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La thèse de Nietzsche

Fiche de lecture : La thèse de Nietzsche. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  12 Mai 2015  •  Fiche de lecture  •  708 Mots (3 Pages)  •  878 Vues

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Le travail est une chose qui est glorifié par la plupart des individus pour que l’on travail plus. La thèse de Nietzsche est on glorifie le travail, mais cela n’apporte rien de bon pour les individus. De « Au fond » (l.3) à « l’indépendance » (l.6), on peut penser que c’est sa thèse. Pour lui la glorification du travail est un danger car l’employer va travail dur pour pouvoir gagné sa vie. De « Car il consume » (l.6) à l’individuum ! » (l.12) il argumente sa thèse. Le travail est-il une entrave au développement de l’individu ?

Dans un premier temps, on constate que Nietzsche, n’est pas d’accord avec les éloges sur le travail, quand on lit dans la première ligne «  la glorification du « travail » » ce qui veut dire qu’il n’est pas d’accord avec cela. Que le travail est quelque chose que l’on ne peut pas glorifier car c’est fatiguant et que c’est dur. Il s’oppose avec ce fait. On constate aussi que pour lui le travail n’est pas un travail personnel car on travail sous des directives. Travailler nous prend toute la journée, il n’est pas d’accord avec le fait que le dur travail est le meilleur pour les hommes, que cela n’aide pas l’homme à s’accomplir totalement car il ne fait pas le travail de son propre chef mais parce qu’il à besoin de travail pour pouvoir subvenir à ses besoins et ceux de sa famille. Et comme on travaille dur on a donc pas connaissance de ce qu’est le désir, on ne développe pas la raison et on devient dépend de son travail car on reste du matin au soir à travailler comme des forcené pour pouvoir vivre correctement. Et comme on travaille assez tard on n’a plus de force de rien faire que de rentrée chez soi et de se reposer et on ne peut pas profiter de se qui nous entourent. Le travail nous épuise aussi mentalement et nerveusement, c’est-à-dire que certaines personnes sont mentalement détruites et qu’elles ne peuvent plus endurer tout ce travail intensif. Certains n’ont plus de rêve, ils n’ont plus de projet pour leur avenir ils ne pensent qu’à travailler. Comme on travaille sans relâche alors on ne pense plus à nos soucis, à l’amour, à l’amitié ou encore à la haine, on ne pense qu’à travailler. Et puisque nous n’avons plus de soucis, nous sommes sans cesse dans une « satisfaction facile et régulière ». Une société comme celle ne nous mais pas dans une sécurité, on pense être en sécurité mais nous sommes dans un danger permanent sans nous en rendre compte.

Même si le travail n’est pas une sécurité pour les hommes, il représente une sorte d’égalité entre eux.

Hegel voit le travail comme la dialectique du maître et de l’esclave, c'est-à-dire que le maître désire quelque chose et que l’esclave travaille pour que le maître ait ce qu’il veut. Le désir du maître n’est pas un besoin il est inutile à la conservation de son corps. Mais le maître n’est pas totalement satisfait car il n’est pas l’artiste de ce qu’il possède, il ne se reconnait pas à travers cela. Alors que l’esclave est celui qui fait le travail à la place du maître. Il réalise quelque chose mais celle-ci lui est retirée quand elle est finie donc l’esclave ne se reconnait pas en temps qu’individu car il est dépourvu de son travail. Donc il ne se réalise pas en temps qu’esprit. Alors

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