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Femme et homme en société

Cours : Femme et homme en société. Recherche parmi 303 000+ dissertations

Par   •  29 Septembre 2025  •  Cours  •  7 721 Mots (31 Pages)  •  38 Vues

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UEO Thématique : Femme et homme en société

UEO FEMMES ET HOMMES EN SOCIETE

Le thème de femme envoie à un thème socio-culturel, certaine spécialiste préfère choisir le terme « Female » (femelle). En français le terme femelle est assez péjoratif, mal vue plus utilisé pour les animaux.

Une francisation du mot « gender », il trouve son origine aux Etats-Unis 1990. La France a été en retard, l’un des livres pionée est un livre d’une française, philosophe française, Simone de Beauvoir, le deuxième sexe. On ne naît pas femme on le devient, naître du côté biologique. Ce n’est pas naturel. On a un rapport entre homme et femme. C’est la femme qui a été importante dans l’évolution historique. De nombreuse œuvre on était fait par des femmes qui ont était oublié. Les théories des hommes ont été volée à leur femme. L’université française il y a eu une retissant. Il y avait un problème fondamental, les études ont acquis une légitimité. L’histoire du genre prend la suite de l’histoire des femmes.   1970-1980= le rôle des femmes avait été sous-estimé, voir rejeté. L’histoire des femmes a eu du succès mais ont a vue vite les difficultés, les sources qui ont était écris par les femmes, alors que principalement c’était écris par des hommes. On ne peut pas faire l’histoire des femmes sans l’histoire des hommes. Problèmes méthodologiques apparût aux yeux des historiens. L’histoire des genres le résous (femmes et hommes). Le côté dissymétrique disparaissait. L’histoire du genre résolvez. Si on parle de rôle sexuel, on parle de sexuées, un terme qui enduit en erreur, genrées. On étudie les rôles des hommes et femmes, le problème des origines des sources disparaît (bonne mère, bon père…). Les femmes partager les mêmes conceptions que les hommes. Certaines sociétés ont une bonne conception de ce que c’est la mère. L’histoire du genre c’est autant l’histoire des femmes que des hommes. Problème vocabulaire, plus de réflexion du côté des femmes que des hommes, la virilité sera la conception culturelle.

L’histoire du genre, l’histoire entière.

En histoire du genre dans l’antiquité a eu du succès. L’étude du genre qui a été étudier par certaines historiennes. Histoire ancienne, c’est des sociétés de double standard. Il y a des normes différentes pour les hommes et les femmes, l’histoire de la sexualité. Il y a des normes sexuelles différente, les femmes ont le droit a un seul partenaire, alors que les hommes ont le droit a plusieurs partenaires dans la société romaine. C’est des sociétés de statue, les sociétés ou les clivages juridique sont dominant.

L’ancien régime est divisé en ordre en noblesse, clergé, et tiers états. Cette logique juridique est assez intéressante, car elle va différencier le sexe et le genre. Le sexe et le genre ne vont pas aller ensemble. Les femmes esclaves ne sont pas des femmes. Les femmes doivent avoir de la pudeur, une femme esclave ne peut pas refuser d’être offerte. Du point de vue genre ce ne sont pas des femmes. Les hommes dans le code sexuel romain, l’homme doit être actif sexuellement. Un esclave peut être passif dans la relation sexuelle, donc l’homme n’est pas un homme. On n’attend pas de lui à ce qui répondent au code sexuel.

4 définitions et sous-thème=> évaluation (question cours)

Dissertation (réflexion)

200 avant JC – 200 après JC ; Système républicain 509-27 avant JC

César Pompée qui sont des imperatoves qui se disputait le pouvoir, à ce système républicain succèdent le régime impérial de 27 avant JC à 14 après JC, Auguste Empire. Il a fait des lois sur le mariage, sur l’adultère.

15 octobre absent

PLAN DE COURS :

  • Du Sexe au genre
  • Virilité, féminité
  • L’histoire du Corps
  • Les rapports juridiques
  • Rapport sexuel
  • L’amour conjugal
  • La paternité, la maternité
  • La sphère publique, les genres et l’espace public
  • Genre et cité

I- DU SEXE AU GENRE

 Pour les grecs et les romains il y a une différence entre le sexe et le genre. Il y a très peu de différence entre les garçons et les filles.

1- Différence de nature

a) l’héritage des philosophes grec : une hiérarchie naturelle

Aristote IV e siècle avant JC, la femme est faible par nature, la faiblesse la conduit e être conduit par l’homme, la femme est un être incomplet, la femme serait un homme incomplet, elle est inférieure. Elle est donc commandée par l’homme. Les philosophes romains estimer que les femmes est autant vertus que l’homme et pouvait développer leur vertus par l’éducation comme les hommes. Mais les romains pensent que la femme est plus faible, infirmas de la femme est une faiblesse physique et psychologique, exclut de la sphère publique et la cantonne à la sphère domestique. Elle a pourtant les mêmes qualités. Cette idée d’une faiblesse physique.

2- L’héritage des médecins grecs : la théorie des horreurs

Hippocrate, médecin légendaire, un philosophe grec VI e siècle avant JC.

La vision du corps pour Hippocrate va avoir une théorie, la nature et la théorie des quatre humeurs ( sang, bile, atrabile, phlegme) On va les classer : le chaud et le froid, le sec et l’humide. L’équilibre de ces humeurs au sein du corps va dépendre du sexe, l’âge, la saison,… Mais selon le sexe l’équilibre ne va pas être le même les hommes sont chauds et secs et les femmes froides et humides. L’équilibre différent entraîne l’infériorité de la femme.

3- Force contre Faiblesse

Une faiblesse de la femme physique et psychologique. Aux yeux des romains c’est fondamental, il justifie l’infériorité de la femme par rapport à ces conceptions, par rapport à son corps. Psychologiquement la différence entre ces équilibres, l’homme est stable maître de lui-même, alors que par définition la femme est faible, elle pleure, elle est instable, elle découle de critique naturel. Le rôle socio seront différent, à Rome les femmes ne se batte pas, les hommes peuvent armer les esclaves, par rapport à cette faiblesse physique, les femmes pleurent aux enterrement, il y  a même des pleureuses professionnel, pour avoir des funérailles digne du défunt. Les hommes peuvent être amenés à pleurer à Rome, mais les hommes ne pleurent pas comme les femmes, l’homme reste maître de lui-même, il pleure silencieusement. Les femmes se roule par terre, se tire les cheveux, se tire le visage. Une femme peut être aussi intelligente qu’un homme mais elle faible… Les romains distinguent bien le sexe du genre.

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