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Economie des médias

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Par   •  4 Novembre 2014  •  Analyse sectorielle  •  2 233 Mots (9 Pages)  •  661 Vues

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ECONOMIE DES MEDIAS

I/ Définition d’un média

1. L’économie de la presse

2. L’économie de la radio

3. L’économie de la télévision

4. L’économie d’internet

II/ Enrichissement : quelques grandes thématique socioéconomiques

1. L’introduction du marketing dans la presse

2. Les stratégies de développement des industries médiatique

3. Le financement des médias : quel avenir ?

4. Concentration financiarisation : les groupes multimédias et la stratégie multimédia

5 .Le moteur de l’innovation

6. Les relations publiques généralisées contre l’information

INTRODUCTION

Notre réflexion peut commencer par deux définitions initiales :

Support de diffusion de l’informatique : peinture sur les orchers des premiers hommes (peinture rupestre), affichage électronique moderne, la radio, la télévision, le téléphone, la presse imprimée, le livre en écriture en relief (braille), l’ordinateur satellites de télécommunication, le disque.

Technique utilisée par un individu ou par un groupe pour communiquer à une autre individu ou a une aute groupe, autrement que face à face, l’expression de leur pensée, quelle que soient la forme et la finalité de cette expréssion.

Un média permet donc la transmission (plus ou moin loin) à un nombre grand de personnes, d’un ou de plusieur messages aux contenus les plus variés : la presse, la radio, la télévision, l’affichage mais aussi le téléphone et l’intenet.

Que nous aprennent ces deux défnintions : disscussion autour des mots en gras ?

1/ Médias et sociétés : quatre axes de réfléxion à privilégier

 Ces deux définitions, dans leur approche différenciée, mettent donc en évidence un échange, un ocntenu à échanger, et une technique d’échange de ce contenu, dont on sent qu’ils évouent et se complexifient.

Le lien social et la société sont ici fortement sollicités et cette compléxité de la définition d’un médias va de pair avec la « complexification » de ces trois éléments au fur et à mesure de la modernisation de nos sociétés.

D’où l’appel à quatre axes fondamentaux de réflexion sur les évolutions de notre société comme facteur d’évolution de la définitin du média :

- Axe technologique : innovation nouveaux supports, nouvelle technique et technologie (difference entre les deux : pratique/ensemble de technique et discour) : une technique.

- Axe industriel et commercial : acteur, a/ production de ontenus et de matériels, distribution et diffusion (émission) b/ entreprises, groupes, marchés, c/ orffres commerciales : une institution et un marché (genre,…)

Plusieurs secteurs d’activité, ces acteurs peuvent être amené à se regrouper.

- Axe social : de la réception mais aussi de l’émission (jornalistes, industriels) : citoyen/consommateur,usages privé/publics, libres/commerciaux, individuel/collectif : un public et un usage

- Axe législatif : législation, droit, loi

Ces quatre axes sont évidemment interdépendants et se répondent mutuellement. En pls d’être fondateur d’une pensée socioeconomique sur les médias, il nous renvoie à de nouvelles définitions du média, des définitions axiologique (s’appuyant sur un de des axes en particulier) et des définitions plus totalisantes (tentant de regrouper les approches de ces axes).

2/ Quelques exemple de définitions axiologiques

Ces définition sont bien sûr limitées par une approche fortement univoque.

A/ Le média et l’innovation : l’axe technologique

« Dans une culture comme la nôtre, habituée de longue date à tout fragementer et à tout diviser pour dominer, il est sans doute surprenant de se faire rappeler qu’en réalité et en pratique, le vrai message, c’est le médium lui-même sur l’individu et la société dépendent du changement d’échelle que produit chaque nouvelle technologie, chaque prolongement de nous-mêmes dans notre vie »

Plus loin, Mc Luhan nous donne sa défnition d’un médias chaud et d’un médias froid. Même s’il y introduit une dimension sociologique évidente à travers le « ressenti », cette définition reste essentiellement technologique.

Il existe aussi un principe fondamental qui différencie les médias chauds comme la radio ou le cinéma des m édias froids comme le téléphone ou la télévision. Un médium est chaud lorsqu’il prolonge un seul sens et lui donne une « haute définition ».

En langage technique de télévision, La « haute défnitioné porte un grande quantité de données.

Visuellement une photographie a une haute définition. Un dessin animé lui a une faible definition parce qu’il fournit que tres peur d’information.

« La parole est un médium froid de faible définition arce que l’auditeur reçoit peu et doit beaucoup compléter.

Les médias chauds, au contraire, ne laissent à leur public que peu de blancs à remplir et à ce compléter. Les médias chauds, par conséquent, découragent la participation ou l’achevement alors que les médias froids, au contraire, les favorisent.

Les médias chauds permettent moins de participation que les froids… »

 Médias chauds : radio, alphabet, phonétique, papier, photographie, cinéma.

 Médias froids :

Plus près de nous Francis balle dans son ouvrage « cathédrale » Médias et sociétés, bien qu’ayant proposé une approche au préalable que nous allons voir enseuite classe des chapitre dans une perspective historicotechnique de la manière suivante :

Les médias de l’écrit

Les médias du son et de l’image XXe siècles

Les médias au XXI e siècles

Les médias peuvent donc se définir à travers une forte

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