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Cyril lemieux

Commentaire de texte : Cyril lemieux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  9 Mars 2018  •  Commentaire de texte  •  1 781 Mots (8 Pages)  •  3 675 Vues

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 -Mariam Bahgat
-2ème Science Po
-CM Science po
                       

                                   

                                      Commentaire
                                Dr.Marie vannetzel

Premièrement, je vais parler en bref sur les 2 sociologues des 2 textes :
-Cyril Lemieux est sociologue français, directeur d’études à l’EHESS. Un premier volet de son travail est consacré à la sociologie des médias et de l'espace public. Dans ce domaine, il a notamment publié Mauvaise presse, A l'épreuve du scandale (avec D. de Blic, et La subjectivité journalistique.

Un second volet de son travail concerne la théorie sociologique. Dans ce domaine, il a notamment publié Naturalisme vs constructivisme ? (Avec M. de Fornel), Le devoir et la grâce. En marge de ces travaux, C. Lemieux tente de promouvoir la sociologie dans les médias. Dans cette perspective, il a tenu des chroniques au Monde.fr, à France-Culture, à Alternatives économiques et à Libération, dont certaines ont été regroupées en ouvrages (Un président élu par les médias?; La sociologie sur le vif, ; Sociographic, illustré par Saint-Oma,

-Nina Eliasoph est de nationalité américaine. Ella enseigne la sociologie à l'université de Californie du Sud. Ses travaux portent sur l'engagement citoyen, l'empowerment et la mobilisation des catégories en voie de marginalisation.
Elle est l'auteur d'
Avoiding Politics: Comment l'Américain produit l'apathie dans la vie de tous les jours, Faire du bénévolat, La politique du bénévolat et de nombreux articles. Elle a travaillé à la radio communautaire et à de nombreuses campagnes politiques locales.

Et maintenant, parlant d’un article que Cyril Lemieux a écrit (problématiser) dans l’enquête sociologique sous la direction du Serge Paugam.
 Le plus difficile en sociologie en sociologie c’est de formuler de bonnes questions et ce qui le mène plus difficile c’est l’existence des questions scolastique et descriptive car elles sont incapables de soulever un véritable problème.

 
1-Questions scolastiques
Elles sont issues des réflexions générales c’est-à-dire quand quelqu’un acte d’une manière différente et indépendante de nos habitudes ou socialisation et on agisse par rapport à ces pensées donc on est influencée par la société et on parle ici de la métaphysique plus que celle de l’analyse sociologique.
Le plus odieux que la question scolastique c’est
2- les questions descriptives
car  elle se concentre sur un cas particulier ou de savoir un certain type de réalité sociale « statistiquement » et son progression, c’est en fait pour collecter des informations, ce genre de question est dans le cadre social mais ne formule pas un problème sociologique.

Et on peut dire si les sociologues produisaient seulement ces 2 genres de questions on perdrait l’esprit de la sociologie et ça serait très loin du compréhension du monde social.
Outre, comme Cyril Lemieux a illustré l’esprit est un art pour
problématiser le monde social donc pour éviter un décalage il faut laisser de côté les interprétations naturelles car l’esprit sociologique  est critique et pour pouvoir problématiser il faut que le sociologue suive 3 méthodologies essentiels (Construction d’une énigme), (Construction d’objet sociologique), (enquête empirique).

1) Construction d’une énigme

fait une problématique et il a critiqué vis-à-vis de la réalité observée. Pour que les sociologues peuvent mettre le monde social en énigme c’est à travers 4 étapes :
1. S'emparer d'une croyance partagée du sens commun ou d'un constat reconnu relatifs à l'objet qu'on entend étudier
2. En tirer une série d'inférences logiques ou d'énoncés prédictifs
3. Faire apparaître un ou plusieurs éléments empiriques qui contredisent les inférences logiques ou les prédictions qu'on vient de tirer.
4. Se demander comment, si les croyances partagées à l'objet sont vraies, ces éléments empiriques peuvent exister

En abordant l’exemple du Max weber il applique ces étapes :
-Quand les individus obtiennent un surplus du revenus ou de bien ils le consomment ou l’épargne
-c’est un comportement normal chez les individus (logique).
-Au 17eme siècle avec l’émergence du bourgeoisie les entrepreneurs capitaliste ont utilisé une méthode par travailler pour obtenir le maximum de surplus et pas à travers l’épargne et la consommation mais par l’investissement dans les machines et cela davantage de surplus a l’infini
(on remarque ici une contradiction).
-Questionner→ comportement prodigieux ou quelque chose anormal selon les comportements
économiques  dans les autres sociétés.
Par cela Weber a dû passer par les étapes pour atteindre le but de problématiser.

NB : la faite de ne pas formuler la contradiction entre l’étape 1 et 3 cela va mener la production des questions scolastiques ou descriptives dont on doit éviter.
Exemple qui explique(3promeneurs)

-Le premier promeneur qui se traine dans la rue ou il y a 25 maisons différentes, sa question étaient ‘’quelle forme ont les fenêtres de ces maisons ?’’ la réponses était 25 formes rectangulaires et une forme ronde et c’est une question descriptive dans ce cas car il n’a pas fait un acte scientifique ou sociologique.

-2eme promeneur forme une question scolastique il essaye d’être plus profond mais il n’a pas fait attention aux faits empiriques en ignorant le fait anormal qu’il y a une maison avec des fenêtres rondes mais en fait il a concentré sur le constat reconnu (24 maisons avec des fenêtres rectangulaires).

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