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Lettre littéraire

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Par   •  7 Septembre 2017  •  Lettre type  •  1 583 Mots (7 Pages)  •  577 Vues

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  Bonjour, si vous lisez ceci c’est que vous l’avez trouvé à l’intérieur de ma combinaison, je suis probablement mort.

  Je suis Bilal, 17 ans, j’ai parcouru 3000 kilomètres à pied depuis le Kurdistan pour rejoindre la France, puis traverser la manche pour m’installer en Angleterre, là-bas, Mina, l’amour de ma vie m'attend, nous allons nous mariés, je suis fou amoureux d’elle, la distance entre nous me meurtrit. Arrivé à Calais, je rejoignais la jungle, là-bas, d’autres hommes, comme moi, des centaines, on fuit la guerre pour un avenir meilleur. Ici je prends conscience de la réalité de la situation, je n’étais pas prés d’arriver en Angleterre. Un homme et une femme distribuaient à manger, je fis la queue derrière les autres, j’attendais impatiemment mon tour, j’avais froid, j’avais faim, j’étaient épuisé. Dans la queue, je rencontre un homme, Zoran, un migrant lui aussi, on sympathisa et il m’expliqua qu’il était très difficile de traverser la manche mais qu’il y avait tout de même une solution. J’étais si près de mon but, je ne comptais pas abandonner. Le passeur renaît 500 euros, je payai, je soir nous nous sommes installé à l’arrière de son camion,, moi, Zoran et un autre homme. Dans le véhicule un silence de mort régné, au moindre faux pas c’était le retour à la case départ. J’avais peur mais je devais être courageux, pour Mina, pour la vie qui nous attendaient las bas. Le camion roula, jusqu'à la cargaison où nous devions nous cacher pour traverser la frontière, le passeur siffla, c’était le signal, un des hommes déploya une échelle, monta par le toit du camion et fit un trou assez large pour que nous puissions nous faufiler dans la bâche jaune de la cargaison. Nous étions synchronisé, le moindre faux pas était impardonnable. Arriva mon tour, je grimpai sur l'échelle, me hisse sur le toit du camion puis sauté jusqu'à la cargaison, au moment où je devais passer à travers le troue de la bâche, je me sentis démuni, je suis là, bloqué devant, je ne trouve plis la force, Zoran me hurlait dessus, mais je ne l’entendais pas, à ce même là, le vide avait prit par de mon esprit, j’avais faits abstraction de tout ce qui m’entourait. Je sens une main brute me pousser à l’intérieur du camion, je m’écrasai de mon long et sentit mes os craquer contre le sol gelé par le froid insoutenable. J’y étais, j’étais à l’intérieur de la cargaison, remplis de grosse caisse en bois, nous nous cachions derrière celles-ci, plus in son, à part le bruit émis par la route et le monde extérieur ; les hommes qui m’accompagnaient, sortirent des sacs plastiques, il y ‘en avait un pour moi, il les enfilairent sur la tête, cela perm errais de na ne pas émettre de monoxyde de carbone dans le camion lors des contrôles fait à la frontière. Cela faisait déjà 10 min que j’avais le sac sur la tête, l’air me manquait, je ne pouvais plus, je me retenais de toutes mes forces, mais rien à faire, Zoran M. mit sa main sur la bouche, jr suffoquait, pendant ce temps, dehors, une gomme contrôlée la cargaison, il nous repéra, nous étions fini, j'avais atout gâché, si prêt du but, je m’en voulais, tellement, l’homme qui nous accompagner Zoran et moi me hurlait dessus, je ne pouvais rien dire, j’avais aussi envie d’hurler sur moi-même, je baissais les yeux, il me secouait dans tous les senses en tirant sur ma veste, la police nous embarqua, il fait froid, j’aimais glacé jusqu’aux os. Le lendemain matin je passai devant le juge accompagné de mon avocate. Je les entendais parler, je n’avais aucune idée de ce qu’il disait, je voyais leurs lèvres bouger, je redoutais le pire, j’avais tellement peur, les minutes passaient tels les plus longues heures de ma vie. Quelque temps plus tard, j’étais liber, ce qui me paraisse étre une bonne chose, je retournai dans la jungle, dans ma tête, je passais en revue toutes les solutions possible et inimaginable pour traverser ma manche. Une seule idée m’occuper l’esprit, rejoindre Mina, j’aurais tout fon ré pour elle, j’aurais même traverser la manche à la nage. …… « J’aurais même traversé la manche à la nage »… cette phrase raisonner dans ma tête. Quand on le veut, on le peut n’est ce pas ? Je savais quoi faire, je vais la solution. Le lendemain, j’allai à la piscine, j’avais besoin d’entrainement, je faisait plusieurs longueurs, à côté de moi, un maitre nageur donner des cours à un petit garçon, à la fin