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Faut-il se méfier de sa conscience?

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Par   •  8 Mai 2017  •  Dissertation  •  1 014 Mots (5 Pages)  •  12 033 Vues

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Le terme “Faut-il” exprime une nécessité qui pourrait devenir une obligation.

Alors que “se méfier” indique la méfiance, et non l’interdiction totale. De ce fait, la question indique qu’il faut éviter d’avoir confiance. Il nous demande s’il faut avoir du recul et être sceptique.

Dans la question on parle aussi de conscience. Pourquoi parler de la conscience? Elle est présente chez l’homme quand il possède la perception de ce soi-même, d’autrui et du monde qui l’entoure. Mais on peut aussi parler de conscience, sous forme moral, quand un être humain fait un jugement de ses propres actes. Quel est l’intérêt de la conscience? Cette conscience nous donne aussi plusieurs facultés. On peut acquérir les sensations, les sentiments et aussi le savoir. Elle est donc un flux de savoir, qui nous sert donc à donner un sens à une société et à nous même.

Qu’est-ce donc être soi-même? Notre conscience est un reflet de nous même. Nous sommes des êtres humains égoïste, qui se ment à soi même, pour s’aimer lui même. Ils en deviennent submerger par son égo. Suis-je ce que j’ai conscience d’être? Nous cessons d’être nous-même pour devenir une personne que nous voudrions être. Mais nous perdons petit à petit une trace de nous même, quand nous assimilons des pensées communes pour être intégrer à une communauté. C’est pour cela que nous faussons notre identité. Alors notre vision du monde et nos jugements peuvent être une grosse erreur, peut être même les pires. Nous allons donc discuter et débattre de ce problème car la conscience a ces qualités et ces défauts. Il est à la fois une source d’irréalité et une source de connaissance.

1.source d’irréalité

La conscience peut devenir une source de souffrance morale. En effet, dès lors que nous avons conscience de ce que nous faisons, nous nous jugeons. Puis, il arrive que nous devenons impuissant, que notre conscience nous tourmente, en nous reprochant des actes qu’on aurait voulu mépriser. C’est à partir de ce moment là qu’on rêve de recommencer tout à zéro. Vous savez dans les histoires pour enfants où on donne une seconde chance à celui qui a fait une bêtise, car tous les personnages ont conscience que cela ne se reproduira plus. Mais en réalité c’est fictif. Personne n’a la chance de recommencer à zéro.

Mais il est possible d’avoir l’impression d’être pardonné, d’avoir cette chance. Nous n’avons pas conscience de la difficulté de ce que ça fait de réparer les dégâts. Nous avons l’impression de faire l’impossible pour tout rétablir. Alors qu’en fait, le seul remède, c’est l’attente.

Mais ça, la conscience ne le nous dicte pas car elle est un reflet de nous même. Si nous décidons de nous battre c’est pour deux choses, parce que nous le voulons et que nous dissuasions notre conscience de le faire. Mais parfois, nous décidons de fuir sous prétexte qu’on souffre trop.

C’est pour ça que je pense que la vie est un flux sans fin qui se répète. Le choix sera toujours le même: combattre ou abandonner. Pourtant notre conscience prends le dessus et tout devient instinctif et incontrôlable. Mais en sommes-nous coupable de cela? Puisque parfois, les meilleurs d’entre nous prennent de mauvaises décisions, qu’ils

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