LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Besoins alimentaires de l'organisme

Dissertation : Besoins alimentaires de l'organisme. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  21 Novembre 2019  •  Dissertation  •  1 897 Mots (8 Pages)  •  6 302 Vues

Page 1 sur 8

DUPOUY Agnès - ELEVE 8233kf   -  BESOINS ALIMENTAIRES DE L’ORGANISME

  1. L’équilibre alimentaire, c’est équilibrer l’alimentation tant  QUANTITATIVE que QUALITATIVE afin de compenser les dépenses énergétiques d’une part et par une bonne répartition des : protéines, lipides, vitamines, glucides, minéraux, oligoéléments, fibres dans l’alimentation d’autre part.

  1. Citez 3 comportements nuisibles pour la santé.

-Grignotage entre les repas   -La sédentarité  - Une alimentation non équilibrée 

Et 3 pathologies qui peuvent être induites par ces comportements.

  • Prise de poids excessive, voire obésité
  • Déficiences, carences
  • Fragilité, moindre résistance, perturbation du système immunitaire

  1. Citez les mentions justes concernant les protéines.

             Elles sont constitués d’acides aminés.

             Elles représentent la seule source d’azote, nécessaire à la vie.

             Elles ont un rôle fonctionnel, en intervenant dans toutes les réactions biochimiques du       corps.

             Les protéines corporelles se renouvellent sans arrêt. Il faut donc un apport de protéines chaque jour dans l’alimentation.

  1. Pourquoi notre organisme a-t-il besoin d’un apport quotidien de glucides ? (5 à 6 lignes max.)

En tout 1er lieu, pour un apport énergétique : les cellules utilisent le glucose comme carburant, pour le cerveau, les globules rouges, la partie interne des reins (médullaire rénale).

 Elles ont un rôle satiétogène, régulent donc la sensation de faim.

Elles permettent au foie de ne pas avoir à fabriquer lui-même du glucose à partir des acides aminés de la digestion des protéines. (Rôle d’épargne azoté qui peut être dangereux et fatigue inutilement le foie)

  1. Que se passe-t-il au niveau du foie si le repas ne contient pas de sucres complexes ? (Réponse brève)  

Le manque de « sucres complexes «  oblige le foie à fabriquer du glucose à partir des acides aminés provenant de la digestion des protéines et occasionne ainsi la dégradation des muscles : la néoglucogénèse. C’est un mécanisme dangereux qui fatigue anormalement le foie et mène à la fonte des muscles.

  1. Dans quel cas les glucides font-ils grossir ? (10 lignes max.)

Lorsqu’il y a une consommation excessive de « sucres blancs simples » : sucreries, pâtisseries, boissons sucrées, certains plats industriels contenant des sucres….

Le pancréas produit alors une hormone peptidique hypoglycémiante : l’insuline qui peut être considérée comme une hormone de prise de poids.

Lorsque l’alimentation dépasse les besoins énergétiques de l’organisme.

Les variations intra et inters individuels de chacun ne sont pas égales d’un individu à l’autre.

L’augmentation de prise des repas : l’augmentation du nombre de prises alimentaires réduit les réponses glycémiques. Le foie transforme le sucre non utilisé en graisse et augmente donc les lipides sanguins : les triglycérides.

Le temps de vidange gastrique : plus il est rapide plus l’index glycémique augmente.

Si la flore intestinale de fermentation est insuffisante et de mauvaise qualité, les enzymes nécessaires insuffisants.

  1. Donnez la définition de l’index glycémique. (5/6 lignes max)

La notion d’index glycémique a été introduite par le professeur David Jenkins à la faculté e médecine de Toronto en 1981. C’est un critère de classement des glucides. Il permet de comparer le pouvoir hyperglycémisant d’un aliment, sa capacité à élever la glycémie, c’est-à-dire le taux de sucre dans le sang et de classer les aliments en fonction de leur réponse glycémique.

 Les glucides qui font grimper fortement et rapidement la glycémie ont un IG élevé. Ceux qui ont peu d’influence sur la  glycémie ont un IG bas. En dessous de 55 on parle d’IG bas, au-dessus de 70 d’IG élevé....

  1. Concernant l’index glycémique (IG)

  • Les aliments à IG haut sont à privilégier ………………………………………..                             FAUX
  • L’IG  d’un aliment varie avec son degré de maturité et sa provenance                           VRAI
  • L’IG d’un aliment s’abaisse s’il est associé à d’autres aliments (huiles ou protéines).  VRAI
  • Les aliments à IG bas sont plus naturels et plus favorable à la santé (les fruits)           VRAI
  • L’utilisation de l’IG pour classer les aliments est moins précise que la classification   FAUX
  • « Sucre rapide » / «  sucres lents « 
  1. Citez quelques rôles des Omégas 3. Où en trouver pour augmenter notre consommation ? (5/6 lignes max).

Les acides gras Oméga 3 sont des acides gras essentiel participant à la formation des prostaglandines.

Ils sont primordiaux dans le ralentissement du processus de vieillissement des cellules et le développement de l’enfant. Ils sont très importants car ils ne proviennent que de l’alimentation.

Ils favorisent une diminution de la pression artérielle chez les personnes présentant une hypertension, sont indispensable au bon fonctionnement du cœur, la régulation du taux de cholestérol et protègent les tissus adipeux.

On les trouve essentiellement dans l’huile de colza, les poissons gras, les légumes verts à feuilles, le lin et son huile, les fruits à coques…

  1.  Associez chaque type d’acide gras (AG)  à la proposition qui lui correspond.

  1. AG saturé                     =   A) Produits par des procédés industriels. A éviter car élèvent le LDL et baissent le HDL.
  2. AG polyinsaturés      =  D) Non fabriqués par l’organisme, ils diminuent le LDL et augmentent le HDL.
  3. AG « trans »              =  C) Font monter le cholestérol sanguin, surtout le LDL si consommé en excès.
  4. AG monoinsaturés   =  B) Font baisser le LDL et augmentent le HDL. Contenu notamment dans l’huile d’olive.
  1.  Citez les actions principales des fibres alimentaires au cours d’un repas. (10 lignes max.)

On distingue deux sortes de fibres : Solubles et Insolubles.

Les fibres solubles ralentissent l’absorption des glucides alimentaires, donc bénéfiques pour les diabétiques. Elles captent les sucs biliaires et participent à l’élimination du mauvais cholestérol : LDL et des graisses alimentaires. Elles sont douces pour les intestins fragiles ou colon irritable. Elles favorisent le transit intestinal mais  de façon moindre que les fibres insolubles. Elles prolongent la sensation de satiété et favorise l’équilibre de la flore intestinale.

...

Télécharger au format  txt (11.8 Kb)   pdf (237.6 Kb)   docx (237.5 Kb)  
Voir 7 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com