de son cour je partis le voir, je me présentai et pris un rendez pour des leçons. Je retournai à la jungle, là-bas je jouais au foot, je fis quelques passes avec les ballons puis j’aller joindre Zoran, je devais lui explique pourquoi je n’ai pas pu tenir avec le sac dans le camion, ce que je fis. Le lendemain je repartis à la piscine, je pris des cours de crawl, j’écoutais à la lettre ce que Simon me disait, mais ça ne porter pas ses fruits, cependant je n’étais pas découragé, je savais que j’allais y arriver. Je suis revenus à la piscine les jours d’appris je m’entrainais d'arrache-pied, Simon avait compris pourquoi, il insistait donc sur la difficulté à traverser la manche à la nage. J’en étais conscient mais au fond de moi j’avais cette force qui me pousser à faire des choses incroyables, je devais y arriver pour Mina mais aussi ma famille, qui me manque à chaque seconde de ma vie. Le soir, Simon nous avais vues dans la rue depuis sa voiture, il nous interpella, j’étais accompagné par Zoran, il nous invita chez lui. Arriver le bas il nous fit le tour du propriétaire, nous mangeâmes des pizzas, nous par lame de la vie, je lui fis part de mon désir de jouer dans l’équipe de Manchester, que j’étais surnommé le « runner » et que j’avais obtenu une dizaine de médailles, mais tous ça est derrière moi à présent. Durant la soirée Simon essayait de me dissuader de traverser la Manche, je ne l’écoutais plus, c’est mon choix. Le lendemain je suis allé a la plage, avec une combinaison que Simon m’avait prêtée, je voulais m’entrainer dans de réelles conditions, je n’en pouvais plus d’attendre, le manque me ronger. Simon me retrouva… nous nous montâmes dans sa voiture, il me parla, je lui montrai la photo de mina... déchiré par les policiers lors de mon arrestation. Il me disait qu'elle était belle, je le savais déjà, elle est encore plus belle en vrai. je suis allé m’entrainer le soir à la piscine après sa fermeture, malgré ma fatigue. Exténuer, je me suis endormis dans la réserve. Le lendemain matin Simon me réveilla, il était furieux, je dégérpis. Je retournai donc dans la jungle, le soir j’allai à la cabine téléphonique pour appeler Mina, entendre sa douce voix qui me manque Tan, un homme décrocha c’était son père, il m’ordonna de laisser sa fille tranquille… plus aucun mot ne sortait de ma bouche, les larmes me piquaient les yeux, le temps c’était arreté autour de moi, les gens hurlaient devant la cabine, un homme me prit et me jeta dehors. Plus tard j’appérçu Simon, nous partons dans son appartement. Simon me proposa de rester, d’apprendre le français, d’avoir une situation stable ici… je ne pouvais pas, je ne voulais pas, qu’allais-je faire de Mina, de notre futur ensemble ? ... je refusai. Plus tard dans la soirée Simon c’était appérçu que sa médaille en or avait disparu, il plongea dans une colère sombre, je ne l’avais encore jamais vue dans cet état-là, il prit un sac plastique qu’il me mit sur la tête en me hurlant dessus, j’essayais de me débattre pour qu’il me lâche, il a cédé, j’étais blessé et furieux, je claquai la porte de l’appartement et descendi les marches, Simon me rattrapait, il s’excusa en criant dans les escaliers, je me retournai, il me prit par le bras. Tous se bruit avaient surement mis en colère les voisins, un d’eux nous interpella dans les escaliers, je n’ai pas bien saisi ce qu’il a dit mais il avait l'aire remontée. Quelles heures après le calme étaient revenues dans l’appartement, je reçus un appel de Mina, mon cœur battait si fort, cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas entendu le son de sa voix… elle m'a dit de sa voix tremblante tout en chuchotant que son père voulais la marier avec un cousin. J’étais dépité, dévaster, mon visage se décomposa, Simon me demanda se qu’elle ma dit, je lui racontai, il voulais m’aider, il me donna donc la bague de son ex femme pour que je puisse impréssionner le père de Mina dès mon arrivé en Angleterre, je refusa mais il m’obligea de ma prendre, se que je fit. Le soir je ne trouvais pas le sommeil, il fallait que je rejoigne Mina, elle ne pouvais pas se marier avec se cousin, elle m’est déstiné, nous nous aimons. Le jour se leva, Simon dormais toujours, c’est avec angoisse que je m’empara de la combinaison, sans un bruit je claqua la porte dérriere moi et me dirigeas vers la plage, je vous écris d’ici, assis sur le sable, je compte plonger dans l’eau froide pour traverser la manche, tout est prét, j’ai le courage et la détérmination, je regarde un dernière fois le paysage que je ne reverais sans doute jamais, Aurevoir.

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