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L'école de Chicago (Park, Burgess et Mckenzie) La croissance de la ville : Introduction à un projet de recherche

Résumé : L'école de Chicago (Park, Burgess et Mckenzie) La croissance de la ville : Introduction à un projet de recherche. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  22 Mars 2020  •  Résumé  •  930 Mots (4 Pages)  •  895 Vues

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L'école de Chicago (Park, Burgess et Mckenzie)

La croissance de la ville : Introduction à un projet de recherche

Résumé

Les villes en Amérique du Nord ont connu une transition du mode de vie rurale vers la ville plus importante et de plus grande ampleur qu’en Europe. Cet essor des villes a entraîné d’importants changements dans la trame urbaine et dans les déplacements des populations. L’augmentation significative des populations entraîne aussi l’essor des problèmes sociaux tels que le crime, le divorce, l’agitation sociale et d’autres. La croissance des villes aux États-Unis comme New York ou Chicago ne s’est pas fait par l’accroissement naturel, mais par d’importantes vagues d’immigration. L’accroissement des populations a entraîné une expansion spatiale et physique de la ville, elle s’étend de plus en plus. Les plus petits noyaux urbains subissent aussi une expansion physique et finissent par se fusionner en un grand ensemble urbain regroupant plusieurs noyaux de croissance ayant une plus grande force économique. La ville qui s’entend ainsi s’appelle l’aire métropolitaine de la ville et ne se limite pas aux limites politiques et des limites de la ville, mais va au-delà de ceux-ci. Nous définissons les limites de l’aire métropolitaine par les services de transports qui achemine les populations vers le centre-ville (Loop). La façon que l’école de Chicago illustre l’expansion des villes est avec le schéma du centre-ville (Loop) encercler par d’autres zones qui s’agrandissent autour du centre. La ville se développe en rayonnement autour du centre qui est le centre économique de la ville. L’aire adjacente au Loop est constituée de plus d’industrie et d’une zone de transition, suivi d’une autre aire où c’est l’habitation ouvrière. Plus nous nous éloignons du centre, nous y retrouvons l’aire résidentiel plus aisé, suivi de la dernière zone qui est composée des banlieues. Chaque zone se succède d’une autre, qui se définit par sa classe sociale ou son usage. Les zones ont tendance à s’agrandir sur le territoire de la zone adjacente à elle-même.

Le réseau de transport converge vers le centre-ville, vu que la vie politique, économique et culturelle ci retrouve. Le Loop est la partie de la ville ayant le plus d’achalandage et de déplacement par jour. Il peut arriver que des Loop secondaires apparaissait, donc que de nouveaux pôles d’affaires (Loop satellite) se créer, mais ils se font dominer par le Loop principale, c’est un processus de décentralisation centralisée. La croissance de la ville à apporter une extension des services et d’une coopération économique entre les divers fournisseurs essentiels à la vie en ville. Les croissances des villes ont un impact sur le territoire, mais aussi sur les populations. L’arriver massive de nouveau citadin créer une désorganisation qui doit être organisé. Grâce à la désorganisation, l’organisation se fait par la suite facilement et les gens s’y adaptent mieux. Ce processus se fait pour chaque nouvel habitant, car celui-ci s’y voit contraint d’abandonner ses habitudes et parfois des conflits intérieurs sont créés lorsque sa morale est ébranlée. Lorsque cette période d’adaptation est effectuée, l’individu se tourne vers de nouveaux objectifs. La société est classée selon les métiers et selon le lieu de résidence. Les différentes zones ou aires de la ville se voient donc avec une population différente pour chaque. Par exemple, le centre-ville, nous y retrouvons une importante population d’itinérant. La zone de transition entre les industries et les affaires (zone de détérioration) est composée des plus démunis, des immigrants. Cette zone se fait appeler le ghetto, les bas quartiers, etc. Dans cette zone de détérioration, nous y retrouvons les quartiers ethniques comme le quartier chinois, italiens, etc. Ces aires de détérioration possèdent aussi des potentiels et ne sont pas que délabrement, mais aussi certaines sections est en régénération avec les artistes, œuvres sociales, en d’autres termes les quartiers défavorisés ont le potentiel de s’embourgeoiser. La zone suivante, celle habitée par les ouvriers est aussi habitée par les immigrants de seconde génération qui ont réussi à sortir du « ghetto ». La ségrégation que créer les différentes zones de la ville est limitante mais nécessaire et bénéfique pour le développement de la ville. Elle permet d’attirer et de différencier. Les changements de population rapide, entraînent une augmentation de la population que dans certaines zones, la zone de détérioration, ce qui augmente donc les problèmes sociaux des villes tels que le crime et les maladies, car les nouveaux venus s’entassent dans cette classe sociale et physique. Cet accroissement créer un débordement de la zone ce qui entraîne un déplacement interne de la population qui est étudiée grâce à la mobilité. La mobilité contrairement au déplacement qui lui est routinier, implique un changement qui entraîne une nouvelle stimulation. L’accroissement des villes entraîne l’augmentation de stimulations, qui peut créer une confusion chez les gens. Dans la zone en détérioration, ces stimulations sont plus présentes et elles sont un facteur favorable à a délinquance, la pauvreté, etc. La mobilité est le meilleur moyen de connaître l’état du métabolisme de la ville, soient les changements qui surviennent dans la ville. La valeur foncière est aussi influencée par la mobilité et en ai d’ailleurs très sensible.

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