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Panorama général De L'économie Française

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Par   •  28 Février 2012  •  1 475 Mots (6 Pages)  •  1 113 Vues

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Plan :

Introduction

1. Les avantages et les inconvénients de l’économie française après la crise.

• L’image externe (l’investissement, l’exportation et l’importation)

• L’image interne (les finances publiques, taux de chômage)

2 . La situation des ménages sous la reprise semble être ambiguë.

• Le dynamisme du revenu des ménages s'interrompre par le regain d’inflation

• La consommation des ménages n’a pas une trajectoire constante

3. Les prévisions économiques et sociales pour les années 2011 et 2012.

• La stratégie générale acceptée par l’ensemble des pays européens

• Les futures séquelles possibles

• Les autres stratégies hypothétiques de sortie de la crise

Conclusion

La France, comme les autres pays occidentaux, a connu une reprise économique en 2010 après une grande récession. Pour comprendre cette reprise il faut voir quelles sont des inconvénients et des avantages de cette année. Et après construire et donner les prévisions pour les années suivantes. Alors on se pose de question : est-ce que cette reprise économique va continuer de croître encore en 2011 et en 2012 ? et est-ce que le rythme sera le même ? De plus, pour comprendre la situation intérieure on va étudier la situation des ménages, le marché du travail et les finances publiques.

L’année 2010 a été une année positive pour l’économie française, surtout sur le plan extérieur. De nombreux programmes d’une reprise ont été effectués. Alors par le résultat on comprend la croissance du PIB de 1,5% après un recul de 2009 de -2,4%. Cette croissance modeste a permis d’améliorer plusieurs postes, mais on trouve encore les conséquences de la crise économiques.

L’apparition de signaux positifs en 2010 on peut voir par une reprise du commerce mondial, qui permet un redressement de la demande étrangère adressée à la France. Cela a permis au commerce extérieur de favoriser la croissance de l’économie française. Grâce à ce soutien, l’économie a pu croitre suffisamment pour permettre au secteur marchand de créer à nouveau des emplois et de diminuer les stocks. Les exportations et les importations ont joué un rôle très important dans cette reprise. L’investissement total en France s’arrête aussi au niveau positif de +1,7% après deux années négatives, ce qu’a permis d’augmenter le taux d’utilisation des capacités de production des entreprises.

Sur le plan interne on voie plus des inconvénients que des avantages. Premièrement, ce sont les finances publiques qui pèsent beaucoup sur le plan de relance, ayant 85,3 points de PIB. Ce que provoquent des problèmes pour la stimulation d’économie. Deuxièmes, une situation précaire du marché du travail, qui garde le taux de chômage au niveau très élevé. Ce que provient aussi l’effet de flexion négatif, quand un grand nombre de chômeurs se découragent et se retirent de la population active, ce que diminue le taux d’activité. La France a connu un ajustement plus faible que ce que l’on aurait eu attendre. Troisièmement, c’est un ajustement incomplet des capacités de production. La France a un rythme lent et trop insuffisant pour que l’on puisse qualifier ce mouvement par une reprise de sortie de la crise.

Encore un poste qui détermine la situation économique d’un pays c’est la situation des ménages, laquelle on va étudier individuellement.

La situation des ménages sous une reprise économique semble être équivoque, ce que apparaît par le dynamisme du revenu des ménages et le regain d’inflation ou par la stimulation de consommation des ménages et la montée d’épargne.

L’amélioration relative du marché du travail, le retour aux créations d’emplois et l’effet désinflation ont provoqué la croissance du revenu disponible brut de +2,4% en 2010. On voit aussi une reprise des composantes qui vient majorer la rémunération perçue effectivement par les salariés, telles que les primes et les heures supplémentaires. En plus on peut dire que l’année 2010 est marquée par l’atténuation du jeu des stabilisateurs automatiques. Par contre, en 2011 une modeste accélération des prix en moyenne annuelle amputera l’évolution réelle du RDB. L’inflation va jouer un rôle contraire d’un dynamisme du revenu des ménages. En générale, les évolutions nominales du RDB ne seront plus aussi favorables en 2011 et 2012 qu’en 2010.

Parallèlement, avec une politique de fortes restrictions budgétaires, les prélèvements obligatoires, cotisations sociales et impôts vont se redresser. Mais l’Etat essai toujours de stimuler la consommation des ménages.

La consommation

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