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La pâtisserie japonaise traditionnelle

Cours : La pâtisserie japonaise traditionnelle. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  10 Mars 2013  •  Cours  •  375 Mots (2 Pages)  •  749 Vues

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La pâtisserie japonaise traditionnelle n’est pas connue en France. Cependant , il y a quelque endroits a paris qui ont des patisseries traditionnelle (Sadaharu AOKI)et il peuvent avoir quelque démonstration de wagashis a la Maison de la culture du Japon .

Les wagashis proviennes d’asies ,il se distingue par ses préparations légères, peu sucrées, aux parfums délicats et subtils .ils sont aussi élegant et joue beaucoup sur

leur texture .

Les wagashis sont un peu comme les macarons en France ,Se sont des produits qui coutent chere ,et qui ne sont pas forcement très gros

Le terme wagashi est récent, il date de la fin de l’ère Taishô (1912-1926) — wa voulant dire japonais, et gashi, sucrerie, douceur, fruit.

Il fut créé pour différentier la pâtisserie traditionnelle de la nouvelle yogashi, importée de l’Occident. Si le terme est moderne, cet art remonte à des temps très anciens, et son histoire est intimement liée à celle du pays et de sa religion :

En 538 (ou 552, selon les dates traditionnelles), le bouddhisme apparaît sur l’archipel. Il a été importé avec l’importante vague d’immigration coréenne (kikajin) qui a commencé au début du VIe siècle, principalement dans les régions

actuelles d’Ôsaka et de Nara ”.

En 553, ou peu après, c’est presque une expédition savante qui vient du Paekche. Prêtres, devins, médecins, hommes de sciences, artisans qualifiés, c’est toute une culture et des savoir-faire qui débarquent de la Corée en mission quasi-civilisatrice. Outre les nouvelles croyances occultant les dieux anciens c’est quantité de nouveaux usages et technologies qui arrivent : métallurgie, textiles, travail de la laque, peinture, fabrication du papier, écriture et usages culinaires. Le Japon entre dans l’histoire, c’est ce qu’on appelle la culture d’Asuka (585-670).

Le Japon avait déjà une tradition de la riziculture sur sa côte Ouest (Yayoi), importée de Chine depuis plusieurs siècles. C’est donc sans problème que les religieux venus de Corée ont pu développer la confection de gâteaux votifs, à base de riz (moshi et dango).

. Dans le réseau des temples d’État (kokubunji), on fabrique des gâteaux de riz servant d’offrande aux ancêtres, comme dans tous les temples du continent.

Longtemps cantonnés à un usage rituel, les gâteaux de riz prennent peu à peu place sur la table des familles nobles au cours des siècles qui suivirent.

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