empêcher la contamination - exemple du tatouage -activité. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Octobre 2022  •  Cours  •  578 Mots (3 Pages)  •  149 Vues

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Activité 3 : Empêcher la contamination

Le tatouage a longtemps eu une bien mauvaise réputation. On ne le rencontrait guère que chez la pègre, les prostituées, les membres de gangs, les soldats, les prisonniers… Tous ceux qui étaient les marqueurs d’une humanité en marge, un peu rebelle.

Aujourd’hui, en Europe, une personne sur 10 en moyenne est tatouée.

La technique du tatouage s’est perfectionnée, avec l’utilisation notamment du dermographe, machine à tatouer moderne constituée d’aiguilles attachées à une barre avec un canon électrique, et reliée à une pédale qui permet de l’activer.

[pic 1]

Lorsqu’il est mis sous tension, les aiguilles se déplacent de haut en bas et la pénétration des aiguilles dans les couches profondes de la peau, sous l’épiderme, permet l’insertion de l’encre dans le derme. La vitesse des aiguilles varie entre 3000 et 5000 mouvements par minute, soit 50 à 80 par seconde, ce qui correspond à environ 288000 piqures par heure (pour information une demi-manchette représente environ 15 heures de travail).

Le tatouage est une technique douloureuse qui va donc créer dans la barrière naturelle peau de très nombreuses ouvertures.

Comment alors empêcher la contamination de zones parfois très étendues par des germes ?

Document 1 : film Tatouage et hygiène

Document 2 : Définitions

Asepsie : ensemble de mesures préventives permettant d’éviter la contamination par les micro-organismes.

Antiseptiques : substance détruisant, pour éviter l’infection, des micro-organismes existant à la surface d’un organisme vivant.

 

Document 3 : Les documents fournis par un shop de Clermont Ferrand

Utilise les documents pour lister les méthodes appliquées dans la pratique du tatouage pour limiter les risques de contamination.

D1.1- S’exprimer correctement à l’écrit

J’ai réussi si relevé dans les documents les méthodes aseptiques et les antiseptiques utilisées et que je les ai présentées de façon claire

[pic 2]


 Activité 3 : Empêcher la contamination

Le tatouage a longtemps eu une bien mauvaise réputation. On ne le rencontrait guère que chez la pègre, les prostituées, les membres de gangs, les soldats, les prisonniers… Tous ceux qui étaient les marqueurs d’une humanité en marge, un peu rebelle.

Aujourd’hui, en Europe, une personne sur 10 en moyenne est tatouée.

La technique du tatouage s’est perfectionnée, avec l’utilisation notamment du dermographe, machine à tatouer moderne constituée d’aiguilles attachées à une barre avec un canon électrique, et reliée à une pédale qui permet de l’activer.

[pic 3]

Lorsqu’il est mis sous tension, les aiguilles se déplacent de haut en bas et la pénétration des aiguilles dans les couches profondes de la peau, sous l’épiderme, permet l’insertion de l’encre dans le derme. La vitesse des aiguilles varie entre 3000 et 5000 mouvements par minute, soit 50 à 80 par seconde, ce qui correspond à environ 288000 piqures par heure (pour information une demi-manchette représente environ 15 heures de travail).

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