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Pensée Economique

Note de Recherches : Pensée Economique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  21 Mars 2014  •  2 497 Mots (10 Pages)  •  582 Vues

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Cet élément de module s’adresse à la naissance et l’évolution des idées économiques.

Les grandes idées ayant marqué le développement de cette discipline sont la division de travail, la théorie des valeurs, les théories de la croissance, l’échange international, les théories de la concurrence, les problèmes de la surproduction, le développement économique….

L’origine de ces idées, leurs évolution et critique se regroupent dans des écoles de pensées relativement homogènes.

LES MERCANTILISTES: (16°,15°siècles) considérés comme la 1ere école bien que leur économie élémentaire, basée sur l’accumulation des métaux précieux, le protectionnisme en interdisant les importations = limitation de sorite de L’OR.

L’essor de l’économie dépend de la quantité accumulé des métaux précieux, alors tous les rapports de forces doivent être mobilisés pour certains objectifs :

• Procuration de la navigation et de commerce extérieur pour favoriser le marché international.

• Encouragement des importations de l’industrie en apportant de la matière 1ere bon marché et taxation des produits industrielles importés.

• Stabilisation des salaires en matière de la croissance démographique.

LES PHYSIOCRATES : (18° siècles) cette école a vu le jour en réaction au mercantilisme, pour but d’avantager l’industrie et le commerce au détriment de l’agriculture et aussi la sur-taxation de cette dernière.

Ils ont défendu le libéralisme économique et ils ont adopté le ((Laissez-faire , laissez-passer)).

Les physiocrates ont élaboré une théorie de production donnant une représentation de la façon dont s’opère la circulation du revenu national.

Ils définissent la richesse comme l’ensemble des biens de consommation annuellement reproduits par le travail productif de la société.

Le rôle du capital dans l’augmentation du revenu national est important, une terre bien cultivée ave un capital important (moyens de pdt°) donne un revenu aussi important.

L’idée phare du circuit économique représente la force de cette école, sa faiblesse réside dans sa limitation de la productivité à l’agriculture et d’ici elle se précise dans l’industrie et le commerce.

LES CLASSIQUES : La pensée classique représente la 1ere tentative de la systématisation, la diversification et d’extension du champ de l’analyse économique, elle a mis en titre les objectifs principaux qui préoccupent les économistes : la croissance, la détermination des prix (théorie de la valeur) la formation des revenus, l’échange international, les crises et la menace de l’état stationnaire.

 La théorie de valeur : elle s’adresse au problème de la détermination de la valeur, c'est-à-dire comment se fixent les prix des biens

On estime que la valeur d’échange (le prix) d’un bien est déterminée par la quantité de travail commandé qu’il contient.

On distingue 2 sortes de valeurs :

 La valeur d’usage : se rapporte à l’utilité pratique d’un bien

 La valeur d’échange : la plus importante économiquement, et qui se rapporte sur la possession d’un bien pour acquérir des autres biens.

Pour David Ricardo : L’explication de la valeur des biens par leur coût de travail est valable autant pour l’économie primitive que l’économie régie par la division du travail.

Pour vérifier que la valeur dépend du coût en travail, il faut regarder la variation des prix (Toute augmentation de la Quantité de travail engendre une augmentation de prix du bien et vise versa).

La loi de la valeur travail est valide que si :

 Le travail consacré à un bien comprend aussi le travail nécessaire à la fabrication des outils, machines et bâtiments utilisés dans la production.

 La valeur d’un bien est basée sur la qualité de travail fourni et aussi le temps par le réaliser.

Le prix d’un bien alors contient d’un part les salaires relatifs aux travails et les profits relatifs aux capitaux.

 La répartition des revenus : Le salaire correspond à ce qui est nécessaire pour que l’ouvrier puisse assurer sa subsistance. Le salaire s’évolue en parallèle avec la richesse nationale dont la progression demande plus de travail.

Les classiques distinguent 2 catégories de travailleurs :

 Les travailleurs productifs engagés dans la fabrication et la distribution de biens matériels

 Les travailleurs non-productifs (revenus de transfert) comme les domestiques, les fonctionnaires, les professions libérales…

La valeur de la production nationale est égale aux salaires de travailleurs productifs, aux profits et aux revenus des impôts prélevés par l’Etat pour rémunérer les fonctionnaires, les capitalistes et les rentiers pour rémunérer les domestiques et l’ensemble des bénéficiaires des revenus rémunèrent les professions libérales.

Les propriétaires fonciers ont un revenu qui dépend selon les conditions de la production agricole en tenant compte la qualité des terres cultivés.

 La croissance économique

 L’enrichissement des nations est basé sur l’accumulation du capital qui permet d’augmenter la productivité du travail et le nombre de travailleurs.

 La croissance éco est conditionnée par une épargne abondante et la liberté des échanges

 Défavorablement des mercantilistes au niveau du protectionnisme vue que le capital (K) est détourné vers l’emploi le plus productif.

 La C.E est acheminée comme suit : les Kx se forment et s’investissent dans l’agriculture qui devient moins rentable puis s’orienter vers les manufactures et à la fin ces Kx seront attirés par le commerce extérieur.

 Dans la réalité l’évolution du commerce extérieur et l’industrie engendrent le développement de l’agriculture

 Pour Ricardo la CE demande un taux de profit élevé, si un K est rentable on aura un épargne élevé => la CE serait assurée par l’augmentation de l’emploi et

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