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Philosophie, la conscience, l'inconscient, le sujet

Dissertation : Philosophie, la conscience, l'inconscient, le sujet. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Janvier 2013  •  Dissertation  •  1 721 Mots (7 Pages)  •  1 259 Vues

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Sujet : La conscience, l'inconscient, le sujet

I/ La conscience : définition, enjeux

a) Différents niveaux, degrés de conscience ? (conscience spontanée ? conscience réfléchi ?

Les animaux sont-ils des êtres de conscience ?

b) La conscience comme processus d'acquisition

II/ Quels sont les rapports entre le corps et l'esprit ?

a) Une relation d’indépendance

b)Peut-on réduire la conscience a la matière cérébrale ?

III/ La conscience de soi

a) La question de l'identité (Qu’est-ce que le moi)

b) La mauvaise foi de Sartre

IV/ La notion d'inconscient est-elle une dépossession de notre libre arbitre

a) L'inconscient psychique Freud

b) L'inconscient social P. Bourdieu

2 types de plans :

Une explication :

Une critique : capacité à dialoguer avec l’auteur (critique) et avec le texte.

2ème type de plan possible : La capacité de dialoguer avec l’auteur, (critique) expliquez le dialogue avec le texte

*Présupposés : alterner explication et dialogue en associant ou réfutant les thèses au sein des partis du texte.

Repérer la thèse et les étapes de l’argumentation : Il s’agit pour Hegel = il est question de réflexivité qui est le propre de l’homme. En quoi consiste le propre de l’homme dans le « pour soi » ? être capable de s’approprier de se représenter

La conscience : définition et enjeu.

I a) Que recouvre la notion de conscience ?

Il serait possible de distinguer 2 sens à ce terme. Le premier renverrait à une faculté commune à tous les êtres vivants : la faculté de percevoir, de ressentir la réalité extérieur.

Ce que l’on appelle la conscience spontanée :

Faculté lié à la perception extérieure de façon sensible.

Lié à une organisation cérébrale minimale.

En ce sens tous les animaux sont des êtres de conscience = le propre de tout organisme animal est d’être en interaction entre lieu et son biotope.

Réfuter ici la thèse Cartésienne des animaux machines ou il n’y a en somme aucune différence de nature (ou d’essence) entre un automate imitant le vivant et un vivant issu de la nature.

Aucun comportement animal (dès qu’il y a base cérébrale organisée) ne peut être réduit au schéma stimulé/réflexe, c’est-à-dire une réflexion qui exclurait tout choix (anticipation en vue d’un résultat) lié à une base cérébrale et qui se complexifie lorsque nous étudions les comportements des animaux les plus proche de nous. La conscience est un organe de choix

Bergson « L’énergie spirituelle »

« Finalement là où le système nerveux est rudimentaire, à plus forte raison là où il n’y a plus d’éléments nerveux d’instincts, automatisme et choix se fondent ensemble »

Plus l’éventail de choix

La théorie des 3 cerveaux :

-Reptilien

-Néocortex

-Cerveaux de grands mammifères

Pour qu’il ait anticipation et choix, il faut nécessairement qu’il y ait conservation (d’expos, de connaissances) c’est-à-dire mémoires

Pour Bergson conscience = mémoires

Retenir ce qu’il n’est déjà plus, anticipé sur ceux qui n’est pas encore. Voilà la première fonction de la conscience.

Toutes conscience est donc mémoires, conservation et accumulation du passé dans le présent. Il est possible de définir la conscience comme réflexivité = possibilité de se représenter soi-même comme un sujet pensant. « Conscience réfléchie : »

Retour de la pensée sur elle-même (= « pour soi »)

Savoir ce que l’on pense et possibilité de représenter sa pensée, de l’analyser, de la juger. Pour soi = conscience réfléchie. En soi = conscience spontanée

La réflexivité : c’est une faculté exclusivement humaine. Parce qu’elle est rendu possible grâce au langage, qui permet à l’humain de se méta-représenter et d’changer des concepts. Seul l’homme est capable de penser ce qu’il pense. Qu’est-ce qu’est croire, savoir ?

Est-ce qu’il y a une bifurcation ?

Les animaux sont capables d’associer des situations, des abstractions. (Phrase)

Hegel : Qu’est-ce que la conscience ?

Seul l’homme se caractérise par sa « double existence » (en raison du propre de l’homme qui est la réflexivité) ou pour soi

L’homme est bien un vivant parmi d’autres mais il existe également pour soi = se représenter son statut, le monde et sa propre pensée. « En soi » c’est-à-dire exister sur le mode de l’immédiateté (par exemple éprouver l’émotion en soi ou une pensée = être capable de se l’approprier pour soi. (= la nommer, l’analyser, comprendre quels sens elle peut avoir etc…)

Le « pour soi » ou « dédoublement » aboutit au fait que seul l’homme peut-être à la fois sujet je (auteur de ses pensées) et objet = je pense sur moi de sa réflexion. Il y a une différence considérable entre le fait d’éprouver de la colère et de la faire « pour soi » = se l’approprier mentalement c’est d’emblée la mettre à distance et de ce fait la modifier : impossibilité d’être identique à soi. (Ou de coïncider avec soi)

Mais la vie ne s’exprime pas constamment sur le mode de la réflexivité

Structure du « pour soi »

Cette réflexivité s’acquiert de façon pratique dans le texte d’Hegel.

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