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Plan de soutient de l’industrie automobile

Analyse sectorielle : Plan de soutient de l’industrie automobile. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Mars 2015  •  Analyse sectorielle  •  1 708 Mots (7 Pages)  •  691 Vues

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I. l

A. Plan de soutient de l’industrie automobile

La filière automobile française a reculé de 30% de 10 ans malgré le fait que ce soit celle qui pèse le plus lourd dans l’économie. Ainsi le gouvernement après avoir installé la prime a la casse en 2009 tente de mettre en place d’autre plan de soutient comme un « Bonus » pour l’achat d’un véhicule qui respecte l’environnement. Ainsi en 2012 pour l’achat d’un véhicule électrique un « bonus » de 7000 euros sera attribué à l’acheteur, pour l’achat d’une voiture hybride il sera de 4000 euros et pour l’achat d’une voiture thermique faiblement polluant il sera augmenté de 100 à 150 euros.

Le 2 octobre 2014, le ministère de l’économie, de l’industrie et du numérique avec à sa tête le ministre Emmanuel Macron, a annoncé des mesures afin de soutenir et consolider le secteur automobile francais.

Il annonca 7 mesures repertorier en 3 différentes ?

Afin de renforcer les moyens il annonca la création du nouveau fond « Avenir Automobile » adapté aux noucelles réalités de l filière automobile francaise. En effet le fond de modernisation des équipements automobile (FMEA), créé en 2008 pendant la crise, intervient afin de faire en sorte que le secteur automobile devienne un moteur de l’économie francaise.

De plus il annonca egalement l création d’un task force » automobile pour ammener les dirgeants des entreprises a des opéations de consolidation car afin d’anticiper les evolutions stratégiques du secteur il faudrais renforcer les connaissances sur les entreprises du secteur automobile.

Afin d’accompagner le developpement de l’électromobilité il annonca la création d’un « superbonus » pour renforcer les incitations à l’achat de véhicule prores et ce à partir de mi 2015.

En effet a partir de cette date le bonus écologique sera complété par un « superbonus » qui agira seulement dans les zones urbaine afin d’agir contre la pollution. Ce « superbonus » sera mis en place en contrepartie de la mise a la casse d’un vehicule diesel de plus de 13 ans.

Il agira de tel facon qu’il sera ajouté au bonus écologique précédemment installé et maintenue en 2015, le montant sera 3700 euros de prime pour l’acaht d’un véhicule électrique, 2500 euros pour un véhicule hybride rechargeable et 500 euros pour l’achat d’un véhicule neuf aux normes européenne 6.

Ces primes seront ajoutées au bonus écologique qui est de 6300 euros pour l’achat d’un véhicule électrique et 4000 euros pour un véhicule hybride rechargeable.

Ainsi pour l’achat d’une voiture électrique en mettant a la casse une diesel de plus de 13 ans un bonus de 10 000 euros sera attribuée.

Ensuite la quatrième mesure est d’accéléré le déploiement du réseau national d’infrastructure de recharge avec la création de 16 000 nouveaux poles de recharge sur 4 ans à l’initiative du groupe Bolloré.

La cinquième mesure est la création d’un réseau d’infrastructure de recharge de voitures électriques qui pourra etre accessible par tous et pour tous.

Et afin de stimuler l’innovation qui créera « la mobilité de demain » il annonca un soutient a l’innovation dans le secteur automobile jusqu’en 2016 d’une valeur de 600 millions d’euros. Ainsi ce soutient va fortement soutenir l’innovation automobile afin que le secteur automobile puissent concurrencer et s’inscrire dans la mondialisation.

La dernière mesure annoncée est le lancement des premières expérimentations de voitures autonomes en 2015.

La France est le deuxième producteur d'automobiles en Europe. Néanmoins, le ralentissement de la production automobile en France depuis trois ans pèse sur la croissance du produit intérieur brut, sur le solde du commerce extérieur et sur l’emploi. Ce recul correspond principalement à une évolution de l’appareil productif des constructeurs français face à la mondialisation.

„ Tandis que la demande stagne dans les pays développés, les constructeurs cherchent, pour soutenir leur activité, à répondre à la demande en forte croissance des pays émergents et considèrent qu’un rapprochement de la production de ces marchés favorise leur conquête. Les coûts de main d’oeuvre plus faibles sur ces nouveaux marchés incitent à la production des voitures de bas de gamme à l'étranger, tandis que les gammes supérieures sont toujours produites en France.

„ Le renouvellement des gammes moyenne et haute stimule la production en France, comme ce fut le cas au second semestre 2007. Cette reprise, liée au succès commercial des innovations mises sur le marché, reste néanmoins fragile. L'éco-pastille instituée fin 2007, pour sa part, bénéficie aux constructeurs français, très présents dans les gammes de véhicules les plus sobres en émission de CO2 mais soutient de fait les ventes de voitures de la gamme inférieure, fabriquées majoritairement à l'étranger même quand elles sont de marque française.

„ Premier secteur en termes de volume de R&D en France, l'industrie automobile bénéficiera de l'augmentation sensible de l'aide apportée par la réforme du Crédit d'Impôt Recherche (CIR) adoptée fin 2007 ; à niveau constant de R&D, le montant versé au secteur devrait plus que doubler, ce qui l’incitera à intensifier ses efforts dans ce domaine, à accroître l’attractivité du site France au bénéfice de l’emploi.

„ Grâce aux trois pôles de compétitivité dans lesquels il est fortement impliqué, le secteur automobile devrait tirer parti de meilleures synergies entre centres de recherche ou de formation, entreprises et pouvoirs publics, au service de l'innovation technologique.

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