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Politique de change

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Par   •  22 Septembre 2015  •  Cours  •  850 Mots (4 Pages)  •  690 Vues

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Depuis les années 1970 on remarque une tendance à la libéralisation des mouvemente des capitaux, cette labialisation a été encourager par le FMI de façon à promouvoir une allocation optimale de l’épargne mondiale et à permettre aux capitaux des pays riches, ou le capital était abondant de se déplacer vers les pays pauvres ou le capital était plus rare. Des étapes importantes ont jalonné ce processus : la fin de système de brétton woods au début des années 1970 puis l’acte européen de 1992 qui a mis fin à tous les mouvements de capitaux avec l’extérieur de l’union. De même pendant les années 1990 la libéralisation des mouvements des capitaux était l’une des composantes de « consensus de Washington ».

Les crises de changes de la fin des années 1990 dans les pays émergents ont cependant mis à mal le consensus ambiant sur les vertus de la libre mobilité des capitaux. Les entrés de capitaux à court terme en dollar suscitées par la libéralisation des mouvements des capitaux en Asie ont alimentées la spéculation sur les actifs financiers et l’expansion du crédit bancaire .en outre la, la contribution de la mobilité des capitaux en développement à long terme à été remise en cause. En 1990 robert Lucas notait que la plupart des mouvements des capitaux était des flux « nord-nord », entre pays riches plutôt que « nord-sud »entre pays riches et pauvres .de même Michael mussa reconnu que : »l’expérience des crises financières récentes pourrait amener les gens raisonnables à se demander si les politiques libérales en faveur des mouvements internationaux de capitaux sont adaptés à tous les pays et dans toutes les circonstances .à mon avis la réponse est probablement négative .une forte ouverture aux mouvements internationaux de capitaux , notamment aux crédits à court terme , peut être dangereuse pour des pays dont les politiques macroéconomiques sont inconsistantes ou incohérentes ou dont les systèmes financiers sont insuffisamment capitalisées et réglementés.

B-cange fixe ou flexible

L’intérêt d’entrer dans une union monétaire ou de fixer le taux de change de la monnaie nationale vis-à-vis d’une autre monnaie reflète un arbitrage entre des avenages microéconomiques et des couts surtout macroéconomiques. Les ventages microéconomiques renvoient aux couts de l’instabilité des taux de change et aux coûts de conversion entre monnaies. En ce qui concerne les avantages macroéconomiques ils dépendent de la nature des chocs auxquels est confronté l’économie.

C – des régimes de changes crédibles

5-3-2 gérer un régime de change

Dans un régime de change flexible, le taux de change fluctue de façon à faire correspondre à tout moment l’offre et la demande pour la monnaie concernée.les autorités monétaires peuvent avoir intérêt à influencer ce processus pour trois raisons. D’abord ils peuvent chercher à amener le taux de change à une valeur conforme à leur yeux, aux fondements économiques , c'est-à-dire avec l’équilibre macroéconomique .ensuite ils peuvent chercher à utiliser le taux de change comme instrument de la politique économique , pour déplacer l’ensemble de l’économie vers un sentier différent .enfin sans référence à quelque niveau particulier de taux de change que

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