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L'homme est-il objet de L’histoire

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Par   •  4 Janvier 2014  •  703 Mots (3 Pages)  •  21 089 Vues

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SUJET: POURQUOI L’HOMME EST-IL OBJET DE L’HISTOIRE

Plusieurs avis s’affrontent quant à la conception de l’homme par rapport à son histoire. Tandis que les uns montrent l’homme comme maitre de sa propre histoire, d’autre soutiennent plutôt que celui-ci est soumis à l’histoire qui l’influence et guide toutes ses actions. C’est-à-dire de C’est l’histoire qui fait l’homme et celui-ci ne peut se défaire du passé.

Toutefois, si chacune de ces positions es soutenue par des raisons la justifiant, notre travail consistera à justifier la conception de l’homme en tant qu’objet de l’histoire.

Pour ce faire, nous montrerons dans un premier temps le passée (l’histoire) comme facteur d’aliénation et en second lieu, nous la présenterons (l’histoire) comme un destin pour l’homme.

L'histoire, c'est le passé de l'homme. C’est l’ensemble des évènements qui se sont déroulés et qui ont marqué la conscience collective. E l’homme du fait qu’il se trouve en contact permanent avec cette histoire, en subi l’influence et se laisse justifier par elle. Le passé est de ce fait, un facteur d’aliénation et cela se justifie par plusieurs arguments.

D’abord, l'homme subit le poids du passé. En effet, Il est le produit de son temps, le produit de l'histoire de son peuple. Il ne peut ainsi s’en défaire. Il est incapable de rompre avec l'héritage historique. Dans cette condition, l'histoire est un fardeau sous lequel l’homme gémi.

Ensuite, dans la perspective du passé, l’homme est aliéné à un tel point que toutes ses pensées, ses actions, ses comportements sont influencés par les évènements historiques. Ce que nous sommes, nous le somme par rapport au passé qui est le réceptacle des coutumes, tradition, civilisation. L’homme est donc enchainé, emprisonné par les évènements passés. C’est pourquoi cette maxime populaire prend son sens «les morts gouvernent les vivant». En claire, tous les évènements vécus par nos prédécesseurs entrent dans le catalogue de l'histoire qui nous suit sans notre volonté.

Par ailleurs, Le passé est chargé d'évènements traumatisants et l'homme en tant qu'objet ne peut s'en défaire. L'histoire fait donc souffrir celui qui s'en refaire quotidiennement. C’est à juste titre que nombre de philosophes estiment que «la référence en histoire empêche l'homme de ce réaliser».

Enfin, chaque époque, chaque évènement historique se déroule dans des conditions qui lui sont particulières, singulières, par conséquent en tant qu'objet de l'histoire, l’homme est souvent condamné à répéter les mêmes évènements à s'en servir comme les leçons.

Au regard des arguments ci-dessus, il ressort clairement que l’homme subi l’influence de l’histoire. Cela ne serait-il pas dû au fait que l’homme en tant

qu’être vivant a un destin auquel il ne pourrait échapper ?

Dans la perspective du devenir, l'histoire s'entend comme l'ensemble des faits qui jalonnent

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