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Ses doigts quant à eux

Dissertation : Ses doigts quant à eux. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  25 Janvier 2016  •  Dissertation  •  1 361 Mots (6 Pages)  •  807 Vues

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Ses doigts quant à eux, ceux qui me câlinent la chatte sont d’une activité débordante. Je ne sais pas si c’est juste une impression, mais il me semble que je suis trempée et que je coule dans sa main.

Il n’y a plus que nous deux, seuls au monde et cette envie que j’ai de faire l’amour. Je n’ai jamais connu cela avant, j’appréhende le moment où il va me prendre pour de bon, mais c’est tellement magique. Ses caresses m’écartent définitivement d’une idée éventuelle de fuite. Il est beau dans la lumière qui le frôle, et il me déshabille lentement, comme s’il n’avait fait que cela… toute sa vie.

Ses mains courent sur moi, elles vont partout, avec une douceur qui me fait un effet étrange. C’est bon, j’adore ces attouchements tendrement réalisés. Il n’a plus besoin de forcer pour que mes cuisses s’écartent l’une de l’autre et quand sa bouche se colle à ma chatte, je suis déjà à mille lieues de tous les problèmes du monde extérieur.

Comme l’homme me touche de plus en plus profondément du bout de sa langue, que ses doigts vont et viennent sur mon sexe et que les caresses me font remuer, c’est tout naturellement que la queue vient se frotter à mes lèvres.

Mon ventre ondule sous l’effet des doigts et de la langue conjugués qui me donnent des frissons partout. Quel plaisir que d’être ainsi touchée, à demi pénétrée par un doigt et une pointe de langue qui me râpe le clitoris ! Je râle et roule des hanches, me frottant plus encore sur le visage de Jean-Marc qui souffle un peu sous mes coups répétés.

Ma petite motte se secoue sur le nez et la bouche de l’homme qui comme moi gémit de plaisir. Je sens couler en permanence de mon ventre la cyprine qu’il ne peut pas ne pas voir et sentir. Il me lape comme un jeune chien le ferait, à grands coups d’une langue baveuse et je commence à hurler de plaisir. 

Le verre d’eau qu’il m’apporte me fait un bien fou. Je le bois comme si ma vie en dépendait.
Les glaçons qui sont au fond du verre lui donnent une étrange idée et alors qu’il est assis près de moi, il en prend un. D’une main experte, il commence une ronde douce sur ma peau. Elle débute par ma nuque, descend sur ma poitrine et tourne autour de chacun de mes seins qui sont tout gonflés d’envie. La glace fond rapidement, alors, il va chercher de nouveaux cubes dans le congélateur et ceux-ci mordent chaque endroit où ils vont. Quand le dernier arrive entre mes grandes lèvres vaginales, il est presque tout neuf et Jean-Marc l’enfonce dans ma chatte rose qui le laisse entrer, mais j’ai des soubresauts sous l’impact du gel qui touche mes muqueuses incandescentes.

Je roule sur le sofa et c’est là qu’à nouveau la bouche de l’homme vient cueillir la mienne, que ces doigts recommencent à tirer la meilleure musique de mon entrejambe qui le désire plus encore que tout à l’heure. Il est plus détendu, son éjaculation lui laisse un répit qu’il met à profit pour me faire de majestueux préliminaires. Les caresses sont toutes en douceur, toutes en finesse, et je ne tarde pas à ressentir à nouveau, cette chaleur qui m’envahit peu à peu du haut en bas. Je suis tellement emportée par ces attouchements que je me mets à gémir, d’abord doucement et mes cris vont crescendo, au rythme des doigts qui m’enflamment.

Mon ventre se creuse sous la main qui fouille partout, allant sur toute la longueur des grandes lèvres, les tenants écartés, les lissant. Puis, un doigt s’attarde de temps à autre sur le pic de chair rose érigée en montagne de plaisir. 

Je rue, remuant de partout, ma croupe allant de gauche à droite, et j’apprécie les temps morts autant que les assauts fougueux des doigts qui virevoltent sur et dans ma chatte. 

Alors une nouvelle érection arrive et nous remettons le couvert, mais cette fois, je ne suis ni crispée, ni angoissée, et le plaisir que je prends, n’a déjà plus rien à voir avec le précédent.

Pourtant je n’arrive pas à me détacher de vos sexes…
Le mien est en feu, je suis trempée d’excitation. Je contracte régulièrement mon vagin signe d’une grande excitation. Votre main se fait plus précise sous ma jupe et vous caressez mon clitoris gonflé de désir.
De nouveau ma raison s’impose.

Je m’exécute, vous vous hésitez, mais en me voyant nu vous faites de même tout en lorgnant ma queue avec gourmandise.
Vous avez une paire de seins imposante que je m’empresse de tâter et d’embrasser, vous vous baissez pour attraper mon membre avec votre bouche, je m’allonge pour que cela soit plus confortable, vous vous mettez à quatre pattes pour vous occuper de mon membre tendu vers vous.

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