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Psychopathologie : les névroses

Cours : Psychopathologie : les névroses. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Novembre 2017  •  Cours  •  1 213 Mots (5 Pages)  •  976 Vues

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Cours #4 : les névroses

Retour sur le cours #3 :

Nomenclature :

  • Aider à repérer des évènements problématiques
  • Trois grandes catégories diagnostics  avec sous structures (types caractériels) :
  • Névroses : actuelles (voie du refoulement), organes (hypocondriaque = affecte toutes les structures), hystéries (conversion, dissociative = semble névrotique mais cache une psychose), hystéries angoisse (alourdir tableau), névrose obsessionnelle (plus difficile)
  • Astructurations : les personnalités narcissiques, les caractériels (difficiles à modifier), les perversions du caractère
  • Psychoses : schizo, maniaco-dépression, paranoïa
  • Poser un diagnostic, donc où est le noyau principal, regarder les différences,
  • Prémisse fondamentale : nous donne une expertise avec des personnes du même type, donne des pistes et des repères. Peut nous adapter à la structuration et l’aider du mieux qu’on peut.
  • Le diagnostic : pose le changement, toute structure a tendance à se maintenir, mais le diagnostic aide au changement.

Équivalences et différences avec le DSM-IV ET V

  • DSM couvre éléments de l’enfance
  • Pas à l’examen
  • plus d’axe 1 et 2 : troubles concomitants
  • origine déficitaires est lié à troubles, indépendant de l’intelligence
  • différence entre les deux DSM IV et V : est seulement symptomatique, on regarde seulement que s’y trouve dans le cerveau

Cours #4 :

Introduction aux névroses;

C’est quoi :

  • Au moins 80% des gens
  • Pour avoir l’air normal : on est toujours en train de nous contenir
  • personne en névrose : contiennent trop de refoulement
  • première découverte de Freud : rupture entre les dimensions, ex : un vécu d’elle-même
  • peut etre différent d’une famille à une autre
  • Selon époque ou cultures, les habitudes vont être différents, plus interdit
  • ce qui est retenue va devenir une source de motivation qui nous échappe, on va oublier qu’on a oublié
  • Si on diverge, on se sent mal

D’où ça vient :

  • 3 mécanismes à l’inconscient : mécanismes de défenses car permet le matériel inacceptable ne revient pas à la surface, mécanismes naturels
  • Déplacement des affects : vagabonder à se prendre à contenue inoffensif, émotion ne va pas avec affect
  • La condensation, Contenu lui-même : surface très chargé, plusieurs choses ensemble, donc en parler peut être long par rapport à un même symbole
  • La symbolisation : le rêve est visuel, les contenues sont traduits en image, le rêveur baigne dans l’inconscient, sous forme visuelle, une image peut être une supervision d’une contenue, rêve censurer quand on se réveille, ce qui remonte est le contenue qui s’échappe, demande une recomposition du matériel latent. Le MOI censure le rêve, et le rêve garde le sommeil (si l’inconscient ne le fait pas, on se réveille), rêve prémonitoire (rêver, réveiller puis intégrer l’élément vécu au rêve)

Aspects (3) :

  1. Symptomatiques :
  • Autres mécanismes
  • Le refoulement : inacceptable dans son contexte, le moi est mature (donc pas enfance), rendre inconscient un matériel qui a été conscient,
  • Rationalisation : c’est mieux que je ne dise pas cela, toute une explication pour garder le contenue à l’intérieur, pensée conscient mais déclanchement inconscient
  • L’évitement
  • Formation réactionnel : s’investir dans une boite psychique, réaction à l’inverse du désir (quelque qui s’en veut, mais pardonne vite)
  • Conduites défensives : parfois pas au niveau de la pensée mais au niveau du comportement. Il sert à l’évitement (ex : l’endroit qui peut éveiller, donc on ne va pas là), utiliser surtout avec les mécanismes de défense peu efficace
  • Le souvenir enfance des patients, n’est jamais ceux qui se présentent en premier
  • Retraduit ce qui va être refoulé, retrouver les vrais matériel
  • Actes manquées : des labsuces, actes réussit au niveau de l’inconscient
  • Somatisations : tout disparait après avoir commencé,
  • Idées obsédantes : idées, pensées qu’on ne désire pas, des fois ne savent pas qu’ils l’ont
  • C’est quoi la névrose : désir, agressivité, fantaisies, conflit inévitable entre le monde pulsionnel et les exigences, les contingences, assez inquiétant, c’est le prix à payer pour être des gens socialisés. Ils sont sous différences qui prennent la forme de symptômes (beaucoup de somatisation, beaucoup de comportements névrotiques, la peur de perdre le contrôle), ils ont le Moi le plus fort. Processus de pensée tintée d’anticipation et de remords,

