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La violence est-elle le propre de l’homme ou de la vie

Étude de cas : La violence est-elle le propre de l’homme ou de la vie. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Octobre 2022  •  Étude de cas  •  1 225 Mots (5 Pages)  •  267 Vues

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La violence est-elle le propre de l’homme ou de la vie ?

        La violence peut se présenter sous des formes différentes. Elle est la plupart du temps l’expression des frustrations de l’homme. Depuis l’existence des êtres humains, la violence demeure et se perpétue. Le 20ème et 21ème siècle sont marqués par une violence brutale. Les guerres, les génocides et les attentats témoignent de la monstruosité de l’homme. Le sentiment d’insécurité est un phénomène grandissant « L’homme est un loup pour l’homme », cette expression de Hobbes du 17e siècle n’a rien perdu de son actualité, cela prouve-t-il que la violence est ancrée dans nos sociétés ou bien dans notre nature ? La violence est-elle le propre de l’homme ou de la vie ? Est-elle violence quand la brutalité de la vie se fait sentir au cœur d’un être conscient ? Mais la conscience ne peut-elle pas être un remède à la violence ? Ou bien l’accentue-t-elle ? La culture de l’homme cultive-t-elle sa perpétuation ou son éradication ?

Ces interrogations suppose donc que l’humain est un être violent doté de conscience et vivant dans une société qui peut encourager cette violence.

Qu’est ce qui justifierais une telle violence ? Pourquoi se montrer violent avec nos semblables ? Quel en est la cause ? Quel en est le but ? Notre conscience de soi et du monde ne devrait-elle pas nous ouvrir les yeux ?

L’enjeu de cette réflexion sera de comprendre et analyser les violences perpétuée par l’homme, où trouve-t-elles leurs origines et vont-elles continuer de vivre dans le futur de l’humanité.

        À de nombreuses reprises l’humanité a su prouver qu’elle était capable d’atrocité et d’une brutalité sans nom. Il y a moins d’un siècle l’un des plus grand massacre de l’histoire a vu le jour. La seconde guerre mondiale a en effet marqué les populations de part sa violence et ses massacres répétés. Des populations entières massacrées, la pratique de toute sorte de tortures « inhumaine », la déshumanisation d’hommes et de femmes…

Est-ce dans son instinct que l’homme trouve ce besoin à la violence ? Est-ce dans la psychologie de l’homme que l’on trouve la raison de ces massacres ? Une paix durable n’est-elle pas envisageable ?

L’homme a donc un besoin de répression et de haine qui le pousse à être violent. Il est vrai que dans l’Histoire de l’humanité, le peuple c’est toujours plié devant la force et la violence.

        Il est dit en psychanalyse qu’en tout homme réside des pulsions, ce que l’on appel aussi le « ça ».  L’humain est donc constitué de plusieurs sortes de pulsions dont celles de la violence et la destruction. Les abominations de la seconde Guerre Mondiale signifieraient donc que les hommes se seraient laissés aller à leur pulsions ? La plupart des témoignages nazis montrent que ces hommes ne faisaient qu’obéir aux ordres de leurs supérieurs. Mais où était donc passé leur conscience ? Leur humanité ? Leurs remords ?

La violence réside-t-elle au fond de chaque homme ? Elle serait alors comme un volcan endormit..car la violence explose parfois, de manière spontanée et irréfléchie.

Ou bien l’homme est violent par ce qu’il est disposé par nature à la violence, ou bien rien ne prédispose naturellement l’homme à la violence, et donc s’il lui arrive de l’être, c’est par ce qu’il a été rendu violent par la vie sociale.

L’homme est doté d’instinct, donc par conséquent si nous devions répondre à ces questions, nous dirions qu’effectivement dans la nature de l’humain l’on retrouve de l’agressivité du à l’instinct de survie. Pourtant il arrive à l’homme d’être violent sans que sa vie soit en jeu. La violence dont l’homme est capable ne se limite alors pas à celle provoqué par les circonstances de la légitime défense. En effet comme nous l’avons souligné plus haut, l’homme est un être pulsionnel, il est tenté d’assouvir ses besoins d’agressions au dépend de son prochain.

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