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Mémoire risque paiement export

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Par   •  28 Septembre 2019  •  Mémoire  •  2 897 Mots (12 Pages)  •  500 Vues

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SECTION 1 : Généralité sur le commerce extérieur :

        Sous-section 1 :         Notion et définition :

Le commerce extérieur, C'est l'ensemble des études et des opérations commerciales exprimées dans les règles, normes et lois nationales, différent du commerce international par son but, d’une part le commerce extérieur ne valide que l’aspect commercial par rapport au commerce international en anglais foreing trade qui lui, touche aussi les relations entre les pays, qui, en résultat, les zones de libre-échanges.

Parler du commerce international c’est  aussi dire import-export, qui à son tour, prédéfinis les parties les plus apparentes, importateur et l’exportateur, aussi le mode de livraison (incoterm) et les modalités de paiement ou de règlement

Pour l’importateur et l’exportateur, ce sont deux individus ou bien sociétés relier par un contrat commercial qui illustre le droit et obligation de ces parties sans ambigüité

-Les Incoterms («International Commercial Terms») déterminent les obligations réciproques du vendeur et de l'acheteur dans le cadre d'un contrat d'achat ou vente international, il a une codification internationale de 3 lettres, et il concerne la livraison de la marchandise, la répartition des frais et des risques liés, ainsi que la charge des formalités, donc les incoterms concernent le transfert des risques, et non le transfert de propriété.

En tout il y’a 11 incoterm présenter comme suite

4 d’entre eux sont par voie maritime, les 7 autres sont valables pour tous les modes de transport

Représenter sur le tableur suivant :



Sous-section 2 :         Point historique et modernisation :

                Malgré l’existence du commerce depuis la nuit des temps, la notion de commerce international ou commerce extérieur a pris forme qu’au début du 19éme siècle, après l’invention de la machine à vapeur et l’exploitation du charbon le commerce international a vu son premier saut vers le summum dans les deux principaux secteurs : la matière à transporter en masse (le charbon) et l’outil de transport (navire et train à vapeur)

En dix-huit cents, bien avant  la première guerre mondial le commerce international a connu une époque de tranquillité, anarchique certes, aucune loi ou règlement à suivre, les biens transférer sans garantie que les partie sois couvert, malgré l’effort fournis à cette époque par les banques en matière engagement à travers les traite bancaire ou  qui n’assurer pas vraiment un paiement garantie ou un arrivage de la marchandise assurés à l’époque

La première guerre mondial a fait son effet sur ce domaine, le commerce international n’est plus à son summum, loin de ça, il a connu la plus grande dégradation dans les relations international et la propagation du parti communiste, où ce dernier consiste a produire et consommer le produit intérieur, d’où l’apparition des premières alliances économique et la course vers le sommet des richesses commence

La création de la GAAT  en français Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, crée le 30 octobre 1947 par 23 pays, pour harmoniser les politiques douanières des parties signataires, le traité en vigueur en janvier 1948 à Genève, qui avaient comme but de régler le désordre économique de l’entre-deux-guerres en particulier la crise de 1929 appelé la grande dépression,

Suite à ça, une suite paisible pour le commerce international où il a connu une rehausse des chiffres d’échange entre pays,

Après cette période on a eu recourt à une organisation qui aurais comme mission la régularisation d’où l'OMC est née le 1er janvier 1995, mais le système commercial qu'elle représente a presque un demi-siècle de plus et qui avait comme but :

  • gérer les accords commerciaux multilatéraux
  • servir d'enceinte pour de nouvelles négociations
  • régler les différends entre les membres
  • examiner les politiques commerciales nationales
  • coopérer avec les autres organismes internationaux (FMI, BIRD, etc.)


Sous-section 3 : L’importance du commerce extérieur [1]:

  •  Le commerce international est un puissant moteur de développement économique

                 Toute une littérature empirique montre, preuves solides à l’appui, qu’une participation accrue au commerce international peut stimuler une croissance économique indispensable au développement en général. En rattachant les producteurs et les consommateurs des pays en développement aux marchés mondiaux, le commerce − exportations et importations contribue fondamentalement aux flux de ressources financières, de technologie et de services nécessaires au renforcement des capacités productives dans l’agriculture, l’industrie et les services et à la transformation structurelle de l’économie. La trajectoire de développement de pays en développement d’Asie de l’Est et d’Asie du Sud-Est dans un passé récent le confirme. Ces pays ont connu une croissance économique rapide en partie parce qu’ils ont su se doter de capacités compétitives de production et d’exportation, d’abord dans les secteurs traditionnels de l’agriculture, des textiles et des vêtements, puis dans des industries manufacturières à forte intensité de main-d’œuvre, parfois vite supplantées par des industries manufacturières de pointe, comme l’électronique. Cette croissance tirée par les exportations a été le résultat d’une ouverture Stratégique au commerce, mais aussi de mesures complémentaires venues renforcer la capacité du commerce d’influer sur le développement économique et social.

  • La croissance économique conditionne la réduction de la pauvreté, notamment dans les pays à faible revenu.

 Dans les pays où le produit intérieur brut (PIB) par habitant est suffisamment élevé, la réduction de la pauvreté dépendra sans doute, dans une large mesure, d’une redistribution du revenu.

Dans les pays en développement à faible revenu, cette redistribution ne suffit pas, et peut même être contreproductive. La pauvreté ne peut alors être réduite sans une croissance économique se traduisant par une augmentation de la part de revenu perçue par chaque individu, c’est-à-dire une augmentation de la production par travailleur, qui correspond généralement au PIB par habitant.

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