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Rapport De Stage Au Sein De La Bank Populaire MDM

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Par   •  20 Février 2013  •  1 106 Mots (5 Pages)  •  1 577 Vues

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Comment réussir l’introduction de l’ABEILLE sur le marché marocain des eaux en bouteille?

La bouteille d’eau devient une nécessité sur la table marocaine. Qu’elle soit minérale, gazeuse ou de table, l’eau embouteillée est devenue très prisée. En effet, le changement des habitudes de consommation a permis aux grands groupes d’asseoir de nouveaux modèles, des standards de qualité, de s’imposer sur le marché national, voire même exporter. Cette mutation a encouragé la création de nouvelles marques et la pérennité des produits historiques. Derrière cette tendance, la perte de confiance en la qualité de l’eau du robinet, la recherche d’une consommation équilibrée et nutritive, ainsi que l’amélioration du pouvoir d’achat. Nous sommes passés d’un produit dit de «luxe» à un produit de grande consommation pour toutes les catégories sociales. De plus, la segmentation s’affirme de plus en plus.

Diagnostic du marché des eaux en bouteilles

Concrètement, le marché des eaux embouteillées pèse 1,5 milliard de DH en termes de chiffre d’affaires. En volume, 450 millions de litres sont écoulées annuellement, soit environ 15 litres par habitant par an. Un chiffre qui avoisinait les 10 l/habitant/an trois ans auparavant. «Cette croissance est attribuée à l’évolution du mode de vie. Le consommateur est de plus en plus en quête de produit de qualité irréprochable et de bien-être», annonce le management d’Oulmes (producteur de Sidi Ali, Bahia, Aïn Atlas, Oulmes). Ceci étant, le niveau de consommation des Marocains en eaux reste relativement faible. A titre comparatif, la consommation nationale représente près de 43% de celle en Tunisie (35l/habitant/an). Notons que le pays du jasmin compte 10 millions d’habitants, soit le tiers de la population marocaine. En France, la consommation se situe à plus de 150 l/habitant. Une chose est sûre, les Marocains ont une préférence pour les marques locales, en particulier pour les eaux minérales naturelles. «Elle se reflète à travers les parts de marché des marques étrangères qui représentent une moyenne de 1%, toutes marques confondues», explique-t-on auprès de Sotherma, producteur de Aïn Saïss et Sidi Harazem. Les marques étrangères hors Europe sont taxées à 49% en termes de droits de douane. Néanmoins, celles en provenance de l’Union européenne (Vichy, Vittel, Evian…) profitent d’un taux préférentiel de 5%. Une condition qui pourrait décourager de nouveaux entrants. De plus, un marquage fiscal de 1 centime est appliqué à la totalité des marques, quelle que soit la taille du produit. Globalement, l’industrie des eaux embouteillées reste atomisée. La production nationale est concentrée entre 3 grands groupes. N’empêche que la concurrence reste très rude et les réseaux GMS (grande et moyenne distribution surfaces) et CHR (Cafés, hôtels et restaurants) sont le théâtre de la guerre des prix, de l’innovation et des grandes compagnes de communication (PLV, affichage, spots radio et télé…). En dehors de certaines marques étrangères connues sur le marché, le reste peine à percer face à l’offensive des produits locaux. A ce jour, le secteur emploie quelque 2.041 personnes. En volume, les importations se chiffrent à 1,72 million de litres par an. Curieusement, le Maroc exporte des eaux. Les exportations se situaient autour de 450.000 litres par an. Depuis ces dernières années, les eaux marocaines embouteillées sont exportées principalement vers l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, la Gambie, Sierra Leone, Belgique, Hollande, Allemagne…

Facteur d’environnement

1. facteurs socioculturelles

• Soucis accrus pour le corps dans sa valeur esthétique (beauté, sveltesse, jeunesse...) Et dans son équilibre physique (vitalité, forme, force intérieure, équilibre...).

• Développement d’une certaine idée de la modernité : existence citadine et dynamique.

• Depuis quelques années se développe de nouvelles façons de consommer et de s’alimenter, plus soucieuses des conditions d’hygiène et de fabrication des produits alimentaires. Les produits de marque, gages de qualité auprès des consommateurs, sont préférés, les caractéristiques biologiques ou nutritives sont prisées. Les consommateurs sont de plus en plus exigeants. Ils souhaitent être assurés de manger des produits sains.

2. Facteurs écologiques

• L’importance de l’écologie et les différentes affaires de pollution largement médiatisées ont fortement accru

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