TPE / inégalité salariale hommes/femmes

Introduction :

Historiquement, sur le long terme, les inégalités entre les hommes et les femmes se sont réduites, sur le marché du travail, dans la famille, à l’école, depuis la seconde guerre mondial du fait que les femmes se sont révolté contre les injustices, ce qui a force les autorités à réduire ces inégalités en leurs donnant par exemple le droit de vote en 1945. Le jugement qui domine aussi bien dans les médias que dans la plupart des publications savantes est sans appel : même si elle a connu quelque avancées depuis les années 1960, la situation professionnel des femmes connaît également des régressions comme le chômage et la précarité par exemple et le maintien de discrimination indiscutable que les écarts de salaires entre hommes et femmes est autour de 25 %, donc, il y a toujours des inégalités qui demeurent notamment dans le domaine du travail liées aux salaires entre les hommes et les femme en France.

Comment peut-on définir une inégalité ? Une inégalité est une ou des différences de toutes natures (économiques, sociales, culturelles …) entre individus et groupes sociaux, dont certaines sont mesurables et qui font l'objet au sein de chaque société d'un jugement de valeur entraînant un classement plus au moins implicite (désavantage/avantage). Ces inégalités salariale proviennent en grande parti de la socialisation, car l’individu a depuis son enfance intériorisé et développer des valeurs, des normes correspond à son genre. Ces inégalités proviennent aussi de la répartissions des tâches domestiques et du temps partiel des femmes. Le partages des taches ménagère est très déséquilibré dans les couple ou les deux conjoint sont actifs conforte l’évidence d’un sentiment d’injustice, d’une iniquité dont les femmes sont victimes.

En France, il y a des différences salariales entre les hommes et les femmes, et ces dernières sont le plus touchées par ces disparités salariales. D’après Françoise Giroud en 1983« La femme sera vraiment l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignera une femme incompétente »

Dans un premier temps ce document va expliquer les origines des inégalités entre les hommes et femmes sur le marché de travail puis dans un second temps ce document expliquera les différences salariales entre les deux genres.

Quelles sont les inégalités économiques entre les hommes et les femmes dans le domaine du travail dans la France d'aujourd'hui ? Comment peut-on les expliquer

D’où viennent ces inégalités ?

Histoire

Il faut préciser que les femmes ont toujours travaillé. Mais leur accès massif au salariat et donc à l'autonomie économique est une grande conquête de la fin du XXe siècle. Aujourd'hui, elles représentent 46 % de la population active, elles étaient 34 % en 1960. Leur volonté d’indépendance financière ou d’indépendance tout simplement, les a conduites, à partir des années 60, à s’insérer dans les études et dans l’emploi, bien plus massivement qu’elles ne l’avaient fait auparavant. Avant les années 60, les femmes étaient sous le contrôle de leur mari, elles effectuaient des tâche ménagère sans être rémunérée. La croissance économique des Trente Glorieuses a facilité l’insertion des femmes dans le marché du travail même temps qu’elle en a résulté.

Les femmes sont devenues partie intégrante de la population active. Elles sont petit à petit commencer à être rémunérée. L’évolution des marchés du travail au cours des années 80 et surtout 90, marquée par la croissance molle qu’ont connue la plupart des économies européennes et par les changements dans la régulation mondiale, a modifié les modes d’insertion individuelle dans l’activité, et en tout premier lieu ceux des femmes.

Autrement dit, plus concrètement, par des exemples, une femme bien insérée dans le marché du travail et qui change d’emploi n’est pas en situation de précarité, mais gère sa carrière professionnelle : son parcours n’est certes pas linéaire, mais elle le maîtrise, en tout cas plus ou moins.

Même si les inégalités professionnelles entre les hommes et femmes proviennent de facteurs extérieurs au fonctionnement du marché du travail, cela n’a pas empêché les pouvoirs publics de renforce l’arsenal législatif anti-discrimination.

En France, une loi de 1975 interdit toute discrimination, mais les hommes et les femmes, ne sont souvent pas égaux face au travail, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas traités de la même façon : pour le même travail, le salaire d’une femme est souvent inférieur à celui d’un homme ; les femmes travaillent le plus souvent à temps partiel et en CDD (contrat à durée déterminée) et les femmes interrompent plus souvent leur carrière professionnelle contrairement aux hommes.

Des lois sont passées concernant ces discriminations envers les femmes

Cela commença avec la loi du 22 décembre 1972 qui pose le principe de l’égalité de rémunération pour un même travail ou un travail de valeur égale. Ensuite, la loi du 4 juillet 1975 interdit de rédiger une offre d’emploi réservée à un sexe, de refuser une embauche ou de licencier en fonction du sexe ou de la situation de famille sauf pour des motifs légitimes.

Enfin la loi du 13 juillet 1983 porte des modifications du code du travail et du code pénal en ce qui concerne l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ce qui transposent la directive. La loi réaffirme le principe de l’égalité dans tout le champ professionnel (recrutement, rémunération, promotion ou formation). La loi du 13 juillet 1983 due a Mùme Roudy réaffirme le principe de l’égalité professionnelle entre les hommes et femmes, en prohibant toute formes de discrimination dont les femmes pourraient être l’objet ( embauche, promotion, formation ect..). Ce principe étant déjà contenu dans la constitution et dans des textes législatifs antérieurs, il faut rappeler que les partisans de la nouvelle loi souhaitaient réaffirmait un principe juge régulièrement viol » dans la réalité ou accélérer une avancée jugée trop lente des femmes dans le monde du travail. Depuis 1983, on entend répéter continuellement que cette loi n’est pas appliquée, notamment au vu de l’écart persistant des salaire moyens entre

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