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Veganisme et developpement durable: l'eau

Étude de cas : Veganisme et developpement durable: l'eau. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Juin 2018  •  Étude de cas  •  326 Mots (2 Pages)  •  681 Vues

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Veganisme et developpement durable : l'eau

1- L’ eau

Dans un cycle de production de viande, l’eau est un facteur important. De nombreux chiffres à propos de la consommation d’eau pour la production d’un kilo de viande sont évoqués sur les sites tant pro, qu’anti vegan. Ainsi, un kilo de viande nécessiterait 15000 litres d’eau selon une communauté pro vegan et seulement 50 litres pour une personne anti vegan. Afin d’éclaircir ce calcul il faut prendre en compte tous les paramètres eau qui interviennent dans la production d’un kilo de viande. En effet selon l’empreinte eau, dans le cycle de production de viande, différents types d’eau sont utilisés : l’eau grise, l’eau bleue et l’eau verte.

- L’eau grise représente la quantité d’eau utilisée pour diluer les polluants afin que l’eau respecte les normes de qualité.

- La seconde est présente notamment dans les nappes phréatiques et les bassins (lacs, étangs…) et est pompée pour être utilisée dans les cultures.

- L’eau verte correspond aux eaux de pluie qui se déversent sur les cultures

La plus grosse part d’eau utilisée dans un cycle de production est l’eau verte, responsable de l’opposition des deux visions sur la quantité d’eau utilisée. En effet, sans l’eau verte, qui représente 94% de l’empreinte eau, la quantité d’eau utilisée serai moindre et ainsi 15000 litres seraient exagérés. Mais ces chiffres sont bien réels car ils sont responsables d’assèchement de sources d’eau et conduisent à un appauvrissement des ressources environnementales. En effet, l’eau etant directement pompée par les cultures, elles ne peuvent ainsi pas réapprovisionner les nappes phréatiques et autres bassins déjà fortement exploités et ainsi asséchés. Le passage à une culture vegan serait donc bénéfique car les céréales produites seront ainsi dédié directement à l’alimentation humaine et non au fourrage animalier.

La rumination du bétail produit de plus une pollution des sols en raison de leur forte concentration en nitrates et participe ainsi à une contamination de l’eau présente dans les nappes phréatiques et la rend inutilisable.

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