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Introduction Développement Bilan personnel

TD : Introduction Développement Bilan personnel. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Octobre 2016  •  TD  •  1 715 Mots (7 Pages)  •  2 283 Vues

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Table des matières

Introduction        

Développement        

Bilan personnel        

Mon projet aujourd’hui        

Conclusion        


Introduction

        Lors du stage, le secteur que j’ai souhaité approfondir est celui du transport routier de marchandises. En effet, ce secteur est celui qui m’a le plus interpellé tout au long de l’année du fait de l’énorme diversité des missions de transport, et de sa constante évolution. 

Grâce à la conférence « métiers », j’ai pu avoir une meilleure vision du monde du transport ainsi que des métiers disponibles. En effet, Jean-Pierre BRODY, travaillant à Transdev, nous avait présenté le service exploitation. Ce service m’avait donc très intéressé car Mr. BRODY parlait de métiers dynamiques qui ne connaissent pas la routine, où il y avait la possibilité d`être sur le terrain.

Les recherches personnelles effectuées au cours du second semestre m’ont permis d’acquérir plus d’informations sur les métiers qui m’intéressaient. En effet, j’ai pu découvrir plus précisément à quoi correspondait le métier d’affréteur, de responsable d’agence ainsi que celui de déclarant en douane.         
Ainsi, après la conférence « métiers », le domaine dans lequel je voulais travailler était plus clair. Cependant, je n’étais pas encore sûre que cela m’intéresserait car je n’avais pas énormément de connaissances sur le sujet. C’est donc ici que les recherches personnelles que j’ai réalisé m’ont apporté de l’aide.         
La dernière étape était donc le stage. A cette époque, je n’avais donc que des informations abstraites sur les métiers qui me plaisaient. Grâce aux plusieurs personnes rencontrées lors de mon stage j’ai pu approfondir les métiers qui m’intéressaient. Cela m’a permis de voir réellement comment se déroulait le métier d’affréteur ainsi que celui de responsable d’agence.

Mon séjour dans l’entreprise Seatruck a le mérite de m'avoir fait découvrir les réalités de la vie professionnelle, car j’étais constamment entourée de vrais professionnels. J'ai donc pu, grâce à leur expérience, assimiler les bases de l'organisation d’un transport.         
Cependant, je n’ai pas découvert le métier de déclarant de douane. De ce fait, je ne dispose pas d’informations supplémentaires sur ce travail. Cela s’explique par le fait que le service exploitation ainsi que facturation dans lesquels j’ai été placée ne disposait pas de ce poste.


Développement

Bilan personnel

        Dans une première partie nous allons étudier le bilan personnel de l’évolution de mon projet professionnel.          
Durant mes recherches personnelles j’ai pu découvrir en quoi consistaient les métiers qui m’intéressaient vivement. Après quatre semaines de stage je peux enfin voir à quoi ressemblent en réalité les métiers d’affréteur et de chef d’agence.        
Tout d’abord, le service exploitation de l’agence SEATRUCK Le Havre dans laquelle s’est déroulé la moitié de mon stage disposait du métier de chef d’agence.        
Thierry LETHUILIER, chef d’agence du Havre, m’a fait part de son parcours, il  dispose d’un brevet des collèges et a appris les compétences de ce métier en le pratiquant et grâce à sa passion pour le transport. Il s’est rendu compte de son goût pour le transport en travaillant dans une entreprise de transport en tant que coursier, petit à petit il a monté les grades. Selon ses mots « j’ai été piqué par le transport », ce secteur plait ou ne plait pas, pour y travailler il faut vraiment apprécier car c’est un métier stressant et qui prend du temps.        
Comme dans son intitulé, le chef d’agence doit diriger une agence de plusieurs personnes, il faut donc avoir une autorité assez naturelle, ce que je pensais assez facile. Cependant, en voyant réellement la responsabilité que détient cette personne j’ai été assez étonnée. C’est un métier très stressant car il faut être à l’écoute de tout et de tout le monde. Je ne pensais pas qu’il fallait gérer autant de choses : organiser les emplois du temps de chaque employé, vérifier que l’agence fait du profit, veiller à ce que les employés fasse bien leur travail, chercher de nouveaux clients, … Il y a donc un poids réel sur les épaules du chef d’agence. Ceci me fait m’effraie assez. En effet, ce métier nécessite vraiment des qualités de leader, et je ne veux pas diriger une équipe. Bien sûr, je savais qu’être chef d’agence voulait dire avoir du pouvoir et des responsabilités, mais je ne pensais pas autant. De ce fait, je souhaiterai de préférence exercer un métier ou je dois collaborer avec mes collègues sans avoir à les diriger.

D’autre part, le service exploitation disposait également du métier d’affréteur, j’ai donc pu demander à quelques personnes leur parcours ainsi que leur ressenti sur ce métier, ce qui m’a permis d’approfondir la profession d’affréteur.         

J’ai rencontré une affréteuse se nommant Gaëlle Piquet, elle détient un BTS Commerce Internationale,  elle a intégré une compagnie maritime puis a développé un goût pour le transport et est ainsi devenue affréteuse.         

Lors de mes recherches j’ai compris que ce métier consistait à organiser l’acheminement de marchandises par des moyens appropriés. J’ai donc appris que le rôle de l’affréteur est d’optimiser les coûts de transports pour que cela coûte le moins cher possible. De plus, l’affréteur est sans arrêt en contact avec les clients et les chauffeurs. En effet, il est très souvent au téléphone, j’ai donc pu conforter mon idée lorsque que j’ai vu que le contact humain était très présent.          
De plus, j’ai remarqué que ce métier nécessitait des compétences en informatique. En effet, l’affréteur est souvent au téléphone et gère les commandes des transporteurs, les rendez-vous à prendre sur les terminaux, ou encore les mails grâce à des logiciels et des sites internet. Il faut donc avoir l’esprit ouvert. Pour ce métier, j’ai pu voir qu’il fallait être très organisé, efficace, et réactif car personne n’aime attendre, que ce soit les clients ou encore les chauffeurs. Il y a d’ailleurs une phrase que Gaëlle Piquet a dit qui m’a marqué : « Tout ce qui est fait n’est plus à faire », c’est-à-dire qu’il faut anticiper les choses et ne pas se laisser déborder. C’est un métier qui est attractif car tous les jours sont différents, avec de nouveaux clients, de nouveaux problèmes à résoudre ; il n’y a aucune routine dans cette profession.

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