  1. Psychodynamiques :
  • Le surmoi résulte de l’intériorisation des interdits culturels
  • L’intégration idéale du moi : des attentes inconscientes qui pesaient sur l’enfant des parents
  • Avantages : intérêts pour les autres, monde sociale
  • Angoisses principales : castration (peur des contenues pulsionnels et du social du regard des autres)
  • Manque de confirmation de leur identité : toujours un doute, qui demande à être confirmer, il a appris comment doit faire
  • La culpabilité névrotique : se sent avant, pendant et après coupable, sensible à l’atmosphère sociale
  • A recours à des autopunitions : se flageller moralement, devant les autres
  • Il a beaucoup honte de ses vrais désirs
  • Le dégout de soi
  1. Étiologiques :
  • Dans la période de l’œdipe, 4-5 ans
  • Il a été vécu de manière intense, pas vécue, état de latences
  • Peut penser que c’est une solution de compromis, l’enfant est soumis, la solution la moins pire
  • Conflit névrotique est un antagonisme interne entre le monde pulsionnel et exigences de la vie sociale

Névroses actuelles :

2 types : au deuil (déterminer par la nature lui-même et suite à un évènement identifiable

Névroses traumatiques

  • Empreinte la voie du refoulement
  • Déclenche par élément récent
  • Implique un trauma
  • Remarque un changement important suite au traumatisme
  • Peu être temporaire
  • Donc l’effet du trauma peut se prolonger
  • Intensité peut dure
  • S’soupçonner la présence d’un élément latent dans la personnalité
  • Symptômes :
  • Rupture dans le fonctionnement de la personne
  • Pas pendant l’évènement
  • Plutôt suite à l’évènement
  • Anticipation (peur agresser à nouveau, projette dans l’avenir)
  • Revécue symptomatique : évènement serait pire que l’évènement initiale
  • Angoisse se généralise à des évènements anodins
  • Perturbation du sommeil et cauchemar
  • Régression : retourne à un état intérieur, besoin de se sentir en sécurité, dépendante des personnes

Fonction psychodynamique :

  • Fonction du moi : se sont avérés inefficaces
  • Se repasse l’action pour essayer de développer de nouveaux mécanismes de défenses
  • Lorsqu’elle s’enfonce, elle a encore des effets traumatiques, ne peut pas changer d’environnement s’il devient angoisser
  • Permet assouplissement de besoin primaire
  • Problématique qu’elle était la avant
  • Trauma occasionne perte secondaire, pas de bénéfice, perte de capacité de naïveté (devient de la prudence),

Aspects étiologiques (notion trauma est important)

  • Plus événement dangereux, plus il va être traumatique
  • Danger de récidive
  • Plus évènement risque de se reproduire, plus traumatique
  • L’imprévisibilité lors de l’évènement, plus effet traumatique est grand
  • ** rajout du prof : plus individus est jeune, plus effet est grand, car son  moi est moins développer
  • Ex : abus sexuel sur enfant 3 ans du père, ou jeune fille de 14-15 ans, impact pas le même
  • Toujours penser que le trauma arrive dans une structure donné, il va régresser (son fonction normale), à l’intérieur d’une névrose
  • Impossibilité agir lors de l’évènement, si paralyser plus traumatique
  • Diagnostic différentiel s’impose :

Gens qui ont de pathologies ne sont pas nécessairement fragiles

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