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Introduction à l'économie

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Par   •  4 Avril 2017  •  Cours  •  5 485 Mots (22 Pages)  •  528 Vues

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INTRODUCTION A L’ÉCONOMIE

M. P. MAÎTRE

2Eme SEMESTRE

  1. PROPOSITION D’UN PARCOURS DANS L’ÉCONOMIE
  • La Microéconomie
  • La Macroéconomie
  • L’Economie européenne
  • L’Emploi
  • La Finance

La Macroéconomie :

La Contestation Socialiste (voir cours).

Section III : La Macroéconomie de Keynes.

Keynes, En 1936 date de la publication de la théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie.

La Macroéconomie existe avant Keynes. Elle existe, dès la naissance de l’analyse néoclassique que nous avons associés à la microéconomie. Pourtant, les classiques avaient une macroéconomie et une microéconomie. Les Néoclassiques, résonnaient aussi sur deux grands agrégats comme ;

  • La Consommation globale.
  • L’investissement global ou la dépense public globale.

La Macroéconomie n’a pas été inventée par Keynes. En revanche, elle a été l’objet d’une révolution. Sous la plume de Keynes, car Keynes en a fait un outil de politique économique.

  1. Pourquoi les Néoclassiques n’appuyaient pas les politiques économiques sur la macroéconomie ?

Parce que chez les néoclassiques il existe un principe macroéconomique obtenu à partir des grandes fonctions macroéconomiques qui rend les politiques économiques inefficaces : C’est l’effet d’éviction.

Chez les néoclassiques, la variable qui détermine la répartition entre consommations et épargnes est le taux d’intérêt.

C’est la répartition ®. [pic 1][pic 2][pic 3]

  1. Pourquoi cette définition implique-elle que les politiques économiques sont inefficaces ?

Politique économique : Politique budgétaire et monétaire (Politique conjoncturel) qui ont pour objet la relance de l’activité économique global mesuré par son agrégat principal : le PIB.

Le clivage droite/gauche est dépassé et des personnes défendent des idées néoclassiques.

Définition du PIB en Macroéconomie : C’est la somme de la consommation des ménages de l’investissement des entreprises privées et publics, on ajoute la dépense du gouvernement (dépense public) et le sol de commercial (Exportations et importations).

Le but de la politique monétaire c’est de faire grossir le PIB. Comment faire ?

Deux solutions :

  • L’Etat, finance les 700 milliards d’euros du revenu universel par son budget. Mais le budget de l’Etat c’est des recettes et des dépenses.

Deux méthodes pour augmenter le budget de l’Etat :

  • Les prélèvements obligatoires.
  • L’endettement.  

La politique monétaire peut viser à dégager des ressources qui vont être affectés à la dépense publique. L’Etat s’adresse à la banque centrale pour lui demander, un financement direct et la banque centrale qui a le privilège de la création monétaire va créer la monnaie nécessaire, pour trouver les ressources budgétaires correspondants. Lorsqu’on est décideur public, chef du gouvernement historiquement on est aussi le responsable de la monnaie. La monnaie est un pouvoir régalien, les gouvernements et les décideurs publics, les rois ont toujours cherché à s’arroger le monopole de l’émission de monnaie. Le seigneuriage voilà comment on appelle l’action qui consiste à conserver une partie de la valeur de la création monétaire.

Historiquement, le pouvoir a toujours été signifié par deux choses :

  • L’armée
  • La Monnaie.

Le salaire c’est le paiement (la solde) ou soldats lorsqu’on parle de militaires car Constantin 1er a décidé de créer le solidus. La monnaie et l’armée sont les deux piliers du pouvoir.

Pourquoi ces deux politiques (Armée et monnaie) ne fonctionnent pas avec les néoclassiques ?

Quand l’Etat augmente globalement la fiscalité, cette fiscalité est prélevée sur le PIB. Le PIB est la totalité de la valeur ajoutée. Il y a un effet d’éviction.  

Si tu t’endettes de manière régulière ou structurel, les taux d’intérêts vont augmenter en permanence. Si les taux d’intérêts augmentent ceux qui ont de l’épargne, ils vont placés leurs épargnes. L’épargne apporte le produit du taux d’intérêt.

Deuxième mécanisme qui créer l’éviction : l’endettement, le taux d’intérêt augmentent et beaucoup de personnes placent leurs argents. Ces personnes ne consomment plus car ils acceptent de consommer plus tard pour pouvoir obtenir leurs taux d’intérêts.

La politique budgétaire dans la macroéconomie ne marche pas avec ces situations.

Cependant, la politique monétaire consiste à ne pas s’adresser aux marchés financiers pour emprunter mais s’adresser à son banquier central qui fabriquera de la monnaie. Friedman appelait « la monnaie hélicoptère ». La richesse n’est plus la monnaie mais la valeur ajoutée. Ce qui est à l’origine du travail c’est la création de la valeur ajoutée.

La politique monétaire, la planche à billets engendrera un phénomène bien connu sur les prix « L’inflation ».

La quantité de monnaie en fais partie. Si, on créer trop de monnaie pour le plaisir il y aura une forte inflation qui viendra manger le pouvoir d’achat.

L’effet d’éviction chez les néoclassiques ça ne marche pas.

Chez les néoclassiques la macroéconomie ne permet pas l’efficacité de la politique conjoncturelle. Les effets d’évictions sont budgétaires, monétaires et politiques.

  1. Ce résultat est- il étonnant à la vue de notre précédente analyse macroéconomique ?

Globalement la macroéconomie doit être en permanence en équilibre. En Microéconomie néoclassique la théorie de l’équilibre général où elle dit que les marchés sont à l’équilibre (offre et demande) s’il est permanent cet équilibre, pourquoi l’Etat ai besoin d’intervenir ?

La politique publique va avoir affaire dans une société auto- équilibré, c’est pour cela que la macroéconomie néoclassique est peu connue. Cette macro néoclassique n’apporte pas beaucoup de nouveauté par rapport à la micro de l’équilibre général.

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