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Le crack à New York

Fiche de lecture : Le crack à New York. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  10 Avril 2018  •  Fiche de lecture  •  8 611 Mots (35 Pages)  •  813 Vues

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Chapitre 1 : Violé l’apartheid aux Etats-Unis

        Le chapitre est divisé en 5 parties.

Apprendre les lois de la rue

Dans ce chapitre, nous prenons connaissance des personnes qui vont entourent l’auteur tout le long de son observation.

Nous avons la présence des personnes qui entourent l’auteur Philippe Bourgois tout au long de son enquête. La première personne est Ray, un homme de 32 ans qui est propriétaire des maisons de crack dont “la salle de jeux” où l’auteur passe son temps pour son enquête. Ensuite, il y a Primo, un des employés de Ray, qui gère “la salle de jeux”, de plus il est la personne centrale du livre. Puis nous trouvons Luis, un ami d’enfance et cousin germain de Ray, qui est évoqué dans une histoire de viol avec Ray envers une femme de la rue. Et enfin César le meilleur ami de Primo qui est guetteur pour “la salle de jeux”. Toutes les personnes pensaient que Philippe (appelé Filipe par les dealeurs) était un agent de la brigade des stupéfiants, du FBI en mission qui les espionnes dû au fait qu’il soit blanc, ils ne lui faisaient donc pas confiance quand il affirmait qu’il était un anthropologue et professeur écrivant un livre sur “la rue et la quartier”. Ray est l’homme à respecter mais un jour Philippe a voulu lui faire lire un article de journal pour lui prouver qu’il n’était pas un policier, mais Ray ne sachant pas lire s’énerva et Primo et César conseilla à Philippe de s'écarter de Ray pendant un instant pour pas qu’il n’y ai de représailles.

Philippe fait face au violence et viol urbain par les dealeurs par se faire respecter, mais les dealeurs en disent que c’est, comme dit par Philippe une “stratégie de relations publiques et un investissement à long terme dans le “développement de son capital humain” ”. En effet, Philippe explique que “l’ascension sociale dans l’économie clandestine de la revente de la rue requiert d’ailleurs un emploi efficace et systématique de la violence à l’encontre de ses amis, de ses voisins”.

Pour finir avec cette partie, il y a une amélioration de la relation entre Ray et Philippe, puisqu’il lui donne la permission de se mêler de sa vie en lui demandant comment avançait son livre. Il est donc capable d’amitié et de faire confiance à quelqu’un comme avec sa vieille amie d’enfance Candy.

Les barrières du capital culturel

        Dans cette partie, Philippe explique, par l’analyse de Pierre Bourdieu, que Ray est dépourvu de “capital culturel” lui empêchant de réussir dans les classes moyennes ou mêmes les classes ouvrières. Mais Ray voulu essayer de monter des affaires dite légales pour lui, légales par le fait qu’il tiendrait ces affaires “proprement”. Premièrement ce fut une laverie mais il abandonna dû à trop de papiers administratifs, puis il acheta un ancien bâtiment où il y fit un club ou le public pouvait louer la salle et où il vendait des bières mais de manière non légale. mais elle fut fermé faute d’accès pour les handicapés.

        Cette partie montre également la réalité de l'apartheid de race et de classes, par les acteurs des civils noirs, latinos ou blanc dû à un sens commun et également par les policiers. Il nous le montre à travers une de ces arrestations par des policiers sous le prétexte qu’il est blanc et que s’il est là c’est forcément que c’est un toxicomane. De plus, dû à son honnêteté sur sa raison de sa venu à East Harlem il fut insulté par les policiers et les dealeurs, et mit à l’écart par les dealeurs dû à une peur des blancs dans ce quartiers.

Racisme, police et culture de la terreur

           Cette partie relève la violence urbaine qui est très forte dans ce quartier. On parle de “culture de la terreur” pour reprendre le terme de Michael Taussig, qui rend compte du pouvoir considérable de la violence sur une société fragilisée.

        Exemple de violence avec le monologue de César à la page 68-69 à lire ?

        La police participe également à la violence urbaine lors de mission de descellement du petit trafic de drogue. Philippe parle aussi de violence et de viols dans les prisons et dans les gardes à vu par les policiers.

La salle de jeux “Crackhouse”

         Carmen, une toxicomane et la voisine de Philippe, présente Philipe à Primo pour qu’il le fasse rentrer dans la salle de jeux et prouver à primo que ce n’est pas un policier. Primo et Carmen lui propose de la drogue et il refuse. Primo est ravie car Philippe ne prendra pas de la drogue gratuitement. Il gagne donc sa confiance et passe tous ces jours à la “salle de jeux”. Le défi pour lui était plutôt de comprendre les règles qui régissent les réactions et les comportements qui implique inévitablement l’inversion des relations de pouvoir dans le milieu de la drogue.

        Philippe devient son ami et ils sortaient ensemble le soir avec la petite amie de Primo, Maria âgée de 15 ans et Bénito le guetteur de la salle de jeux.

Les relations afro-américaines et portoricaines

Philippe montre que ce n’est pas seulement les blancs qui font les frais de la tension raciale. La plupart des employés de Ray l’ont accepté et sont heureux de se montrer près de lui. Primo et César avait peur que Philippe les laissent tomber car il était pour eux un modèle et une référence.

Philippe leur parle de son livre, comme quoi il pourrait changer des choses dans la politique collective mais ceux-ci ne le croyaient pas.


CHAPITRE 2 : UNE HISTOIRE DES RUES DU BARRIO

 

Dans ce chapitre, Philippe nous explique l’histoire de la colonisation du quartier d’East Harlem. Il y a un exode massif au XXème siècle des portoricains aux Etats unis.

 

Du jibaro portoricain au revendeur de crack hispanique :

A partir de 1954, on assiste à une émigration massive des portoricains aux Etats Unis dont la mère de Primo qui est venu s’installer dans le quartier d’East Harlem. Pour résumer ce que dit Philippe, les portoricains nés à New York « sont les descendants d’un peuple déraciné. Le contexte entraina une augmentation du taux de chômage et ainsi les portoricains n’avaient plus de travail légal et trouver un travail illégal afin de subvenir à leur besoin : la vente de drogue. Philippe annonce l’idée qu’aucune justification historique ou de « victimisation structurelle » peut expliquer les comportements des gens comme ray ou primo. Il annonce également que pour les gens aux états Unis dise que c’est la responsabilité individuelle qui joue sur le comportement des gens, et cela n’est donc pas dû à la société.

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