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Kinder

Étude de cas : Kinder. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  11 Novembre 2015  •  Étude de cas  •  1 885 Mots (8 Pages)  •  9 168 Vues

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CAS KINDER

Forces

Faiblesses

  • Taille de l’entreprise :

+30 000 salariés

CA 2013= +8 milliards d’Euros

  • Kinder surprise retiré du marché américain (normes sécurité) alors que concurrent « Yowie » présente les mêmes caractéristiques mais reste autorisé
  • N°1 sur le marché du chocolat
  • Prix élevés : politique d’écrémage, difficile d’acheter des produits chers en période de crise.
  • Image de marque : N°7 « Great place to work » + image haut de gamme : politique d’écrémage

  • Notoriété assistée = 96%

  • Esprit novateur : large gamme de produits + création de la 1ère pâte à tartiner (1946)
  • Lutte contre la saisonnalité des ventes réussie grâce à Kinder surprise (1975)+30milliards vendus depuis sa création
  • Marketing : logo bien réfléchi (couleurs rouge : amour maternel, bleu : fraicheur, vert : vie, blanc : rappel lait, K = tronc/pilier.

Barres chocolatés sécables  partage

  • Adaptation de Kinder surprise aux nouvelles normes Européennes de sécurité alimentaire : nombre de pièces de petite taille réduit, plus de pièces rondes/couleur chocolat, jouet emballé

  • Distribution intensive : grandes surfaces, tabacs, stations-services, distributeurs automatiques… accessible à tous
  • Politique de communication intensive : en 2013=170millions d’Euros en publicité (nettement supérieur à la moyenne) = 13% de son CA
  • Stratégie de communication : basée sur les bienfaits nutritionnels (emploi des sportifs comme Tsonga dans ses pubs #enfant sage obésité, basée sur l’importance de la famille, le plaisir, l’effet surprise
  • Communication média et hors média adaptée aux cibles : pas de radio mais : télé, cinéma, presse, affichage, parrainage d’évènements montant leur bienveillance quant au bien être des plus jeunes, on s’adresse d’avantage aux parents (les décideurs)

Bilan de l’analyse :

Kinder est une marque solide et pérenne, de par sa taille (+30 000 employés), son CA (+8 milliards d’Euros), son rang sur le marché (N°1) et sa lutte réussie contre le fléau « saisonnalité des ventes. »

Tout ceci ainsi que sa généreuse communication média et hors média à laquelle elle consacre 13% de son CA annuel en (télé, cinéma, presse, affichage, parrainage d’évènements…) lui vaut une grande notoriété bien méritée.

        Le succès Kinder ne reposerait il pas sur les efforts en termes d’évolution de la marque ?

En effet, la marque adapte sans relâche ses produits aux nouvelles normes Européennes; ses publicités aux problèmes actuels d’obésité chez les plus jeunes & sa distribution aux tendances actuelles de consommation (distributeurs, relais…)

Le dernier point qui retient les consommateurs reste la politique de prix élevée que la marque pratique, faisant de Kinder la « Rolls Royce » du plaisir chocolaté ! Mais cela ne rend-il pas l’engouement pour la marque que plus fort ?

2.)         Kinder suit une stratégie de marque caution puisqu’elle est liée à plusieurs gammes de produits chocolatés, et vient en complément pour authentifier le produit : Kinder Maxi/Country/Pingui/Surprise/Bueno/Schoko-bons … Ce qui a pour principal avantage d’avoir assez de produits pour plaire à 1 multitude de cibles.

Kinder a choisi de se démarquer de la concurrence très vive de ce marché (80 entreprises y sont présentes) par une politique de qualité. En effet, la marque pratique une politique de prix d’écrémage, en se plaçant au-dessus des prix pratiqués sur le marché.

Elle ne manque pas de valoriser la qualité nutritive de ses produits dans sa communication intensive (13% de son CA annuel y est dédié) en les caractérisant de nécessaires à la bonne croissance des enfants (la marque s’adresse aux parents : les décideurs), en les liants à la vivacité, au sport (Tsonga) là encore la marque s’adresse aux parents et ne tente plus de viser sournoisement les enfants… La marque vante également son intérêt pour la jeunesse et son entrain en aidant le secours populaire, en sponsorisant le Famillathlon … Et a adapté ses publicités en changeant le petit garçon sagement assis en jeunes enfants se courants dans la cour de l’école.  

Ce qui est dans un contexte ou l’obésité, le laissé aller devant la télé, la « mal bouffe » cf scandale sur huiles types de palme/hydrogénées … sont un sujet tabou, une très judicieuse idée.

Par toutes ces actions, Kinder se démarque parfaitement de la concurrence, restée centré uniquement sur des valeurs hédonistes alors qu’aujourd’hui les clients en attendent plus : santé, forme, bien être, éthique, réconfort, détente et puis plaisir !

C’est ainsi que la marque parvient ainsi à engager une lutte contre la saisonnalité des ventes, bête noire du secteur avec une large gamme de produits innovants et attractifs  de par leurs packagings) comme Kinder Surprise, Nutella… (Pâques et Noel représentent 50% des ventes annuelles.) Tout ceci lui permet de terminer 2013 avec un CA de 8 milliards d’Euros réalisé sur un marché qui stagne/baisse et dans une période de crise économique.

Nous pensons que les choix de la marque Kinder ne comportent que des avantages excepté le prix qui peut être un frein à l’achat (entre 1.5 et 4Euros). Cette politique d’écrémage dissuade surement certains d’acheter et d’autres d’acheter plus régulièrement.

3.) Kinder possède une large gamme de produits :

  • Œufs surprise : -Kinder Surprise  (fille/garçon/unisexe)

-Kinder Joy

  • En paquet de 2 & sécables :        

                        -Kinder Bueno (chocolat au lait/blanc)

  • Minis œufs :      -Kinder Schoko-bons

  • Encas individuelles :

-Kinder Chocolat (lait enrobé de chocolat au lait)

-Kinder Maxi (=chocolat en plus gros format)

-Kinder Country sécable (aux céréales)

...

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